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 BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte

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PostSubject: BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte   BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte EmptyTue Nov 30, 2010 7:22 pm

De flaminganten kunnen gewoon geen mensen op de been brengen voor een revolutie omdat er quasi geen meer zijn. Het Vlaams-nationalisme wordt louter door de media en VOKA in leven gehouden.

Donc, ce type veut son "indépendance" en trompant les gens et en allant à l'encontre de l'opinion des Belges? Il dit cela parce qu'il n'y a plus de flamingants qui savent faire une révolution ! Leur mouvement est moribond et n'est tenu en vie que par les médias et la VOKA.


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LE SOIR

De Wever : « La fin du pays ? Oui, mais sans révolution »

Rédaction en ligne

mardi 30 novembre 2010, 16:26

Le président de la N-VA Bart De Wever a donné ce midi sa conférence au Cercle de Wallonie. Il y a tenu un discours conforme au programme de la N-VA, tout en refusant explicitement le plan B. L’essentiel du discours et moments choisis du question time


D’emblée, Bart De Wever a donné le ton : J’espère que je ne vais pas vous choquer… Merci de m’avoir invité, car tous les journalistes francophones vous ont dit comment avez-vous pu l’inviter ! Il faut dire qu’on m’appelle dans une certaine presse le Milosevic flamand. Vous avez le droit de ne pas être d’accord. Mais comme vous êtes là, c’est que vous êtes prêts à dialoguer avec moi. Flamands et francophones peuvent donc se parler…

“On dit que le problème de la Belgique c’est moi”, a-t-il enchaîné très à l’aise. Le fait que les Flamands veulent une plus grande autonomie n’est pas une vengeance du passé. Les Flamands cherchent juste une gestion démocratique et efficace. Pour eux, comme pour les Wallons.

Il a fait ensuite un rappel historique. “Dans le passé, les francophones ont exercé leur domination sur les Flamands, qui ne parlent pas français. Il a alors expliqué comment selon lui les Flamands ont obtenu le droit de vote, comment les francophones ont bloqué, et comment les Flamands se sont radicalisés. “Les francophones ont toujours réagi par crainte. Il aurait fallu faire une vraie démocratie, mais les francophones ont fait de la Flandre une sous-nation puis, parfois, une contre-nation”. Aujourd’hui, la Flandre pense que l’intervention des pouvoirs publics doit être limité. Mais la majorité des politiques francophones sont pour un rôle actif des pouvoirs publics.”

Le discours était tranché et la salle parfaitement silencieuse. En matière de sécurité : “Quand le bourgmestre de Bruxelles considère des attaques à la kalachnikov comme un fait divers, toute la Flandre le regarde. Il a multiplié les exemples de divergences de vues entre les communauté : sécurité, fiscalité, immigration, etc. “Vous n’êtes pas responsable de la fiscalité pesante en Belgique. Arrêtons de parler de plan B. Il faut un plan économique rapide. Il a détaillé ce que veut la Flandre : “En Flandre, on veut augmenter l’emploi, activer les chômeurs, baisser la fiscalité, libéraliser des secteurs. Et cette politique, on ne peut pas la suivre en Belgique. Il faut donner ces pouvoirs aux régions. La Wallonie filera vers la reprise si elle a ces compétences. Si le plan Marshall est si efficace, pourquoi refuse-t-elle ces compétences ?”

Et de lancer un rassurant : “Le comportement des francophones aboutit à des situations absurdes. La Wallonie semble avoir peur de son ombre. Il ne faut pas croire que la Wallonie a tant besoin de la Flandre

De Wever a poursuivi sur l’armée : “Pour l’armée et tout ce qui nécessite des économies d’échelle, il faut se tourner vers l’Europe. Cet avenir ne doit pas faire peur. Certains en Wallonie, rêvent d’un rattachement à l’Allemagne, ce ne sera pas nécessaire.

Nous ne sommes pas des révolutionnaires. Personne ne veut faire éclater ce pays, a conclu le président de la N-VA. Personne ne veut le chaos. Il faut une évolution progressive, avec un maintient de la solidarité entre le Nord et le Sud”.
Moments choisis du question time

Un patron : “Vous n’avez pas cité Bruxelles une seule fois”

BDW : “Mon porte-parole m’a dit de ne pas mettre trop de problèmes dans le même texte”... Contrairement à d’autres, je veux encore que les communautés se rencontrent en Flandre. Mais Bruxelles, c’est en territoire flamand. Bruxelles sera gérée par elle-même, mais sera un territoire partagé par les deux communautés.

Hervé Hasquin : “Les patrons vous ont rappelé à l’ordre hier ? C’est ce que pense la presse francophone ce matin. Le Voka est manipulé par les francophones ?”

BDW : “Merci pour cette question. Maintenant tout le monde sait que vous êtes ici, Mr Hasquin ! Le rappel à l’ordre des patrons flamands est pour Di Rupo aussi. Il faut conclure, ils ont raison. Que ça passe ou ça casse. Je suis d’accord.”

“Si les 7 partis ne peuvent conclure, qu’on le dise et qu’on ne prolonge pas les négociations si c’est inutile”

Une intervenante parle du français en Flandre, des tracasseries. BDW : “Il y a un passé. Ce pays a toujours existé par la volonté des Flamands d’être bilingues. La réciprocité n’est pas vraie.” [...]“Une petite culture doit se défendre contre une grande. Quand une petite culture est confronté à une grande, si elle ne se défend pas, elle disparaît. “J’ai honte de ne pas être parfaitement bilingue. Il faut renforcer la connaissance du français en Flandre. Nous ne sommes pas anti-francophones. C’est pour cela qu’il faut pacifier la périphérie. Cette confrontation culturelle regrettable cessera” .

Une intervenante : le MR doit-il négocier ?

BDW : “Le PS a gagné. Il mène la danse. Ce n’est pas à moi de m’y opposer. Mais je peux quand même aller déjeuner avec Reynders !

Un intervenant : “Faut-il créer une nation, une Belgique, unie ? BDW : L’histoire va dans l’autre sens depuis plus d’un siècle. Il faut suivre l’histoire, pas aller à contre-sens. Mais c’est mon avis. Je respecte le vôtre.”

Un intervenant : “Votre programme veut la fin du pays»

BDW : « Oui, mais sans révolution. Car il y a une prospérité à préserver. »

Un intervenant : “Devenez premier ministre !”

BDW : “On a offert le poste à Di Rupo, pour que les Wallons aient confiance et acceptent le changement dans le pays. »

« Je crains que le momentum soit passé, pour les négociations. »

“Je ne veux pas des élections. S’il y a des partis qui veulent aller aux élections, on va faire augmenter la pression économique, on va jouer avec la prospérité des gens. »

A.G.
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PostSubject: Re: BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte   BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte EmptyTue Nov 30, 2010 8:49 pm

Quote :
Il dit cela parce qu'il n'y a plus de flamingants qui savent faire une révolution ! Leur mouvement est moribond et n'est tenu en vie que par les médias et la VOKA.
Plus de 50% de votes nationalistes en Flandre, certains aimeraient être moribonds comme cela !

Autant juger par soi-même: le texte du discours de BDW se trouve là en PDF

http://download.saipm.com/pdf/libre/Speech%20BDW%20cercle%20de%20wallonie%20FR.pdf
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PostSubject: Re: BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte   BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte EmptyTue Nov 30, 2010 9:16 pm

Il y a qqch qui me frappe dans ce texte:

RTLinfo.be

De Wever à Reynders: "Je ne savais pas que tu m'admirais tant" (vidéo)

Le président de la N-VA était l’invité ce midi d’un club wallon. Pas n’importe lequel: le très "select" Cercle de Wallonie qui réunit les patrons wallons. Bart De Wever, introduit par le président du MR Didier Reynders, a pour le moins déplacé les foules.

30 Novembre 2010 13h52

A son arrivée au château où se tiennent les débats, Bart De Wever justifiait son envie de venir parler à ces Wallons par le même but que celui invoqué par ces patrons, excités à l'idée de le rencontrer. "Je vais dire ce que je dis toujours", expliquait d'abord M. De Wever, avant d'ajouter : "Je regarde les débats sur les plateaux télévisés et souvent, je remarque qu’on raconte une histoire différente en Flandre ou en Wallonie." Confronter et/ou rapprocher les points de vue sans presse interposée, voilà l'envie commune des participants. Surtout que certains participants apprécient déjà certaines thèses du nationaliste. "Il a d’excellente idées comme la vision très libérale du travail", expliquait par exemple M. Luc Basecq.

Lors de son discours, introduit par Didier Reynders en des termes élogieux, il a d'emblée manié l’humour: "Je ne savais pas que tu m’admirais autant et j'espère ne pas te décevoir", a-t-il déclaré à Reynders après l'avoir remercié d'assister à cette conférence à son retour des Etats-Unis. Lors de son discours, Bart De Wever a notamment déclaré "On dit que le problème de la Belgique c'est moi". Et d'ajouter un peu plus tard: "Le fait que les Flamands veulent une plus grande autonomie n'est pas une vengeance du passé. Les Flamands cherchent juste une gestion démocratique et efficace. Pour eux, comme pour les Wallons." Le président de la N-VA s'est voulu rassurant: "Le comportement des francophones aboutit à des situations absurdes. La Wallonie semble avoir peur de son ombre. Il ne faut pas croire que la Wallonie a tant besoin de la Flandre".


600 personnes voulaient participer

En moyenne, 45 conférences sont organisées au Cercle de Wallonie tous les mois. Chaque invité attire entre 150 et 200 membres, mais l’annonce de la venue du patron de la N-VA en a attiré plus de 600 ! Comme la salle ne pouvait en contenir que 400, 200 personnes se sont retrouvées sur liste d’attente pour ce déjeuner-débat. Un succès historique qui s’explique en partie par le côté people du leader nationaliste. « C’est un phénomène comme on a vu en France par rapport à un Bernard Tapie. Il y a une sorte de relation ‘Je t’aime, moi non plus’ qui est très spéciale, et probablement une attirance pour un personnage hyper médiatisé quand même. Si c’est surtout en Flandre, il est aussi médiatisé chez nous. Je pense que vous, les médias, en avez fait aussi quelque chose: l’iguane d’André Lamy le matin sur Bel RTL par exemple. Il est devenu un personnage célèbre, qu’on l’aime ou qu’on l’aime pas. Je pense que c’est un mélange de curiosité, de rareté et d’excitation », expliquait ce matin André Van Hecke, l’administrateur délégué du Cercle de Wallonie, ce matin sur Bel RTL.



Des membres de haut vol pour des questions salées

C’est dans le quartier namurois huppé la Vecqué, dans un château, qu’ont lieu les conférences du Cercle de Wallonie. Mais Bart De Wever devait se plier aux règles d’usage, comme l'expliquait M. Van Hecke ce matin : « Quand on vient parler au Cercle de Wallonie, on connaît son public. Il est briefé sur la nature du public: ce sont tous des patrons d’entreprises. Donc il ne faudrait pas qu’il vienne nous donner un cours d’histoire, ce n’est pas l’objectif. Il faut surtout qu’il nous parle économie. Il prétend faire une révolution copernicienne, qu’il nous explique comment il va faire fonctionner tout ça et ce qu’il y a dans la tête. » Mais le plus intéressant, ce seront les échanges avec le leader de la N-VA : « Je pense que pas mal de membres ont envie de lui poser quelques questions et que ça risque d’être un peu salé. Il n’y a aucun filtrage. Les membres ont le droit de poser toutes les questions pour peu que l’on reste correct et civilisé. »



Après Mgr Léonard …

« De Wever apportera quelque chose que nous n’entendons pas ou que nous n’avons pas vu au travers de ce qu’on dit de lui dans les médias francophones », conclut l’administrateur délégué, ajoutant que le choix de Bart De Wever ne doit rien avoir de choquant. « On doit pouvoir inviter tout le monde. Il y a quelques temps nous avions Mgr Léonard, on ne peut pas dire qu’il suscite lui non plus beaucoup de sympathie dans la plupart des milieux pour l’instant. »


Hitler avait aussi d'excellentes idées selon certains Allemands dans les années 30.
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perikles




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PostSubject: Re: BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte   BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte EmptyWed Dec 01, 2010 11:25 am

Belgica wrote:
Hitler avait aussi d'excellentes idées selon certains Allemands dans les années 30.

Domme opmerking, natuurlijk scoort De Wever bij ondernemers, vrije beroepen en kaderleden ... zijn ideeën over ondernemen zijn erg liberaal ... net zoals die van Reynders en die vergelijkt u niet met Hitler ... dom, dom, dom
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Gonda




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PostSubject: Re: BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte   BDW montre sa faiblesse - toont zijn zwakte EmptyWed Dec 01, 2010 2:26 pm

perikles wrote:
Domme opmerking ... dom, dom, dom
Les nationalistes belges n'ont jamais fait dans la dentelle pour développer des arguments sérieux en faveur de leurs thèses. Leurs 500 voix aux élections sont là pour démontrer leur inanition face aux nationalistes flamands 'moribonds' qui prennent quand même des centaines de milliers de voix et plus de 50%.

Allez une petite pour la route ...

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