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 Voka en de fameuze verschillen - la Voka et les fameuses différences

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PostSubject: Voka en de fameuze verschillen - la Voka et les fameuses différences   Voka en de fameuze verschillen - la Voka et les fameuses différences EmptySun Apr 17, 2011 6:31 pm

Différences entre les "deux" communautés? Mais lesquelles? Les musulmans et non-musulmans? Les hommes et les femmes? Entre les jeunes et les moins jeunes? Entre le petit club des flamingants et les Belges? Et les différences ne sont-elles pas enrichissantes? Qu'est-ce VOKA? Cette organisation vaut-elle plus que l'opinion de la majorité des Belges qui souhaite une nation unifiée?

Verschillen tussen de "twee" gemeenschappen? Maar dewelke? Moslims en niet-moslims? Mannen en vrouwen? Jongeren en niet-jongeren? Tussen het flamingantisch clubje en de Belgen? En zijn verschillen niet verrijkend? Wat is VOKA? Is die organisatie meer waard dan de mening van de meerderheid van de Belgen die één natie wil?


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LA LIBRE BELGIQUE

Le Voka évoque "le fossé et la méfiance" entre les deux communautés BELGA

Mis en ligne le 17/04/2011

Le président du Voka a appelé les partis flamands à constituer un front uni, comme les francophones.

Le président de l'association patronale flamande Voka, Luc De Bruyckere, a souligné dimanche "le fossé et la méfiance" qui persistent entre les deux communautés du pays, après plus de 300 jours de crise politique entre les partis flamands et francophones. Quatre présidents de partis francophones - Elio Di Rupo (PS), Charles Michel (MR), Joëlle Milquet (cdH) et Jean-Michel Javaux (Ecolo) - ont rencontré lundi une quarantaine de patrons flamands, membres du VOKA, pour expliquer leur position sur la réforme de l'Etat.

M. De Bruyckere a qualifié dimanche cette rencontre d'"éclairante", tout en se disant "déçu" après coup."Nous avons constaté combien est grand le fossé et surtout la méfiance après tout ce temps", a-t-il souligné.M. De Bruyckere a aussi affirmé avoir perçu une "phobie de la N-VA". "Nous voulions aller à l'essentiel, mais il a été question au moins cinquante fois de la N-VA", a-t-il ajouté.

Le président du Voka a appelé les partis flamands à constituer un front uni, comme les francophones."Les partis flamands doivent se réunir et déterminer ce qu'ils veulent faire. Ils doivent ensuite se rendre auprès des partis francophones et voir si un accord est possible. Si cela ne réussit pas, je crains que l'on aille à de nouvelles élections, avec toutes les conséquences pour les marchés financiers", a-t-il poursuivi.

L'administrateur-délégué du groupe de lingerie Van de Velde, Ignace Van Doorselaere, a lui aussi affirmé ressentir une "impression négative" après la rencontre de lundi. "J'ai entendu là une logique à laquelle je ne suis pas habitué. Et si on dirigeait une entreprise avec cette logique, on irait à la faillite", a-t-il souligné.


Le séparatiste Luc De Bruyckere / separatist Luc De Bruyckere:
http://www.gagner-reussir.be/article/index.phtml?id=2229

Luc De Bruyckere, président du VOKA est interviewé par Alain Braibant et Yves Druez, vice-président de la CCI du Brabant wallon.

Logique confédérale contre logique belge Publié dans A bâtons rompus le lundi 7 février 2011 09:32

Tout le monde en Wallonie ne connaît pas le président du VOKA. Alors, qui est Luc De Bruyckere ?

LDB : « Je suis gantois et je préside le groupe alimentaire Ter Beke, actif principalement dans les secteurs des pâtes cuisinées et de la charcuterie. Nous réalisons un chiffre d'affaires annuel de 400 millions d'euros et nous employons 1850 personnes dont 700 en...Wallonie, à Marche-en Famenne, à Wanze et à Herstal. Nous exportons 55% de notre production dans toute l'Europe Occidentale, de la Suède au Portugal. Nous visons à présent le marché de l'ancienne Europe de l'Est. C'est dans ce but que nous venons de signer une convention avec notre plus grand concurrent européen, installé à Caen en Normandie, qui fabrique et commercialise les produits Stefano Toselli. Ensemble, nous allons construire une usine, sans doute en Pologne, pour y produire des pâtes cuisinées destinées à l'Europe Orientale et non pas, comme certains le craignent, pour délocaliser la production de notre usine de Wanze qui continuera à approvisionner son marché actuel. Le groupe Ter Beke est un groupe familial coté en bourse depuis 1986 ».

Le Voka est l’interlocuteur officiel de gouvernement flamand. Vous présidez le VOKA qui n’est pas l’équivalent exact de l’UWE…

LDB : « Non, parce que le VOKA est l'association du VEV (Vlaams Economisch Verbond) et des six CCI flamandes, une par province sauf en Brabant flamand qui en compte deux. Cette collaboration est structurelle depuis 2003, nous représentons à peu près 70% du secteur privé et nous sommes un interlocuteur officiel du gouvernement flamand ».


Lors de la réception de Nouvel An du VOKA, vous avez brossé un portrait des trois grands secteurs économiques de la Flandre. Vous avez dit que le secteur des matières premières se portait très bien, la recherche et le développement, bien tandis que, faisant référence au secteur automobile, l’industrie manufacturière n’allait pas bien du tout. Quelle est votre vision à dix ans de l’économie flamande ?

LDB : « Nous sommes dans une économie globale qui a provoqué la crise économique et financière de 2008 au cours de laquelle le gouvernement fédéral a pris de bonnes mesures pour sauver nos institutions financières ainsi qu'en matière de chômage économique. La Flandre a été plus frappée que la Wallonie, notamment dans le secteur automobile, mais elle se redresse plus vite. Le taux de chômage en Flandre est de 6,5% alors qu'il se situe encore aux environs de 13% en Wallonie et beaucoup plus haut à Bruxelles.
Certains ont dit en Flandre que l'industrie, c'était fini mais c'est faux ! Il suffit de voir la bonne santé de Bekaert qui, à l'origine, fabriquait un produit très banal comme le fil d'acier et qui a diversifié sa production grâce à la recherche-développement. C'est aussi la recherche et les nouvelles technologies qui ont permis à mon groupe de se développer. Nous gérons par informatique l'approvisionnement des rayons charcuterie de plusieurs chaînes de la grande distribution et cela représente aujourd'hui 40% du chiffre d'affaires de la division charcuterie. La recherche est primordiale et c'est la base du plan stratégique pour l'industrie flamande que nous avons établi avec le gouvernement de Kris Peeters dans le cadre de « Vlaanderen in actie », l'équivalent du plan Marshall wallon. Ce qu'il faut, c'est changer les mentalités ! D'abord, se dire que l'avenir de l'industrie occidentale passe obligatoirement par la recherche et puis, il faut travailler ensemble, en partenariat, non seulement avec les universités mais aussi avec les syndicats, le gouvernement et l'administration ».



Les Wallons doivent être plus fiers ! C’est aussi ce qu’on entend en Wallonie. Quel regard jetez-vous sur la Wallonie que vous connaissez bien puisque votre groupe y est présent de manière importante.Photographe:

LDB : « Les Wallons ne sont ni moins intelligents ni moins travailleurs que les Flamands. Je n'adhère pas du tout au discours de certains en Flandre. Mais il y a des choses à changer en Wallonie : il faut responsabiliser les gens, les rendre plus fiers, faire en sorte qu'ils aient plus confiance en leurs possibilités. Il faut que les Wallons prennent leur sort entre leurs mains et sortent d'un système d'assistance qui s'est mis en place au fil des années dans un cadre socio-économique dominé par l'alliance objective entre le PS et la FGTB. Ceci dit, j'observe que depuis quelques années, l'orientation change au sein du parti socialiste avec de nouvelles personnalités comme les ministres Jean-Claude Marcourt ou Paul Magnette. D'ailleurs, au niveau économique, l'écart ne se creuse plus entre le Nord et le Sud ».
Cela nous amène à parler politique. On vous dit proche de la NVA…

LDB : « Il est vrai qu'en matière économique, les thèses de la NVA, comme celles de l'Open VLD, nous conviennent parfaitement mais le VOKA est une association indépendante et nous ne sommes pas séparatistes. En Flandre, il n'y a d'ailleurs que quelques pourcents de séparatistes. En fait, on est en face de deux logiques : une logique confédérale en Flandre et une logique belgo-belge en Wallonie et à Bruxelles. C'est la quadrature du cercle surtout parce qu'il y a un manque de confiance entre les négociateurs. Ce que nous voulons, c'est à la fois une réforme profonde de l'Etat et un nouveau cadre socio-économique. Mais il faut absolument arriver à un accord. Le patronat commence à s'inquiéter. Il faut que les politiques prennent à présent leurs responsabilités ».


Scinder le chômage structurel et l’activation des chômeurs. Vous vous êtes prononcé contre la scission de l’ONEM réclamée par la NVA…

LDB : « Au lieu de penser à la scission de l'ONEM ou pas, il faut discuter de l'activation des chômeurs et de la façon la plus efficace de la réalise. En fait, en matière de chômage, il faut faire la distinction entre le chômage conjoncturel et le chômage structurel. L'assurance chômage conjoncturel peut rester fédérale. Pour nous, nous ne souhaitons pas que les allocations de chômage soient différentes au Nord et au Sud. Ce que nous voulons, c'est les limiter dans le temps, par exemple deux ans, quitte à ce qu'elles soient même plus élevées qu'actuellement. Après deux ans, on ne doit plus parler de chômage conjoncturel mais de chômage structurel dont les raisons peuvent être très diverses selon les personnes et les régions. Et là, nous souhaitons que l'assistance financière soit prise en charge par les Communautés.
Ce que nous souhaitons aussi, c'est que l'activation des chômeurs soit scindée parce que les marchés de l'emploi sont très différents au Nord et au Sud. En Wallonie, c'est l'emploi des jeunes qui pose problème alors qu'en Flandre, il faut surtout s'efforcer de garder les travailleurs âgés plus longtemps au travail. Le traité de Lisbonne a fixé un objectif de 70% en matière d'emploi, ce qui est encore très loin du plein emploi. Or, nous sommes à 56% en Wallonie, aux environs de 60% à Bruxelles et à 66% en Flandre. Il y a donc encore du chemin à faire tant au Sud qu'au Nord et je pense qu'une régionalisation dans ce domaine serait plus efficace ».



Cela pose aussi le problème de la formation du côté francophone.

LDB : « Les universités francophones sont très bien cotées. C'est principalement dans l'enseignement primaire et secondaire que le problème se pose et surtout à Bruxelles. La qualité de l'enseignement est très moyenne. Ce n'est pas moi qui le dit mais les enquêtes européennes PISA. Ici se trouve un énorme défi pour la communauté francophone ».
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