Déficit dramatique en région "flamande"

Flandre : perspectives budgétaires « dramatiques »

BELGA

mardi 16 juin 2009, 20:01

A politique inchangée, le budget flamand engendrera d’ici 2014 une dette de près de 10 milliards d’euros, sans disposer de marges permettant des initiatives nouvelles, indiquent les chiffres publiés mardi par le Serv, le Conseil social et économique flamand.

Selon cet organe consultatif, le dernier gouvernement flamand s’est basé depuis 2008 sur un budget trop « expansif, dont le poids s’est ajouté à celui de la crise financière et des opérations de sauvetage du secteur financier. C’est à la demande du formateur flamand Kris Peeters que l’organisme regroupant les partenaires sociaux a remis prématurément son rapport annuel, d’habitude dévoilé le deuxième mercredi de juillet. Il servira donc de document de travail aux négociations pour la formation du prochain gouvernement flamand.

Les responsables du Conseil parlent carrément de situation dramatique, avec une dette de 10 milliards à l’horizon 2014 à politique inchangée, d’ » un niveau jamais vu en Flandre ». Ils prévoient une chute des recettes de plus de 900 millions en 2009. Et il faudra attendre 2011 pour voir les recettes primaires remonter au niveau de 2008.

Le rapport met aussi le doigt sur un problème structurel : depuis 2008 et surtout en 2009, le budget flamand a atteint un taux d’expansion divergeant largement de la croissance structurelle des recettes. La différence atteindrait ainsi 1,32 milliard en 2009.

Pour remédier à cette situation grave, le Serv propose notamment à l’équipe gouvernementale qui sera mise en place d’en revenir dès 2010 à un budget en équilibre, qui élimine tant la divergence structurelle que les effets de la crise. Un autre scénario prévoit une trajectoire budgétaire scindée, permettant de remédier à la divergence structurelle en 2010 et répartissant les effets de la crise sur la durée de la législature.

(belga)

Belgica wrote:

Flandre : perspectives budgétaires « dramatiques »

BELGA

mardi 16 juin 2009, 20:01

A politique inchangée, le budget flamand engendrera d’ici 2014 une dette de près de 10 milliards d’euros, sans disposer de marges permettant des initiatives nouvelles, indiquent les chiffres publiés mardi par le Serv, le Conseil social et économique flamand.

Selon cet organe consultatif, le dernier gouvernement flamand s’est basé depuis 2008 sur un budget trop « expansif, dont le poids s’est ajouté à celui de la crise financière et des opérations de sauvetage du secteur financier. C’est à la demande du formateur flamand Kris Peeters que l’organisme regroupant les partenaires sociaux a remis prématurément son rapport annuel, d’habitude dévoilé le deuxième mercredi de juillet. Il servira donc de document de travail aux négociations pour la formation du prochain gouvernement flamand.

Les responsables du Conseil parlent carrément de situation dramatique, avec une dette de 10 milliards à l’horizon 2014 à politique inchangée, d’ » un niveau jamais vu en Flandre ». Ils prévoient une chute des recettes de plus de 900 millions en 2009. Et il faudra attendre 2011 pour voir les recettes primaires remonter au niveau de 2008.

Le rapport met aussi le doigt sur un problème structurel : depuis 2008 et surtout en 2009, le budget flamand a atteint un taux d’expansion divergeant largement de la croissance structurelle des recettes. La différence atteindrait ainsi 1,32 milliard en 2009.

Pour remédier à cette situation grave, le Serv propose notamment à l’équipe gouvernementale qui sera mise en place d’en revenir dès 2010 à un budget en équilibre, qui élimine tant la divergence structurelle que les effets de la crise. Un autre scénario prévoit une trajectoire budgétaire scindée, permettant de remédier à la divergence structurelle en 2010 et répartissant les effets de la crise sur la durée de la législature.

(belga)

Daar zijn we zo vanaf, financieringswet bijsturen en we hevelen het over naar de federale overheid

perikles wrote:

Belgica wrote:

Flandre : perspectives budgétaires « dramatiques »

BELGA

mardi 16 juin 2009, 20:01

A politique inchangée, le budget flamand engendrera d’ici 2014 une dette de près de 10 milliards d’euros, sans disposer de marges permettant des initiatives nouvelles, indiquent les chiffres publiés mardi par le Serv, le Conseil social et économique flamand.

Selon cet organe consultatif, le dernier gouvernement flamand s’est basé depuis 2008 sur un budget trop « expansif, dont le poids s’est ajouté à celui de la crise financière et des opérations de sauvetage du secteur financier. C’est à la demande du formateur flamand Kris Peeters que l’organisme regroupant les partenaires sociaux a remis prématurément son rapport annuel, d’habitude dévoilé le deuxième mercredi de juillet. Il servira donc de document de travail aux négociations pour la formation du prochain gouvernement flamand.

Les responsables du Conseil parlent carrément de situation dramatique, avec une dette de 10 milliards à l’horizon 2014 à politique inchangée, d’ » un niveau jamais vu en Flandre ». Ils prévoient une chute des recettes de plus de 900 millions en 2009. Et il faudra attendre 2011 pour voir les recettes primaires remonter au niveau de 2008.

Le rapport met aussi le doigt sur un problème structurel : depuis 2008 et surtout en 2009, le budget flamand a atteint un taux d’expansion divergeant largement de la croissance structurelle des recettes. La différence atteindrait ainsi 1,32 milliard en 2009.

Pour remédier à cette situation grave, le Serv propose notamment à l’équipe gouvernementale qui sera mise en place d’en revenir dès 2010 à un budget en équilibre, qui élimine tant la divergence structurelle que les effets de la crise. Un autre scénario prévoit une trajectoire budgétaire scindée, permettant de remédier à la divergence structurelle en 2010 et répartissant les effets de la crise sur la durée de la législature.

(belga)

Daar zijn we zo vanaf, financieringswet bijsturen en we hevelen het over naar de federale overheid

Met alle bevoegdheden der deelstaat.

Bruno wrote:

perikles wrote:

Belgica wrote:

Flandre : perspectives budgétaires « dramatiques »

BELGA

mardi 16 juin 2009, 20:01

A politique inchangée, le budget flamand engendrera d’ici 2014 une dette de près de 10 milliards d’euros, sans disposer de marges permettant des initiatives nouvelles, indiquent les chiffres publiés mardi par le Serv, le Conseil social et économique flamand.

Selon cet organe consultatif, le dernier gouvernement flamand s’est basé depuis 2008 sur un budget trop « expansif, dont le poids s’est ajouté à celui de la crise financière et des opérations de sauvetage du secteur financier. C’est à la demande du formateur flamand Kris Peeters que l’organisme regroupant les partenaires sociaux a remis prématurément son rapport annuel, d’habitude dévoilé le deuxième mercredi de juillet. Il servira donc de document de travail aux négociations pour la formation du prochain gouvernement flamand.

Les responsables du Conseil parlent carrément de situation dramatique, avec une dette de 10 milliards à l’horizon 2014 à politique inchangée, d’ » un niveau jamais vu en Flandre ». Ils prévoient une chute des recettes de plus de 900 millions en 2009. Et il faudra attendre 2011 pour voir les recettes primaires remonter au niveau de 2008.

Le rapport met aussi le doigt sur un problème structurel : depuis 2008 et surtout en 2009, le budget flamand a atteint un taux d’expansion divergeant largement de la croissance structurelle des recettes. La différence atteindrait ainsi 1,32 milliard en 2009.

Pour remédier à cette situation grave, le Serv propose notamment à l’équipe gouvernementale qui sera mise en place d’en revenir dès 2010 à un budget en équilibre, qui élimine tant la divergence structurelle que les effets de la crise. Un autre scénario prévoit une trajectoire budgétaire scindée, permettant de remédier à la divergence structurelle en 2010 et répartissant les effets de la crise sur la durée de la législature.

(belga)

Daar zijn we zo vanaf, financieringswet bijsturen en we hevelen het over naar de federale overheid

Met alle bevoegdheden der deelstaat.

Ha neen he, de franstaligen hebben het jarenlang andersom gedaan, nu is het aan Vlaanderen

PS: vergeet niet dat het hier over investeringen gaat, die komen nier als 10 mlj. op de begroting

En dan dragen de gewesten nog niet eens de staatsschuld...

Quote :

En dan dragen de gewesten nog niet eens de staatsschuld...

Om het op zijn 'simsons' te zeggen: ja DEUHEUH. Uiteraard dragen de gewesten die schulden niet, dat is immers ooit zo afgesproken. Vlaanderen staat momenteel op een 0-schuld, dus die 10 miljard zouden geen ramp zijn (als ze hun effect hebben). 10 miljard euro is trouwens minder dan de transferts, en jullie zeggen zelf altijd dat die niet zo groot zijn... Wat is het probleem dan?

De staatsschulden werden destijds gemaakt om het rijk te voorzien van een degelijke infrastructuur. Infrastructuurwerken die voornamelijk in laag België werden doorgevoerd. De eerste treinverbinding op het Europese vasteland liep van Mechelen naar Brussel. Enorme havens werden uitgebouwd, scholen werden opgericht. De regios kregen het vruchtgebruik over al deze domeinen maar de schuldenlast bleef bij het federaal niveau.

Ik zou denken dat met de overdracht van bevoegdheden ook de overdracht van de bijhorende schuldenlast maar heel normaal zou zijn. Wie zien echter dat er samen met extra bevoegdheden en het vruchtgebruik van voormalig federale infrastructuur gigantische dotaties naar de regio's gaan zonder dat men daar ook maar één eurocent aan schuldenlast moet bijdragen.

Men krijgt alles zomaar gratis en voor niets in de schoot geworpen en daarbovenop zet de federale overheid de geldkraan wagenwijd open voor de regio's. Dit in die mate dat ze zelf armlastig wordt.

Indien de ondankbare kinderen hun hautaine gedrag niet wijzigen zou het wel eens kunnen dat de geldkraan dichtgedraaid wordt.

kyrios wrote:

De staatsschulden werden destijds gemaakt om het rijk te voorzien van een degelijke infrastructuur. Infrastructuurwerken die voornamelijk in laag België werden doorgevoerd. De eerste treinverbinding op het Europese vasteland liep van Mechelen naar Brussel. Enorme havens werden uitgebouwd, scholen werden opgericht. De regios kregen het vruchtgebruik over al deze domeinen maar de schuldenlast bleef bij het federaal niveau.

Ik zou denken dat met de overdracht van bevoegdheden ook de overdracht van de bijhorende schuldenlast maar heel normaal zou zijn. Wie zien echter dat er samen met extra bevoegdheden en het vruchtgebruik van voormalig federale infrastructuur gigantische dotaties naar de regio's gaan zonder dat men daar ook maar één eurocent aan schuldenlast moet bijdragen.

Men krijgt alles zomaar gratis en voor niets in de schoot geworpen en daarbovenop zet de federale overheid de geldkraan wagenwijd open voor de regio's. Dit in die mate dat ze zelf armlastig wordt.

Indien de ondankbare kinderen hun hautaine gedrag niet wijzigen zou het wel eens kunnen dat de geldkraan dichtgedraaid wordt.

Over welke hautaine kinderen heeft u het hier ... u bent blijkbaar vergeten dat het Leuvens Economisch Centrum onder leiding van Paul van RRompuy, Vic van Romput en Dirk Heremans jaren geleden gepleit hebben voor eigen gewestelijke en gemeenschappelijke belastingen die zouden dienen voor de financiering van de bevoegdheden van de gemeenschappen en gewesten, dat is toen afgeschoten door het federale parlement.

PS: de staatsschuld is niet opgebouwd door infrastructuurwerken her en der, onze buurlanden hebben even veel infrastructuurwerken en veel minder staatsschuld, leg me dat eens uit.

Et aussi dans l'autre région superflue, on a des problèmes budgétaires !

LE SOIR

Ciel sombre sur les finances du sud du pays

Rédaction en ligne

mercredi 17 juin 2009, 18:46

Les partenaires francophones négociant la formation d'un Olivier ont fait le point sur la situation budgétaire dans le sud du pays ce mercredi. Et une chose se confirme : les perspectives sont très mauvaises. Une situation qu'Elio Di Rupo impute à la « crise libérale » plutôt qu'à la gestion des comptes sous la législature précédente.

Selon une note interne du PS remontant au mois de mai, les perspectives budgétaires pour la Région wallonne et la Communauté française sont plutôt sombres.

A la Région, le ratio d'endettement devrait passer de 63 % actuellement à 92 % en 2014. Sans même tenir compte des efforts que demandera le niveau fédéral aux entités fédérées pour respecter le Pacte de stabilité, les soldes budgétaires sont également dans le rouge : déficit de 280 millions d'euros en 2009, de 442 millions d'euros en 2010, de 387 millions en 2011, de 348 millions en 2012, de 263 millions en 2013 et 47 millions en 2014.

A la Communauté, le diagnostic n'est pas plus rassurant : un déficit de 346 millions d'euros est attendu en 2010, de 407 millions d'euros en 2011, de 399 millions d'euros en 2012, de 364 millions d'euros en 2013 et 334 millions d'euros en 2014.

Selon une étude du professeur Robert Deschamps, le déficit serait de 245 millions d'euros en 2009 à la Communauté française et de 518 millions d'euros en 2010. Comme indiqué dans Le Soir de ce mercredi, l'étude définitive prévoirait en 2010 un trou supérieur à 600 millions d'euros pour la Communauté (et supérieur à 400 millions pour la Région wallonne).

« Il faut objectiver », a indiqué ce mercredi le président du PS Elio Di Rupo, estimant que les données avancées dans la presse étaient prématurées mais reconnaissant que la situation s'était détériorée, en raison, selon lui, de « la crise libérale ». Imputant également le ressac budgétaire à la crise, la présidente du cdH, Joëlle Milquet a souligné qu'il ne s'agissait pas d'« un problème lié à la gestion antérieure ».

Exigeant une radioscopie, Ecolo a répété par l'entremise de Jean-Michel Javaux que « chiffrer des priorités » sera rendu « très très difficile », sachant qu'on ne « pourra pas faire tout et n'importe quoi ». Jean-Marc Nollet a dit beaucoup attendre de la mise à plat budgétaire, rappelant que lorsque les Verts ont quitté la majorité en 2004, la Communauté venait de bénéficier de l' » apport du refinancement, une des grandes victoires d'Ecolo ».

Le ministre du Budget en Région wallonne et en Communauté française Michel Daerden a admis mercredi que la situation était difficile. « Les paramètres sont évidemment très mauvais et ne font que se dégrader au fil des semaines, à l'Europe, en Belgique et dans les entités fédérées ». Cela augure de la « complexité » du contrôle budgétaire qui constituera le premier acte de la nouvelle coalition, avant que celle-ci arrête une projection pluriannuelle.

Quant à la situation de la dette, M. Daerden a rappelé qu'elle était en régression jusqu'à la fin 2008. « Mais si déficit il doit y avoir, la dette aura tendance à réaugmenter », a-t-il consenti.

(belga)

kyrios wrote:

Mijn beste Perikles,

Blijkbaar weet u beter dan wie dan ook waar onze mysterieuze staatsschuld vandaan komt. Ik begrijp dat die volgens u zeker niet komt vanwege infrastructuurwerken die de jonge staat België doorvoerde (openbare gebouwen, sporen en stations, wegennet, havenuitbouw, onderwijsinstellingen etc...).

Ik zou denken dat we pas in 1831 een aanvang konden nemen met de oprichting van de structuren die bij een nieuwe staat horen. Ik zou denken dat de contreien hier door de mogendheden die er tot dan toe over heersten quasi aan hun lot werden overgelaten of er zoveel mogelijk door werden uitgeknepen. Een tevreden bevolking zou het immers nooit tot een revolutie laten komen. De revolutie kwam er toch wat mijn vermoeden in deze versterkt.
De bestuurders van België moesten dus van zo goed als van nul beginnen terwijl andere landen dit al van

Verder ben ik ook de mening toegedaan dat de staatsschuld vooral de laatste dertig jaar exponentieel is toegenomen. Het zou wel eens nuttig zijn om daar cijfermateriaal over te raadplegen.
Indien die staatsschuld in de ons omringende landen niet min of meer evenredig is toegenomen dan is er eigenlijk maar één conclusie mogelijk nietwaar. Want waar hebben onze politici zich in de laatste dertig jaar mee bezig gehouden waar de politici in de ons omringende landen zich niet mee hebben onledig gehouden ?

Misschien had het iets te doen met wafelijzer politiek, een politiek die pas gestopt is toen er eindelijk werd gefederaliseerd