QUID PLAN B ?

Un plan B, c'est vraiment pour les perdants. Nous, on n'a qu'un seul plan A en ce qui concerne le but à atteindre: une Belgique unitaire et bilingue et rien d'autre ! Ou appelez-le le plan B, avec le B de Belgique bien-sûr. Les autres plans, c'est tout au plus pour la méthode pour y parvenir. On a une conviction ou pas !

Een plan B, dat is echt iets voor de verliezers. Wij hebben alleen een plan A wat betreft het te bereiken doel: een unitair en tweetalig België en niets anders. Of noem het ook een plan B, met B van België dan natuurlijk. De andere plannen, dat is hoogstens voor de methode om dat doel te bereiken. Men heeft een overtuiging of men heeft er geen !

LE SOIR


Plan B ? Les avis divergent entre Wallonie et Bruxelles

Rédaction en ligne

vendredi 24 septembre 2010, 20:05

L'idée d'un plan B circule, au cas où les négociations institutionnelles échoueraient. Mais au fait, de quel plan B parle-t-on ? Qu'en pensent Wallons et Bruxellois ? C'est ce que « Le Soir » a voulu savoir. Par le biais d'un sondage mais aussi en partant à la rencontre des citoyens de Wallonie et de Bruxelles. Tous les détails dans notre édition de ce samedi 25 septembre



©Belga

Le sondage révèle des sentiments plutôt contrastés entre Wallons et Bruxellois.
Méthodologie

Sondage Dedicated Research effectué par Internet du 17 au 21 septembre 2010, sur un échantillon de 1.804 électeurs (903 en Wallonie, 901 en Région bruxelloise).

La sélection des répondants a été réalisée par internet dans le respect des quotas sur les principaux critères sociodémographiques (sexe, âge, actifs/non-actifs…) et répartie de façon représentative entre les provinces pour la Wallonie et les communes pour la Région bruxelloise. À Bruxelles, il a été tenu compte de la représentativité linguistique (FR 90 %, NL 10 %).

La marge d'erreur maximale est de 3,3 % sur les échantillons régionaux de Wallonie et de Bruxelles. Cette marge d'erreur est de 2,3 % sur l'échantillon total pondéré.

Ainsi, à la question de savoir quel scénario les sondés préfèrent, si d'aventure la Belgique disparaissait, les Wallons plébiscitent l'État Wallonie-Bruxelles (63 % des sondés sont pour cette option). Loin devant le rattachement à la France (14 %) ou l'indépendance de la Wallonie (9 %).

À Bruxelles, par contre, l'État Wallonie-Bruxelles ne séduit qu'une personne sur trois (33 %). Les Bruxellois préfèrent donc rester entre eux, soit dans un État indépendant (23 %) ou dans un district européen (24 %). Ils ne sont que 8 % à rêver d'un rattachement à la France (avec la Wallonie) et 2 % à préférer l'intégration à la Flandre indépendante.

Le plan A, c'est démanteler systématiquement la Belgique, le plan B c'est la détruire en une fois. Il faut donc le séparatisme pour éviter la sécession

Moi je propose le plan RTNYU

C'est très simple le plan se passe en plusieurs phase

1) On divise la Belgique
2) Wallonie-Bruxelles (plus la périphérie) se rattache à la France et la flandre au P-B
3) On crée un parti international présent au P-B (Flandre, B-S, L-N et F-Z) en France (Wallonie-Bruxelles plus département du nord) et au Luxembourg.
4)Ensuite grâce à une politique populiste on gagne les élections partout et on réunifie la belgique plus grande plus belle

Belgica wrote:

Un plan B, c'est vraiment pour les perdants. Nous, on n'a qu'un seul plan A en ce qui concerne le but à atteindre: une Belgique unitaire et bilingue et rien d'autre ! Ou appelez-le le plan B, avec le B de Belgique bien-sûr. Les autres plans, c'est tout au plus pour la méthode pour y parvenir. On a une conviction ou pas !

Een plan B, dat is echt iets voor de verliezers. Wij hebben alleen een plan A wat betreft het te bereiken doel: een unitair en tweetalig België en niets anders. Of noem het ook een plan B, met B van België dan natuurlijk. De andere plannen, dat is hoogstens voor de methode om dat doel te bereiken. Men heeft een overtuiging of men heeft er geen !

Aan jullie verkiezingsuitslag te zien was net het unitaire België het plan van de verliezers

myckilem wrote:

Moi je propose le plan RTNYU

C'est très simple le plan se passe en plusieurs phase

1) On divise la Belgique
2) Wallonie-Bruxelles (plus la périphérie) se rattache à la France et la flandre au P-B
3) On crée un parti international présent au P-B (Flandre, B-S, L-N et F-Z) en France (Wallonie-Bruxelles plus département du nord) et au Luxembourg.
4)Ensuite grâce à une politique populiste on gagne les élections partout et on réunifie la belgique plus grande plus belle

Gevaarlijk plan, als het verkeerd uitdraait voor de betrokken populistische politicus riskeert hij ofwel president van Frankrijk te worden, ofwel een regering te moeten vormen met Geert Wilders

PC wrote:

myckilem wrote:

Moi je propose le plan RTNYU

C'est très simple le plan se passe en plusieurs phase

1) On divise la Belgique
2) Wallonie-Bruxelles (plus la périphérie) se rattache à la France et la flandre au P-B
3) On crée un parti international présent au P-B (Flandre, B-S, L-N et F-Z) en France (Wallonie-Bruxelles plus département du nord) et au Luxembourg.
4)Ensuite grâce à une politique populiste on gagne les élections partout et on réunifie la belgique plus grande plus belle

Gevaarlijk plan, als het verkeerd uitdraait voor de betrokken populistische politicus riskeert hij ofwel president van Frankrijk te worden, ofwel een regering te moeten vormen met Geert Wilders

Ce n'est pas faux. Le populisme est un danger véritable car il trompe de gens bien trop souvent crédule... Mais bizarrement il permet à beaucoup d'avoir du pouvoir...

25.09.10 - 11:52

Si l'Etat belge devait voler en éclat, les Wallons seraient d'accord de s'unir avec les Bruxellois, mais pas les Bruxellois, selon un sondage publié samedi dans Le Soir. Selon un autre sondage publié dans La Libre Belgique, 4 Belges sur 10 veulent une Belgique unitaire.

Selon le sondage réalisé sur internet auprès de 1804 personnes, 63% des Wallons interrogés se prononcent, si la Belgique devait éclater, en faveur de la création d'un Etat Wallonie-Bruxelles.

Du côté bruxellois, ils sont toutefois seulement 33% à privilégier cette piste. Un quart des Bruxellois (24%) souhaite que Bruxelles devienne un district européen ou que Bruxelles soit indépendante (23%).

L'indépendance de la Wallonie n'est souhaitée que par 8% des Wallons et le rattachement à la France n'emballe ni Wallons ni Bruxellois. L'intégration de Bruxelles à une Flandre indépendante ne recueille que 2% des voix.

Le sondage révèle quand même un point commun entre Wallons et Bruxellois: leur attachement à la Belgique. Ils se sentent en effet d'abord belges (67% des Wallons, 52% des Bruxellois). De même 7 personnes sur dix se disent attachées au pays, au point que la scission serait pour elles "impensable" ou "très difficile à supporter". Seuls 5% se disent favorable à la scission.

Quant à la réussite des négociations, Wallons et Bruxellois sont pessimistes. 38% des sondés pensent qu'elles vont échouer et qu'il y aura scission du pays. Près d'une personne sur deux croit cependant encore à la possibilité de former un gouvernement fédéral.

Quatre sur dix souhaitent par ailleurs conserver un gouvernement fédéral assez proche de ce qu'il est aujourd'hui.


Quatre Belges sur dix pour un pays unitaire

La population belge marque une nette préférence pour un retour à la Belgique unitaire, révèle un sondage de La Libre Belgique, publié samedi. Quatre Belges sur dix le souhaitent, soit bien plus que les 12% qui aspirent à la scission du pays et même davantage que les 32% qui privilégient un renforcement des pouvoirs exercés par les entités fédérées.

Le sondage, réalisé auprès de 2000 personnes sur internet, montre que ce désir d'un retour à la Belgique "de papa" est plus marqué chez les jeunes que dans les tranches d'âge plus élevées.

On observe également qu'il n'est pas uniformément partagé dans le pays. En Flandre, ils ne sont que 22% à vouloir à nouveau un Etat unitaire, contre respectivement 50 et 51% à Bruxelles et en Wallonie.

Les Flamands sont d'ailleurs 43% à espérer une Belgique avec davantage de pouvoirs pour les Régions et Communautés, mais ils ne veulent pas la rupture. Ils ne sont que 16% à vouloir l'éclatement du pays, contre 22% pour la réunification complète.

Ce qui est sûr, indique le quotidien, c'est que quelque chose doit changer, seuls 8% des Belges étant favorables à un statu quo institutionnel.

Concernant Bruxelles, 31 pc des sondés sont en faveur d'une cogestion de la capitale belge par les francophones et les néerlandophones (40% des flamands mais seulement 21% des Bruxellois, qui préfèrent l'option du statut de région à part entière).



Avec Belga

Bruno wrote:

Le plan A, c'est démanteler systématiquement la Belgique, le plan B c'est la détruire en une fois. Il faut donc le séparatisme pour éviter la sécession

Exactement ! La situation fait penser à un condamné à mort qui doit choisir entre deux méthodes d'exécution. Qu'on choisisse l'un où l'autre, le résultat final sera identique, même si on a toujours voulu nous faire croire le contraire.

Loik wrote:

25.09.10 - 11:52

Si l'Etat belge devait voler en éclat, les Wallons seraient d'accord de s'unir avec les Bruxellois, mais pas les Bruxellois, selon un sondage publié samedi dans Le Soir. Selon un autre sondage publié dans La Libre Belgique, 4 Belges sur 10 veulent une Belgique unitaire.

Selon le sondage réalisé sur internet auprès de 1804 personnes, 63% des Wallons interrogés se prononcent, si la Belgique devait éclater, en faveur de la création d'un Etat Wallonie-Bruxelles.

Du côté bruxellois, ils sont toutefois seulement 33% à privilégier cette piste. Un quart des Bruxellois (24%) souhaite que Bruxelles devienne un district européen ou que Bruxelles soit indépendante (23%).

L'indépendance de la Wallonie n'est souhaitée que par 8% des Wallons et le rattachement à la France n'emballe ni Wallons ni Bruxellois. L'intégration de Bruxelles à une Flandre indépendante ne recueille que 2% des voix.

Le sondage révèle quand même un point commun entre Wallons et Bruxellois: leur attachement à la Belgique. Ils se sentent en effet d'abord belges (67% des Wallons, 52% des Bruxellois). De même 7 personnes sur dix se disent attachées au pays, au point que la scission serait pour elles "impensable" ou "très difficile à supporter". Seuls 5% se disent favorable à la scission.

Quant à la réussite des négociations, Wallons et Bruxellois sont pessimistes. 38% des sondés pensent qu'elles vont échouer et qu'il y aura scission du pays. Près d'une personne sur deux croit cependant encore à la possibilité de former un gouvernement fédéral.

Quatre sur dix souhaitent par ailleurs conserver un gouvernement fédéral assez proche de ce qu'il est aujourd'hui.


Quatre Belges sur dix pour un pays unitaire

La population belge marque une nette préférence pour un retour à la Belgique unitaire, révèle un sondage de La Libre Belgique, publié samedi. Quatre Belges sur dix le souhaitent, soit bien plus que les 12% qui aspirent à la scission du pays et même davantage que les 32% qui privilégient un renforcement des pouvoirs exercés par les entités fédérées.

Le sondage, réalisé auprès de 2000 personnes sur internet, montre que ce désir d'un retour à la Belgique "de papa" est plus marqué chez les jeunes que dans les tranches d'âge plus élevées.

On observe également qu'il n'est pas uniformément partagé dans le pays. En Flandre, ils ne sont que 22% à vouloir à nouveau un Etat unitaire, contre respectivement 50 et 51% à Bruxelles et en Wallonie.

Les Flamands sont d'ailleurs 43% à espérer une Belgique avec davantage de pouvoirs pour les Régions et Communautés, mais ils ne veulent pas la rupture. Ils ne sont que 16% à vouloir l'éclatement du pays, contre 22% pour la réunification complète.

Ce qui est sûr, indique le quotidien, c'est que quelque chose doit changer, seuls 8% des Belges étant favorables à un statu quo institutionnel.

Concernant Bruxelles, 31 pc des sondés sont en faveur d'une cogestion de la capitale belge par les francophones et les néerlandophones (40% des flamands mais seulement 21% des Bruxellois, qui préfèrent l'option du statut de région à part entière).



Avec Belga

Men zou de cijfers eens uitgebreid naast elkaar moeten leggen, want op het eerste gezicht lijken de gecombineerde resultaten elkaar tegen te spreken - wat je natuurlijk wel meer hebt met peilingen (overigens, een internetpeiling, voldoet dat wel aan de normen voor een representatieve peiling?)

Goed, aangenomen dat de resultaten kloppen is er wel één ding vreemd: er zijn veel meer Franstaligen voor een unitair België dan Nederlandstaligen, terwijl toch duidelijk is dat de Nederlandstaligen met hun grote overwicht de ultieme winnaars in een unitaire staatsstructuur zouden zijn. En ook: er blijkt dus wel degelijk een zeer groot verschil te zijn tussen de politieke keuzes van Vlamingen vs. Walen en Brusselaars.

myckilem wrote:

Moi je propose le plan RTNYU

C'est très simple le plan se passe en plusieurs phase

1) On divise la Belgique
2) Wallonie-Bruxelles (plus la périphérie) se rattache à la France et la flandre au P-B
3) On crée un parti international présent au P-B (Flandre, B-S, L-N et F-Z) en France (Wallonie-Bruxelles plus département du nord) et au Luxembourg.
4)Ensuite grâce à une politique populiste on gagne les élections partout et on réunifie la belgique plus grande plus belle

Plan C -

1.) Les deux Flandres se rattachent à la France (avec une partie du Hainaut): se 'r'attachent.
2.) Le reste de la Belgique regagne le giron allemand.

Un simple retour vers les origines...

Sprakeloos wrote:

myckilem wrote:

Moi je propose le plan RTNYU

C'est très simple le plan se passe en plusieurs phase

1) On divise la Belgique
2) Wallonie-Bruxelles (plus la périphérie) se rattache à la France et la flandre au P-B
3) On crée un parti international présent au P-B (Flandre, B-S, L-N et F-Z) en France (Wallonie-Bruxelles plus département du nord) et au Luxembourg.
4)Ensuite grâce à une politique populiste on gagne les élections partout et on réunifie la belgique plus grande plus belle

Plan C -

1.) Les deux Flandres se rattachent à la France (avec une partie du Hainaut): se 'r'attachent.
2.) Le reste de la Belgique regagne le giron allemand.

Un simple retour vers les origines...

Nee, dan moet je nog verder teruggaan: een herstel van het rijk van Karel De Grote, in de jaren '50 was het met de oprichting van de EEG bijna zover...