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 "Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age"

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PostSubject: "Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age"   "Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age" EmptyTue Dec 04, 2012 10:23 am

Texte intéressant sur www.presseeurope.eu. Interessante tekst op www.presseeurope.eu

Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age
3 décembre 2012
Tchassa Sofia

"Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age" Middle-age-UE-separatists

Détail d'une miniature représentant le roi du Portugal à la bataille de Juberotes (1385), attribuée au Maître de la Toison d'Or de Vienne et Copenhague (1480).
British Library

Catalans, Ecossais, Flamands… L'Europe de l'Ouest succombe à son tour aux sirènes du séparatisme. Pour l'essayiste bulgare Ivaïlo Ditchev, les nouveaux nationalistes se retranchent tels les seigneurs féodaux derrière leur bien-être économique, sous couvert de défendre leur identité.

Ivaïlo Ditchev

Pour comprendre les mouvements séparatistes européens de ces 20 dernières années, je propose de nous livrer à la simulation suivante.

On lance l'idée d'une autonomie substantielle de Sofia, la capitale bulgare, avec pour objectif ultime son détachement du territoire national. Pour ce faire, nous mobilisons une cohorte d'historiens médiatiques pour prouver – par exemple – les racines celtes de la ville tombée sous la coupe d'envahisseurs du Nord, responsables du massacre de milliers de chrétiens paisibles et innocents. L'Histoire est vaste, les sujets ne manquent pas !

L'indépendance de Sofia du reste du pays, économiquement bien moins développé, entraine automatiquement une hausse de la prospérité de ses habitants – de 37 % de la moyenne européenne leurs revenus atteignent les 70 % et, avec l'exclusion habile des quartiers roms de la ville, même les 100 %. Il ne nous reste plus qu'à proclamer notre capitale "le Luxembourg des Balkans". Facile !

Il en sera de même si la ville de Munich entreprend elle aussi un jour de se libérer du "joug" allemand ; idem pour Londres. Dans ce cas les revenus de leurs habitants atteindront des chiffres astronomiques : de 300 % de la moyenne UE pour les uns, jusqu'à 600 % pour les seconds !


Une soif d'indépendance intéressée

Qu'est-ce qui peut empêcher les riches de se libérer du poids de leurs concitoyens plus pauvres ? Rappelons-nous qu'à la chute de l'Empire ottoman, les Balkans se sont enfoncés dans une crise longue de plusieurs dizaines d'années. Tout au long du XIXème siècle, par exemple, l'économie grecque était sous perfusion des grandes banques internationales – exactement comme aujourd'hui. Des ruines de l'empire austro-hongrois est né un petit pays agraire, provincial et folklorique – l'Autriche. Du temps de leur splendeur, ces entités possédaient de vastes territoires contrôlées par l'Etat central – une source de matières premières et de main d'œuvre à qui l'industrie vendait en retour ses produits.

Un échange qui demandait une bonne dose de solidarité : les riches consacraient une partie de leurs revenus pour instruire ses futurs employés, construire des routes, défendre les frontières du pays. Tout cela n'est plus de mise aujourd'hui : si Sofia déclare son indépendance, elle n'aura pas ce genre de préoccupations. L'économie est désormais globale et la sécurité est assurée par l'Alliance atlantique. Plutôt que d'acheter ses tomates à Plovdiv (sud), la ville pourra le faire à Izmir (en Turquie) ; plutôt que d'embaucher des conducteurs de trams à Vidin (nord), elle pourra employer des Indiens de New Delhi.

La construction identitaire, même fantasmagorique, a son importance – certes. Mais elle est surtout un moyen dans la lutte pour le pouvoir et les ressources économiques. A la différence de Sofia, la Catalogne possède réellement une histoire millénaire, une culture et même une langue qui lui est propre. Mais l'argument le plus sérieux des indépendantistes reste le fait que cette région est sensiblement plus riche que le reste de l'Espagne : les séparatistes gagnent la sympathie des électeurs grâce à leur refus de payer pour les autres.

En comparaison, les indépendantistes basques, qui n'hésitent pas à employer la force et la terreur, semblent bien plus déterminés dans leur lutte contre Madrid. Mais leur indépendance me semble bien plus éloignée que celle de leurs compatriotes catalans pour la simple raison qu'ils sont bien plus pauvres. Le topo est à peu près le même en Ecosse qui se prépare d'ici deux ans à organiser un référendum sur l'indépendance. Là aussi, nous avons une vieille histoire, des différences culturelles et les dégâts de l'impérialisme britannique – bref tout l'arsenal identitaire nécessaire à appuyer ce mouvement de séparation.

Mais est-ce que cette soif d'indépendance serait la même si on n'avait pas trouvé en Mer du Nord des gisements de pétrole capables de faire de l'Ecosse une deuxième Norvège – un pays qui, par ailleurs, refuse obstinément d'adhérer à l'UE ? En comparaison, le nationalisme irlandais est plus ancien, sanglant même. Mais la majorité des Irlandais du Nord s'est régulièrement prononcée contre leur indépendance.

Une logique néolibérale destructrice

Les Flamands de Belgique demandent également leur indépendance à cause de l'appauvrissement de leurs compatriotes wallons dans les années 1970. Peut-être la seule chose – à part le roi, la bière et le foot – qui fait que ce sympathique petit pays existe encore est la ville de Bruxelles, que les deux entités n'arrivent pas à se partager. Sinon, le processus de désintégration est bien avancé et la plupart des Belges que je connais se sont faits à l'idée de voir un de ces jours leur pays disparaître. [le fatalisme à la belge]

Le nationalisme corse, beaucoup plus bruyant, a en revanche beaucoup moins de chances d'aboutir, car il est peu probable que la population de l'Ile de beauté (où l'on incendie tous les étés des villas d’"intrus français") renonce aux généreuses subventions et autres avantages prodigués par la métropole.

Comment se fait-il que l'Europe de l'Ouest succombe à son tour aux séparatismes et à la désintégration à l'œuvre à l'Est du continent ? Est-ce qu'il faut en chercher la raison dans la politique irresponsable des régionalismes prônée par l'UE ? Cette politique avait pour but d'affaiblir les Etats nationaux au profit de Bruxelles. L'idée a échoué car les Etats ont bien été affaiblis, mais Bruxelles l'a été encore davantage.

Selon moi, la raison principale de la désintégration des territoires nationaux est la logique néolibérale pour qui le profit économique immédiat reste le critère unique et universel. Et c'est ainsi qu'un pays, une région ou même une ville se prennent pour des entreprises et agissent de manière égoïste sur le marché global. L'aspect visible de ce processus est le durcissement du discours identitaire qui devient plus agressif, voire fascizoïde. Des Britanniques de plus en plus anti-européens, des Allemands qui ne veulent pas payer pour les frasques des Grecs…

Le nouveau nationalisme est défensif et, au-delà des symboles, il exprime le désir d'un petit groupe de riches de se retrancher derrière les murs de leur château en abandonnant les autres à leur sort. Bienvenue au Moyen-Age !


Traduction : Alexandre Lévy



THE GUARDIAN

Across Europe, leaders fear spectre of separatists breaking countries apart

From Antwerp to Italy, separatists are making the financial case for going it alone. But how would the EU react?

Ian Traynor in Antwerp
guardian.co.uk, Thursday 22 November 2012 17.32 GMT
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"Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age" Divided-belgium-008
Graffiti is sprayed over a signpost showing both French and Flemish in Brussels. Many in Flanders believe they would be much better off if they broke away from French-speaking Wallonia. Photograph: Mark Renders/Getty Images

Amid the statuary, marble and lavish wood panelling inside Antwerp's Renaissance-era town hall, a slow revolution is being plotted. Strolling in the autumn sunshine outside, Martin Roef seems an unlikely radical, but the retired lawyer harbours few doubts about the machinations of the politicians inside.

"The problem's down south. It's the French-speakers. They eat from the north, they eat from us and they want it to stay that way. We should split up and make Flanders a separate country. We'd be better living together but separately. Perhaps De Wever will make a difference."

He is referring to the rising star of Belgian politics, who has just conquered the town hall in a victory that merits the term historic. Bart de Wever, leader of the New Flemish Alliance, is a separatist and nationalist bent on redrawing the map of the European Union. Like Alex Salmond in Edinburgh or Artur Mas in Barcelona, De Wever is far from a fringe extremist. He is a mainstream conservative who wants to break Belgium apart and whose support is soaring.

"The end goal is clear for De Wever. He wants Flanders as an independent state in a democratic Europe," said Lieven de Winter, a professor of politics and expert on European regionalism at Belgium's Louvain University.

Catalonia goes to the polls this weekend in a fateful early election tipped to produce a mandate for an independence referendum. Scotland has its vote on separate statehood in two years. Around the same time in 2014, De Wever looks likely to be fighting national and regional elections in Belgium from a position of strength, seeking support for the gradual break-up of the country between Dutch-speaking Flanders in the north and French-speaking Wallonia in the south.

"He will certainly be calling for a form of confederalism, meaning two separate states that do a couple of things together," said De Winter.

"He has a new vision for politics, for the city, and for the country," said Robert van de Voorde, a post office worker. "He's very radical. He's saying we Flemish have had enough. I don't want a break-up, but it's very possible. A lot of Flemish think it would be better."

Antwerp v Brussels, Edinburgh v London, Barcelona v Madrid – in this tussle of regionalism against national capitals, Europe is both cause and effect.

All of these mainstream separatists are committed Europeans, insisting that if their independence campaigns are successful they should seamlessly assume membership of the EU. Not so fast, respond the current national leaders and policy-makers in the EU capital.

Three years of currency, debt, and financial crisis have set Europe's wealthy countries against the poor, the fiscally rigorous against the reckless, and triggered a certain renationalisation and fragmentation. Separatism, always present, has been boosted. "It is about money," said De Winter.

Flanders is much wealthier and more productive than Wallonia. De Wever stokes grievance against the poorer region by referring to the federal centre as "the taxation government of French-speakers" and railing against welfare spongers.

With Catalonia just about the richest part of crisis-hit Spain, the independence drive there is also fuelled by economic self-interest or selfishness, depending on your point of view.

Parallel frictions over how to slice up the national cake are similarly present in Germany, where the wealthy federal states of the south, Bavaria and Baden-Würtemberg, are fed up with subsidising the needier parts of the country. In Italy the same arguments over why Milan should pay for Naples have kept the neo-separatist Northern League in business for years.

Back in the 90s when Yugoslavia and Czechoslovakia splintered, relative wealth was again a key factor, with the Prague leadership calculating the Czechs would be much better off without their poorer Slovak cousins, while Slovene and Croatian secessionism were party fired by exasperation at seeing their revenues swallowed up by Belgrade.

But if De Wever, Salmond and Mas all emphasise that their putative new countries must be granted seats at the EU's top tables, it is not that straightforward. With the exception of Algerian independence from France in 1962 – an example not relevant to the current dilemmas – no European Union member state has ever broken apart, thrusting the EU into uncharted and uncertain territory over how to respond.

It is inconceivable the EU could ignore the democratically expressed will of the Catalan people if they vote freely for independence, argues Mas. But national leaders of the EU would need to agree to admit new members. Would a Spanish prime minister or (Greek) Cypriot president welcome a country called Scotland into the EU?

"Several countries would not want to make that an easy precedent," says a senior EU official.

A handful of EU countries refuse to recognise the Kosovo secession from Serbia in the Balkans. They include Spain, Cyprus and Slovakia for reasons of domestic politics – fear of the impact of legalising potential secessions or partitions at home.

"The departing entity from a member state wouldn't get EU membership automatically," says the EU official, contradicting Scotland's deputy first minister, Nicola Sturgeon of the SNP, among others. "You need unanimous agreement among the member state governments and parliamentary ratifications. It's a legal minefield and very tricky. You could have a situation where Scotland keeps its six MEPs but is not a member state in the European council [of national governments]. The onus is not in favour of the secessionists."

These uncertainties may yet have an impact on the trajectory of the independence campaigns. Catalonia in Europe may well attract majority support. But if Catalans are told they could be excluded, however temporarily, from the EU, that could change voters' minds. Ditto in Flanders, of which Brussels, albeit a French-speaking city, is the historical capital as well as the EU capital.

In the UK, the EU is less of a toxic issue in Scotland than in England. Eurosceptic or Europhobic conservatism are minority sports there while increasingly prevalent in England. If, by the time of Scotland's date with destiny in 2014, it looks as though a Conservative government in London is leading Britain to the EU exit, support for independence may be boosted.

"Europe is being used and abused," said De Winter. "But the main national capitals are likely to give the separatists a hard time."

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kyrios

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PostSubject: Re: "Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age"   "Les séparatismes ramènent l’Europe au Moyen-Age" EmptyTue Jul 26, 2016 11:07 pm

De jongste tijd worden we steeds meer geconfronteerd met de almaar luidere roep naar een onafhankelijk Vlaanderen.
Bewust gebruikt men in dat opzicht sympathiek klinkende termen zoals onafhankelijkheid en zelfbestuur terwijl het eigenlijk neerkomt op de vernietiging van België en meteen ook van de welvaartstaat zoals we die tot nu toe kenden.
Velen zijn door de onophoudelijke propaganda die gevoerd wordt de mening toegedaan dat een onafhankelijk Vlaanderen inderdaad ook een verbetering voor Vlaanderen zou kunnen meebrengen.
Die verbetering zou er in de eerste plaats komen door een forse kapitaalsinjectie in de Vlaamse economie , het geld dat men daarvoor nodig zou hebben is dan immers ruim voorhanden doordat er in een onafhankelijk Vlaanderen geen sprake meer zou zijn van de fameuze geldstroom van Vlaanderen naar Wallonië.
Op het eerste zicht lijkt alles te kloppen als een bus maar voor wie tweemaal nadenkt komen algauw de nadelen en zelfs de totale rampspoed naar voor die een splitsing van België met zich mee zal brengen.

Met de regelmaat van de klok verschijnen er in de media verhalen van goedkope Oost-Europese arbeidskrachten die hier de jobs van de lokale bevolking komen inpikken.
Ook zien we dikwijls bedrijven van hieruit vertrekken naar deze lage-loon landen.
Door de vele beslommeringen die zo’n délokalisatie met zich meebrengt laten gelukkig niet alle bedrijven zich tot een dergelijke verhuis verleiden.
Geheel anders zal de situatie zijn wanneer men erin slaagt om België op te splitsen in twee delen of van zodra men zelfs maar de sociale zekerheid opsplitst.
Wallonië zal er van dan af helemaal alleen voorstaan en zal niet meer over de middelen beschikken om een sociaal zekerheidsstelsel te financieren voor hun werklozen , ouderen en zieken.
Deze nieuwe zelfgecreëerde straatarme buur zal zich bovendien genoodzaakt zien om vele mensen die nu nog in staatsverband tewerkgesteld zijn op straat te zetten door gebrek aan financiële middelen.
Om brood op de plank te krijgen voor zichzelf en hun familie zal dit immens leger werklozen nu verplicht zijn om tegen elke prijs werk te vinden.
Omdat de zware Waalse industrie (waardoor België en in het bijzonder Vlaanderen zich tijdens de moeilijke crisisjaren recht kon houden) op sterven na dood is zullen deze hopelozen zich massaal op het welvarende Vlaanderen richten.
De Vlaamse industrie zal door zo’n groot en plots aanbod van werkwilligen aan lage loontjes rap hun keuze gemaakt hebben.
Door de wet van vraag en aanbod en door onderlinge concurrentie gedreven zal zij niet anders kunnen dan deze sterk gemotiveerde werkzoekenden tewerk te stellen aan absolute minimumlonen.
De desastreuze gevolgen zullen niet lang op zich laten wachten.
Wie nu in Vlaanderen zijn job zal willen behouden zal bereid moeten zijn om ook aan deze voorwaarden te werken.
Resultaat : Lagere lonen , verslechterende arbeidsvoorwaarden vermindering van levensstandaard en koopkracht en dus een ramp voor de middenstand en kmo’s.

Daaruit zal onvermijdelijk volgen een vermindering van belastingsinkomsten voor de staat , waardoor ook hier in Vlaanderen de goede sociale voorzieningen (kinderbijslag,pensioenen,ziekteverzekering, enz…)voorgoed tot het verleden zullen behoren.
Welvaart voor Vlaanderen door een onafhankelijk Vlaanderen , de slogan van de Vlaams nationalistische separatisten zal binnen de kortste keren tot een echte nachtmerrie verworden. Welvaart zal slechts nog een vage herinnering uit de goeie oude tijd zijn.

Maar onze industrie zal er dan toch wel bij varen zullen sommigen opperen.
Helaas ook hier zal dit geenszins het geval zijn want alhoewel de lonen zullen dalen zullen ze toch niet dalen tot op het niveau van de nieuw opgekomen industrielanden.
Onze lonen zullen bevriezen op het niveau van de bestaands en loon minima die hier hoe dan ook nog altijd hoger zullen zijn dan die in de ex-Oostbloklanden en het verre oosten.
We zullen dus armer geworden zijn maar nog net niet straatarm en daardoor zullen we willens- nillens gedwongen worden enkel nog de goedkoopste goederen aan te kopen.
In realiteit wil dat zeggen , enkel nog die goederen die geproduceerd werden in die lage-loon landen.
Bedenk wel dat dit enkel maar mogelijk is dank zij de aan slavenarbeid grenzende condities waaronder deze mensen ginder moeten werken.
En daartegenover zal zelfs onze industrie het loodje moeten leggen.

In Wallonië zal intussen de toestand zo mogelijk nog schrijnender geworden zijn.
De armlastige Waalse regering zal het aan zichzelf en zijn bevolking verplicht zijn om op zijn beurt tegen elke prijs werk te creëren en zal dat enkel kunnen doen door “vreemd” kapitaal aan te trekken voor nieuw op te richten industrieën in wat we tot nu toe als de groene long van België kunnen beschouwen.
Niet meer geremd door enige Belgische wetgeving zal Wallonië zich als het ware automatisch gedwongen zien om aan investeerders de soepelste Europese bedrijfs,milieu en lonen ethiek aan te bieden.
In dit geval zijn dit de loon en arbeidsvoorwaarden van de nieuw aangesloten Oost-Europese lidstaten.
Men hoeft er geen moment over te twijfelen dat deze investeerders in de eerste plaats uit Vlaanderen zullen komen.
Immers ,wie er tot nu toe tegen opzag om zijn bedrijf te verhuizen zal nu met een soort van tweede Roemenië op 30 km van zijn achterdeur geen seconde twijfelen.
Kortom een neerwaartse spiraal die eenmaal als ze een feit is nog moeilijk zal om te keren zijn.

Indien iedereen zomaar kritiekloos blijft meelopen in dit verdeel en heers beleid zal de prijs die we daar met z'n allen (industrieelen,zelfstandigen,kmo's,loontrekkenden,hulpbehoevenende en vrije beroepen) voor zullen moeten betalen zeer hoog zijn.
De eerste tekenen zijn reeds zichtbaar,moordende concurrentie voor de bedrijven,loonmatigingen,kafkaiaanse administratie,afbouw van de pensioenen,toenemende werkdruk etc...
De welvaart die we tot voor kort kenden zal enkel nog iets zijn waar we met heimwee en weemoed aan zullen terugdenken.

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