Bruxelles s'élargit !

Et oui, les flamingants sont à bout. La Belgique gagne ! Vive le Brabant, vive la Belgique unitaire !

LE SOIR

Les patrons se mobilisent pour le Grand Bruxelles

JOAN CONDIJTS

lundi 31 août 2009, 10:51

Les patronats des trois Régions du pays se mobilisent pour dynamiser le développement de la métropole bruxelloise. Ils viennent de mettre sur pied une plateforme commune, la « Brussels Metropolitan Region ».

Le dossier aurait dû être bouclé au début de l’été. Ne manquait qu’une signature, celle de l’administrateur délégué du Voka, la coupole du patronat flamand qui regroupe quelque 16.000 entreprises. Mais dans l’intervalle, cet administrateur délégué, Philippe Muyters, était devenu ministre au sein du gouvernement Peeters II…

Impossible pour lui de signer. Une tuile ? Sans doute une chance (lire ci-dessous). Le document que le patron des patrons flamands devenu ministre du Budget et des Finances s’apprêtait à parapher a été complété ces derniers jours par son successeur à la fédération patronale. Un document qui assoit la structure juridique de la « Brussels Metropolitan Region ».

Voici quelques mois, les organisations patronales de Bruxelles (Beci), de Flandre (Voka) et de Wallonie (UWE), avec l’appui de leur homologue fédérale (la FEB), ont imaginé de s’unir afin que les frontières de la Région bruxelloise ne s’apparentent pas à une muraille économiquement stérile. Le projet s’appuie sur le constat suivant. La métropole bruxelloise ne correspond pas aux limites administratives qui la définissent actuellement (voir infographie). Rien d’exceptionnel. C’est le cas de la plupart des grandes villes du monde. La particularité belge réside dans le cloisonnement qui en découle : alors que dans les autres cités majeures, des liens se tissent entre le cœur et sa périphérie, Bruxelles est littéralement coupée de son hinterland.

Si Bruxelles vit coupée de ses banlieues, économiquement, la ville agit comme un pôle d’attraction dont les bénéfices se font ressentir dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour de la Grand-Place. Comme en témoignent les nombreux zonings industriels ou de bureaux qui garnissent les environs de la capitale. Sans oublier les centaines de milliers de navetteurs qui convergent quotidiennement vers les 19 communes – 52 % des 680.000 postes de travail sont occupés par des Wallons ou des Flamands.

La ville présente néanmoins de gros problèmes sociaux : un taux de chômage dépassant les 20 %, quatre des cinq communes les plus pauvres de Belgique sont bruxelloises, etc. Conséquences : les recettes fiscales ne répondent pas aux besoins budgétaires de la cité. Et les injections du pouvoir fédéral sont relativement faibles, comparées à d’autres capitales européennes. Illustration de cette faiblesse : au rythme actuel de croissance du métro bruxellois, près de deux siècles seront nécessaires pour obtenir une densité similaire aux réseaux parisien, londonien, voire madrilène.

Quand le cœur ralentit, le corps faiblit… « Les entrepreneurs flamands ont compris l’intérêt économique de Bruxelles. En allant à l’étranger, ils sentent l’importance de cette ville et sa valeur pour eux. Et ils ont l’impression que fiscalement, légalement, le moteur économique est freiné par cette Belgique complexe où tout est multiplié par trois en termes de normes. Ce sont donc les entreprises qui disent aux autorités : “Ça ne va plus” », explique Karel Lowette. De ce cri patronal est né le BMR. « La crise politique de 2007 a aussi joué, continue Emmanuel van Innis, président du Beci. Les entreprises étaient préoccupées par la détérioration de l’image du pays. On a senti que le lobby anti-belge gonflait et que les Etats-Unis s’interrogeaient sur la présence de l’Otan à Bruxelles. »

Aussi, les organisations patronales ont-elles commandé un rapport au bureau d’études helvétique BAK Basel Economics. Objectifs : déterminer les contours de l’hinterland bruxellois et ébaucher les pistes de développement. « Nous nous étions mis d’accord : nous ne contesterions pas ce qu’ils concluraient », raconte Emmanuel van Innis. Et le bureau suisse a dessiné un BMR qui correspond à l’ancienne province du Brabant, amputée de l’arrondissement de Louvain. Sans répondre à la réalité métropolitaine bruxelloise, le tracé a l’avantage de définir une zone administrativement homogène. Et qui représente un tiers du PIB de la Belgique.

BAK Basel Economics constate que la productivité est particulièrement élevée dans la capitale mais relève surtout que « la BMR évolue lentement vers une “jobless economic growth”. Autrement dit, la croissance économique est principalement générée par une productivité en hausse, mais qui ne génère que peu d’emplois supplémentaires. C’est une mauvaise nouvelle pour une région qui connaît un taux de chômage élevé. »

« Sur base de cette analyse, nous avons constitué des groupes de travail avec la collaboration de 180 chefs d’entreprises », précise Emmanuel van Innis. Des cogitations qui ont livré trois axes de développement pour Bruxelles : le renforcement du pôle international, le développement de niches économiques fortes comme les services financiers, et la promotion de l’innovation et de l’attraction, notamment culturelle. La concrétisation passe par un plan de 40 mesures à mettre en œuvre en une décennie, ainsi que par la création d’une structure permanente. La dernière signature figure désormais sur le document qui conférera une force juridique à cette structure : la « Brussels Metropolitan Region ». Son plus gros défi sera d’exister. Réellement.

En raccourci: on voudrait bien mais rien n'est fait. Wait and see.

Voici une remarque très judicieuse sur le forum du Soir:


[29] Alfa dit le 31/08/2009, 13:01


Brussels Metropolitan Region, c'est la Belgique toute entière.

Et alors?

Et alors, manneke? Les frontières actuelles de la région de Bruxelles sont dépassées par les faits. Pour éviter un élargissement de cette région, il n'y a qu'une seule alternative: supprimer la région de Bxl-Capitale, fusionner les 19 communes et rétablir la province du Brabant.

En hier het achterhoedegevecht van de conservatieve partij VB:

Vlaams Belang: Steunen de N-VA en CD&V de ‘metropolisering’ van Halle-Vilvoorde?

De militant-francofone krant Le Soir reageert vandaag wild enthousiast op de handtekening van Voka onder het platform 'Brussels Metropolitan Region' (BMR) van de Belgische werkgeversorganisaties. Met dit juridisch platform willen de werkgevers Brussel samen met Halle-Vilvoorde en Waals-Brabant uitroepen tot één economische en culturele grootstad, die internationaal als een aparte entiteit gepromoot moet worden. De Vlaamse patroons realiseren op die manier de stoutste dromen van de radicale francofonie.

Reeds bij de voorstelling van dit project op 19 november reageerde het Vlaams Belang afwijzend op deze megalomane plannen. Ze werden toen nog voorgesteld als een soort vrijblijvend samenwerkingsverband tussen werkgeversorganisaties, maar toen reeds was duidelijk dat de Franstalige politici (onder andere Brussels Minister-President Picqué) een politieke beslissingsmacht wilden geven aan deze nieuwe entiteit. Het arrondissement Halle-Vilvoorde zou op die manier integraal ingelijfd worden in een Groot-Brussels geheel. Vandaag verklapt Le Soir dat de afbakening van deze BMR inderdaad de bedoeling heeft 'une zone administrative homogène' te bekomen. De krant ziet via deze structuur meteen ook extra geldstromen richting Brussel vloeien.

Voor het Vlaams Belang is deze 'metropolisering' van Halle-Vilvoorde volkomen onaanvaardbaar. Uiteraard beseffen wij dat de economie niet ophoudt aan de gewestgrenzen en dat er moet samengewerkt worden, maar dat is perfect mogelijk zonder dat er in dit hopeloos ingewikkelde land nieuwe entiteiten en structuren worden opgericht. Het kan bovendien niet zijn dat Halle-Vilvoorde en Waals-Brabant opnieuw gezien worden als een aanhangsel van Brussel. Zij hebben een eigen identiteit, die gerespecteerd moet worden.

De plannen van de werkgevers staan loodrecht op de vele intentieverklaringen van de Vlaamse overheid inzake de indijking van de Brusselse olievlek. Het Vlaams Belang eist dan ook dat de Vlaamse regering deze plannen kordaat afwijst.

Ook N-VA zal in dit dossier kleur moeten bekennen. Haar minister en voormalig Voka-baas Philippe Muyters was tot voor zijn aantreden een overtuigd voorstander van dit project. Als minister van ruimtelijke ordening zou hij de verBrusseling van Vlaams-Brabant actief kunnen aanmoedigen. Het Vlaams Belang wil de minister zo snel mogelijk ondervragen over zijn intenties ter zake.

Bart Laeremans
Vlaams Volksvertegenwoordiger

Joris Van Hauthem
Vlaams Volksvertegenwoordiger

Quote :

De militant-francofone krant Le Soir reageert vandaag wild enthousiast op de handtekening van Voka onder het platform 'Brussels Metropolitan Region' (BMR) van de Belgische werkgeversorganisaties.

Zeer belangrijk: het Vlaamsgezind patronaat ziet dus dat Vlaamse onafhankelijkheid er nooit zal komen.

Het gaat blijkbaar niet om heel Brabant

Quote :

Les patrons se mobilisent pour le Grand-BruxellesJOAN CONDIJTS

lundi 31 août 2009, 14:23

Les patronats des trois Régions du pays se mobilisent pour dynamiser le développement de la métropole bruxelloise. Ils viennent de mettre sur pied une plateforme commune, la « Brussels Metropolitan Region ».
Roger Milutin
Le dossier aurait dû être bouclé au début de l’été. Ne manquait qu’une signature, celle de l’administrateur délégué du Voka, la coupole du patronat flamand qui regroupe quelque 16.000 entreprises. Mais dans l’intervalle, cet administrateur délégué, Philippe Muyters, était devenu ministre au sein du gouvernement Peeters II…

Impossible pour lui de signer. Une tuile ? Sans doute une chance. Le document que le patron des patrons flamands devenu ministre du Budget et des Finances s’apprêtait à parapher a été complété ces derniers jours par son successeur à la fédération patronale. Un document qui assoit la structure juridique de la « Brussels Metropolitan Region ».

Voici quelques mois, les organisations patronales de Bruxelles (Beci), de Flandre (Voka) et de Wallonie (UWE), avec l’appui de leur homologue fédérale (la FEB), ont imaginé de s’unir afin que les frontières de la Région bruxelloise ne s’apparentent pas à une muraille économiquement stérile. Le projet s’appuie sur le constat suivant. La métropole bruxelloise ne correspond pas aux limites administratives qui la définissent actuellement. Rien d’exceptionnel. C’est le cas de la plupart des grandes villes du monde. La particularité belge réside dans le cloisonnement qui en découle : alors que dans les autres cités majeures, des liens se tissent entre le cœur et sa périphérie, Bruxelles est littéralement coupée de son hinterland.

Si Bruxelles vit coupée de ses banlieues, économiquement, la ville agit comme un pôle d’attraction dont les bénéfices se font ressentir dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour de la Grand-Place. Comme en témoignent les nombreux zonings industriels ou de bureaux qui garnissent les environs de la capitale. Sans oublier les centaines de milliers de navetteurs qui convergent quotidiennement vers les 19 communes – 52 % des 680.000 postes de travail sont occupés par des Wallons ou des Flamands.

La ville présente néanmoins de gros problèmes sociaux : un taux de chômage dépassant les 20 %, quatre des cinq communes les plus pauvres de Belgique sont bruxelloises, etc. Conséquences : les recettes fiscales ne répondent pas aux besoins budgétaires de la cité. Et les injections du pouvoir fédéral sont relativement faibles, comparées à d’autres capitales européennes. Illustration de cette faiblesse : au rythme actuel de croissance du métro bruxellois, près de deux siècles seront nécessaires pour obtenir une densité similaire aux réseaux parisien, londonien, voire madrilène.

Quand le cœur ralentit, le corps faiblit… « Les entrepreneurs flamands ont compris l’intérêt économique de Bruxelles. En allant à l’étranger, ils sentent l’importance de cette ville et sa valeur pour eux. Et ils ont l’impression que fiscalement, légalement, le moteur économique est freiné par cette Belgique complexe où tout est multiplié par trois en termes de normes. Ce sont donc les entreprises qui disent aux autorités : “Ça ne va plus” », explique Karel Lowette. De ce cri patronal est né le BMR. « La crise politique de 2007 a aussi joué, continue Emmanuel van Innis, président du Beci. Les entreprises étaient préoccupées par la détérioration de l’image du pays. On a senti que le lobby anti-belge gonflait et que les Etats-Unis s’interrogeaient sur la présence de l’Otan à Bruxelles. »

Aussi, les organisations patronales ont-elles commandé un rapport au bureau d’études helvétique BAK Basel Economics. Objectifs : déterminer les contours de l’hinterland bruxellois et ébaucher les pistes de développement. « Nous nous étions mis d’accord : nous ne contesterions pas ce qu’ils concluraient », raconte Emmanuel van Innis. Et le bureau suisse a dessiné un BMR qui correspond à l’ancienne province du Brabant, amputée de l’arrondissement de Louvain. Sans répondre à la réalité métropolitaine bruxelloise, le tracé a l’avantage de définir une zone administrativement homogène. Et qui représente un tiers du PIB de la Belgique.

BAK Basel Economics constate que la productivité est particulièrement élevée dans la capitale mais relève surtout que « la BMR évolue lentement vers une “jobless economic growth”. Autrement dit, la croissance économique est principalement générée par une productivité en hausse, mais qui ne génère que peu d’emplois supplémentaires. C’est une mauvaise nouvelle pour une région qui connaît un taux de chômage élevé. »

« Sur base de cette analyse, nous avons constitué des groupes de travail avec la collaboration de 180 chefs d’entreprises », précise Emmanuel van Innis. Des cogitations qui ont livré trois axes de développement pour Bruxelles : le renforcement du pôle international, le développement de niches économiques fortes comme les services financiers, et la promotion de l’innovation et de l’attraction, notamment culturelle. La concrétisation passe par un plan de 40 mesures à mettre en œuvre en une décennie, ainsi que par la création d’une structure permanente. La dernière signature figure désormais sur le document qui conférera une force juridique à cette structure : la « Brussels Metropolitan Region ». Son plus gros défi sera d’exister. Réellement.

[u]

Belgica wrote:

Et alors, manneke? Les frontières actuelles de la région de Bruxelles sont dépassées par les faits. Pour éviter un élargissement de cette région, il n'y a qu'une seule alternative: supprimer la région de Bxl-Capitale, fusionner les 19 communes et rétablir la province du Brabant.

Ik ben geen manneke en ik wed en laten we een echt bod doen, 5000 Euro dat de uitbreiding van Brussel er nooit zal komen, de 19 gemeenten krijgen ze nog niet gefusioneerd laat staan de rest.

Maar dat is helemaal niet nodig. Lees mijn vorige post. Een unitair België heeft geen groter Brussel nodig.

Je suis assez d'accord avec Perikles: l'élargissement de Bruxelles n'arrivera jamais dans la Belgique actuelle. Pour des raisons linguistico-symboliques et économiques. Nous ne sommes plus dans une Belgique unitaire et la probabilité d'y retourner est encore plus mince que celle de l'élargissement de Bruxelles.

Erich Honnecker de la RDA ne croyait pas non plus à la fin du communisme en octobre 1989...

Je donne le fédéralisme linguistique encore maximum 10 ans.

Vermoedelijk hebt u gelijk. Noord-België zal DIT federalisme waarschijnlijk niet blijven (ver)dragen...

Belgica wrote:

Erich Honnecker de la RDA ne croyait pas non plus à la fin du communisme en octobre 1989...

Je donne le fédéralisme linguistique encore maximum 10 ans.

Anécdote intéressante. Au début de l'année 1989 Honecker disait: le mur sera encore ici dans 1000 ans

On parle déjà de la muraille bruxelloise. Une muraille est faite pour tomber! Même si elle est chinoise (quod non).

A noter que l'élargissement de Bruxelles ne doit pas se faire au seul détriment de la zone Belgique Nord; la zone Belgique Sud paiera aussi son tribut au Centre, et ainsi, l'honneur de chaque entité sera sauf. Donc, bilinguisme généralisé de Londerzeel jusqu'à Jodoigne. Un bon début, l'Europe fera le reste.

Bruno wrote:

Quote :

De militant-francofone krant Le Soir reageert vandaag wild enthousiast op de handtekening van Voka onder het platform 'Brussels Metropolitan Region' (BMR) van de Belgische werkgeversorganisaties.

Zeer belangrijk: het Vlaamsgezind patronaat ziet dus dat Vlaamse onafhankelijkheid er nooit zal komen.

Graag uw bron? De voka doet er juist alles aan om er zeker geen politiek bij te betrekken.

Voka doet niet aan politiek? Allez, niet zeveren, hè. Ik weet dat politicus Urbain Vandeurzen weg is, maar Voka neemt regelmatig politieke stellingen in, o.a. over de staatshervorming, zeker onder Vandeurzen. Maar het is waar dat ze daar nu met hun nieuwe voorzitter realistischer (lees Belgisch-gezinder) zijn geworden.

J'ai l'impression que ces vacances ont été un bon jus pour l'unité de la Belgique.
En plus je reviens d'un festival en Flandres où un gars m'a répondu quand je lui ai dit que j'étais wallon "Ah, tu es Belge" ça m'a fait plaisir

Olivier wrote:

En plus je reviens d'un festival en Flandres où un gars m'a répondu quand je lui ai dit que j'étais wallon "Ah, tu es Belge" ça m'a fait plaisir

[provoc]
Si j'ai bien compris d'un côté il y a les Flamands et de l'autre il y a les Belges.
[/provoc]

Belgica wrote:

Voka doet niet aan politiek? Allez, niet zeveren, hè. Ik weet dat politicus Urbain Vandeurzen weg is, maar Voka neemt regelmatig politieke stellingen in, o.a. over de staatshervorming, zeker onder Vandeurzen. Maar het is waar dat ze daar nu met hun nieuwe voorzitter realistischer (lees Belgisch-gezinder) zijn geworden.

U neemt uw dromen voor werkelijkheid, op de website van Voka "Toch is het niet de bedoeling van de initiatiefnemers om de politieke realiteit overhoop te gooien. 'Ons project heeft geen enkele politieke implicatie', zegt Voka-woordvoerder Jan Van Doren. 'Dit mag niet begrepen worden als een pleidooi voor de uitbreiding van Brussel"

Ik heb nooit de opmerking gemaakt dat Voka niet aan politiek doet, ik heb alleen opgemerkt dat Voka geen fysieke uitbreiding van Brussel wilt.

Dat enthousiasme voor de ideeën van de werkgevers is typisch. De BUB en de redacteurs van Le Soir zien al een droom in vervulling gaan: afschaffing van de taalwetten en uitbreiding van het recht om geen Nederlands te kennen. Het huidige Brussel telt enkele honderdduizenden werklozen en bewoners die onder de armoedegrens leven. Voor de BUB en de andere franskiljons mogen die blijkbaar kreperen. Dat is niet hun zorg. Veel belangrijkers zijn voor hen de villa's in de Brusselse rand en de drie zielepoten die de Belgische wet niet willen toepassen maar wel willen burgemeester worden. Gelukkig hebben de "patrons" in dit land niet alles te zeggen. Dat eeuwige geschreeuw om de uitbreiding van Brussel leidt de aandacht af van de werkelijke problemen van de hoofdstaden is zonder meer asociaal en immoreel.

Quote :

Si j'ai bien compris d'un côté il y a les Flamands et de l'autre il y a les Belges.

Pour moi pas, mais les régionalistes de tout bord tendent à convaincre que l'on est d'abord Flamand/Wallon avant d'être belge.

100.000 werklozen in Brussel! 100.000 mensen waarvoor de BUB en de andere ascociale Brusselse Franstalige politici veel minder interesse hebben dan voor de "drie burgemeesters"!

Maar Bartje De Zever ging dat probleem toch oplossen, nee?

Voici la réponse d'un national-socialiste:

LA LIBRE BELGIQUE 10.09.2009

La "métropole" inquiète en Flandre

Méfiance . Le député permanent du Brabant flamand Tom Troch (SP.A) s’est montré très réticent mardi au Conseil provincial du Brabant flamand au sujet de la feuille de route commune des organisations patronales francophone et flamande intitulée "Business Route 2018 for Metropolitan Brussels". Ce document vise à doper le dynamisme économique de Bruxelles et de sa grande périphérie, en ce compris le Brabant wallon et la majeure partie du Brabant flamand, à l’exclusion de l’arrondissement de Louvain. Au total, le "grand Bruxelles" ainsi délimité s’étend sur 35 communes et compte une population de près de 3 millions d’habitants. Pour Tom Troch, la création d’une nouvelle superstructure serait en "contradiction totale avec l’aspiration à une scission de l’arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde".


Ocharme toch. Nog erger dan de Middeleeuwen toen er een verenigd Brabant was.

Pire que le Moyen Age lorsqu'il y avait un Brabant uni.