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| Kongo | |
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Jo
Number of posts : 427 Location : Assebroek Registration date : 2010-03-29
| Subject: Kongo Thu Jul 08, 2010 8:31 pm | |
| Au Congo, Tintin ne parlait pas flamand [naar index] 25-06-2010 - F.Janne d’Othée - Le vif
« Pourquoi ne nous avez-vous jamais appris à parler le néerlandais au Congo? Maintenant, je ne trouve pas de travail car on exige partout des bilingues. » Ainsi soupire un Bruxellois d’origine congolaise dans Kuifje en Tintin kibbelen in Afrika (Kuifje et Tintin se chamaillent en Afrique) (1), où l’historien Evert Kets passe à la loupe les liens qui unissent les Flamands à l’ancienne colonie.
« Bien que le Congo belge soit depuis 1908 une colonie bilingue, du moins sur le papier, ce bilinguisme est resté sur le terrain lettre morte », écrit-il. De fait, seul le français était utilisé comme langue d’enseignement et d’administration. Les décrets d’application du bilinguisme n’ont été pris qu’en... 1957, sans être jamais entrés en vigueur. « Cela en dit long sur les rapports de force dans la Belgique d’alors », grince Evert Kets.
« Flamand » est même devenu une injure !
L’histoire de la colonie s’est calquée sur celle de la métropole. Or la Belgique s’est construite sur la langue française, qui était celle des élites en Europe. Le roi Léopold II lui-même ne parlait guère le néerlandais. Cette francisation fut également appliquée au Rwanda-Urundi, territoires cédés à la Belgique après la Première Guerre mondiale. « On ne pouvait pas rêver d’une carrière coloniale si on ne parlait pas le français, explique l’écrivain David Van Reybrouck, qui vient de publier Congo. Een geschiedenis (Congo, une histoire), une somme de plus de 600 pages (2). Même pour les Flamands les plus pointus, le français au Congo n’était pas la langue de l’oppresseur, mais celle qui ouvrait de nouvelles opportunités. »
Ceux qui la maîtrisaient mal étaient envoyés dans la brousse et affectés à des tâches subalternes. « Donner des ordres, prélever l’impôt, infliger des punitions étaient davantage des jobs pour les Flamands, signale Evert Kets. Ils étaient donc moins bien considérés par les autochtones. Comme ils se retrouvaient plus souvent en contact avec la population locale, ils avaient également la réputation d’être plus durs. « Flamand » est même devenu une injure ! »
Le néerlandais (dont les dialectes n’étaient pas encore harmonisés) n’avait donc pas vraiment la cote. Pour les Congolais, il représentait un obstacle supplémentaire sur la voie de leur émancipation. Il était même devenu suspect, car utilisé pour empêcher de comprendre certaines conversations, par exemple en cas de troubles.
Par contre, les Flamands ont vite montré leur intérêt pour les cultures et les langues locales au Congo, sans doute au nom de la solidarité entre les cultures opprimées. « Ce n’est que dans les années 1950 que le néerlandais a gagné du terrain dans l’Afrique belge, mais cette évolution a été cassée par la soudaine décolonisation entre 1960 et 1962 », explique Evert Kets. En 1956, le professeur Jef Van Bilsen avait prôné un plan de trente ans pour décoloniser l’Afrique belge. Ce fut en vain, mais le Congo serait peut-être devenu entre-temps bilingue, et le néerlandais une langue mondiale! Au lieu de cela, Flamands et francophones ont œuvré ensemble pour faire de Kinshasa la plus grande ville francophone au monde...
« S’il fallait opter pour une deuxième langue, c’est l’anglais qui aurait eu leur préférence », notait dans ses mémoires le colonel Frédéric Vandewalle, dernier chef de l’administration de la Sûreté au Congo. L’anglais a d’ailleurs préexisté au français, grâce aux missionnaires protestants.
« Walen buiten van Congo » La Flandre s’est-elle coupée du Congo ? L’approche très critique du Flamand Karel De Gucht (Open VLD) s’est révélée bien différente de celle de son prédécesseur francophone Louis Michel (MR), qui a remis le Congo au cœur de l’agenda européen, et a longtemps couvé Kabila d’une sorte de bienveillance paternelle. Plus attentifs au « goed bestuur » (bonne gouvernance), les Flamands restent davantage enclins à conditionner l’aide, tandis que les francophones attachent plus d’importance aux anciens liens culturels, si l’on en juge par le nombre de visites à Kinshasa de ministres francophones ou le dynamisme du Centre Wallonie-Bruxelles.
Congolais et Belges francophones, même combat ? Loin s’en faut. Lors d’une manif à Bruxelles en 2007, des supporters de Jean-Pierre Bemba agitaient des drapeaux flamands, et sur un des calicots on pouvait lire Walen buiten van Congo ! Les francophones, soupçonnés de manquer de distance à l’égard du pouvoir congolais, en ont pris pour leur grade.
En fait, le clivage est plus politique que communautaire. Qui s’est fait le plus chambrer ces dernières semaines ? Le Flamand Pieter De Crem (CD&V), pour avoir osé suggérer d’inviter une délégation de soldats congolais pour le 21 juillet. « Une simple formule de politesse », s’était-il défendu. « Aujourd’hui, la Flandre s’intéresse à nouveau au Congo, et dans des proportions jamais vues », assure David Van Reybrouck.
Une nouvelle génération, débarrassée des gènes coloniaux, montre une énorme curiosité à l’égard de l’ancienne colonie.» Bientôt une « Vlaams Huis » à Kinshasa, pour montrer toutes les facettes de la culture flamande ? L’idée mérite d’être creusée : certains Congolais se sont arrêtés au chant des colons « Viva Boma pataten met saucisse »...
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| | | Diogène
Number of posts : 1611 Age : 47 Location : Absurdistan Registration date : 2008-11-26
| Subject: Re: Kongo Thu Jul 08, 2010 11:35 pm | |
| - Jo wrote:
- « On ne pouvait pas rêver d’une carrière coloniale si on ne parlait pas le français, explique l’écrivain David Van Reybrouck, qui vient de publier Congo.
Net zoals men nu het Engels machtig moet zijn wil men internationaal doorbreken... Ik vind het verder toch vreemd dat de Vlaamse Beweging dergelijke taalwantoestanden nooit aangeklaagd heeft, heeft men toevallig oude rekeningen te vereffenen? | |
| | | Jo
Number of posts : 427 Location : Assebroek Registration date : 2010-03-29
| Subject: Re: Kongo Thu Jul 08, 2010 11:48 pm | |
| - Diogène wrote:
- Jo wrote:
- « On ne pouvait pas rêver d’une carrière coloniale si on ne parlait pas le français, explique l’écrivain David Van Reybrouck, qui vient de publier Congo.
Net zoals men nu het Engels machtig moet zijn wil men internationaal doorbreken...
Ik vind het verder toch vreemd dat de Vlaamse Beweging dergelijke taalwantoestanden nooit aangeklaagd heeft, heeft men toevallig oude rekeningen te vereffenen? In het jongste nummer van het hoogwetenschappelijke historisch tijdschrift WETENSCHAPPELIJKE TIJDINGEN is zopas een uitvoerige studie verschenen over de wijze waarop Vlamingen zich ook - te weinig en te laaat - tegen die wantoestanden vruchteloos hebben verzet. Afgezien van het feit, dat elke kolonisatie zelf een immorele bedoening en een permanente verkrachting van de mensenrechten was, was de toestand in de Belgische kolonie in dat taalaspect een afspiegeling van de wantoestanden in het moederland. (Er is in de Belgische geschiedenis heel weinig om trots over te zijn.) | |
| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: Kongo Fri Jul 09, 2010 11:19 am | |
| Congo ligt duizenden kilometers van België, maar Frans-Vlaanderen is op een boogscheut van Poperinge. Waarom maken de flaminganten daar geen kabaal? Is Frans-Vlaanderen Vlaanderen niet? Hebben de Nederlandstaligen daar geen recht op bescherming? In Congo zijn er geen Nederlandstaligen, dus is er ook geen enkel probleem. | |
| | | Jo
Number of posts : 427 Location : Assebroek Registration date : 2010-03-29
| Subject: Re: Kongo Fri Jul 09, 2010 11:51 am | |
| Nog maar een keer uitgelegd aan dat achterlijk jongetje achteraan in de klas: Frans-Vaanderen is een deel van Frankrijk, de bewoners van dat gebied zijn Franse staatsburgers, en spreken nagenoeg, en zonder problemen, allemaal Frans. Als zij daar verandering in willen brengen, is dat hun recht. Dat respecteren wij. Maar als moderne Europeanen willen wij geen afbreuk doen aan de taalvrede en aan de souvereinitieit van hun land. In het kader van het cultureel akkoord tussen België/Vlaanderen wordt wel sinds tientallen jaren steun verleend aan de organisatie van cursussen Nederlands in Frankrijk. En daarin verschillen wij juist van de taalracisten, die geen Nederlands willen kennen, en met steun van de zogenaamd "Belgischgezinde" BUB de constitutionele souvereiniteit van het Nederlandse taalgebied in België niet erkennen en niet respecteren en er voortdurend en systematisch de taalvrede schenden. En daaruit blijkt dat wij, gesmade flaminganten, in feite meer humanistisch, moderner, democratischer, politiek corrrecter handelen en denken dan de oubollige tricolore vendelzwaaiers! En de geschiedenis zal ons gelijk geven. | |
| | | Sprakeloos
Number of posts : 1205 Location : Antwerp Registration date : 2008-12-03
| Subject: Re: Kongo Fri Jul 09, 2010 11:58 am | |
| - Jo wrote:
- Nog maar een keer uitgelegd aan dat achterlijk jongetje achteraan in de klas:
Frans-Vaanderen is een deel van Frankrijk, de bewoners van dat gebied zijn Franse staatsburgers, en spreken nagenoeg, en zonder problemen, allemaal Frans. Als zij daar verandering in willen brengen, is dat hun recht. Dat respecteren wij. Maar als moderne Europeanen willen wij geen afbreuk doen aan de taalvrede en aan de souvereinitieit van hun land. In het kader van het cultureel akkoord tussen België/Vlaanderen wordt wel sinds tientallen jaren steun verleend aan de organisatie van cursussen Nederlands in Frankrijk. En daarin verschillen wij juist van de taalracisten, die geen Nederlands willen kennen, en met steun van de zogenaamd "Belgischgezinde" BUB de constitutionele souvereiniteit van het Nederlandse taalgebied in België niet erkennen en niet respecteren en er voortdurend en systematisch de taalvrede schenden. En daaruit blijkt dat wij, gesmade flaminganten, in feite meer humanistisch, moderner, democratischer, politiek corrrecter handelen en denken dan de oubollige tricolore vendelzwaaiers! En de geschiedenis zal ons gelijk geven. Niet alle Vlaamse taalactivisten van Noord-Frankrijk zijn voor het Nederlands. Sommigen zijn voor een herleving van het West-Vlaams. | |
| | | Sprakeloos
Number of posts : 1205 Location : Antwerp Registration date : 2008-12-03
| Subject: Re: Kongo Fri Jul 09, 2010 12:02 pm | |
| - Jo wrote:
- Au Congo, Tintin ne parlait pas flamand [naar index]
25-06-2010 - F.Janne d’Othée - Le vif
« Pourquoi ne nous avez-vous jamais appris à parler le néerlandais au Congo? Maintenant, je ne trouve pas de travail car on exige partout des bilingues. » Ainsi soupire un Bruxellois d’origine congolaise dans Kuifje en Tintin kibbelen in Afrika (Kuifje et Tintin se chamaillent en Afrique) (1), où l’historien Evert Kets passe à la loupe les liens qui unissent les Flamands à l’ancienne colonie.
« Bien que le Congo belge soit depuis 1908 une colonie bilingue, du moins sur le papier, ce bilinguisme est resté sur le terrain lettre morte », écrit-il. De fait, seul le français était utilisé comme langue d’enseignement et d’administration. Les décrets d’application du bilinguisme n’ont été pris qu’en... 1957, sans être jamais entrés en vigueur. « Cela en dit long sur les rapports de force dans la Belgique d’alors », grince Evert Kets.
« Flamand » est même devenu une injure !
L’histoire de la colonie s’est calquée sur celle de la métropole. Or la Belgique s’est construite sur la langue française, qui était celle des élites en Europe. Le roi Léopold II lui-même ne parlait guère le néerlandais. Cette francisation fut également appliquée au Rwanda-Urundi, territoires cédés à la Belgique après la Première Guerre mondiale. « On ne pouvait pas rêver d’une carrière coloniale si on ne parlait pas le français, explique l’écrivain David Van Reybrouck, qui vient de publier Congo. Een geschiedenis (Congo, une histoire), une somme de plus de 600 pages (2). Même pour les Flamands les plus pointus, le français au Congo n’était pas la langue de l’oppresseur, mais celle qui ouvrait de nouvelles opportunités. »
Ceux qui la maîtrisaient mal étaient envoyés dans la brousse et affectés à des tâches subalternes. « Donner des ordres, prélever l’impôt, infliger des punitions étaient davantage des jobs pour les Flamands, signale Evert Kets. Ils étaient donc moins bien considérés par les autochtones. Comme ils se retrouvaient plus souvent en contact avec la population locale, ils avaient également la réputation d’être plus durs. « Flamand » est même devenu une injure ! »
Le néerlandais (dont les dialectes n’étaient pas encore harmonisés) n’avait donc pas vraiment la cote. Pour les Congolais, il représentait un obstacle supplémentaire sur la voie de leur émancipation. Il était même devenu suspect, car utilisé pour empêcher de comprendre certaines conversations, par exemple en cas de troubles.
Par contre, les Flamands ont vite montré leur intérêt pour les cultures et les langues locales au Congo, sans doute au nom de la solidarité entre les cultures opprimées. « Ce n’est que dans les années 1950 que le néerlandais a gagné du terrain dans l’Afrique belge, mais cette évolution a été cassée par la soudaine décolonisation entre 1960 et 1962 », explique Evert Kets. En 1956, le professeur Jef Van Bilsen avait prôné un plan de trente ans pour décoloniser l’Afrique belge. Ce fut en vain, mais le Congo serait peut-être devenu entre-temps bilingue, et le néerlandais une langue mondiale! Au lieu de cela, Flamands et francophones ont œuvré ensemble pour faire de Kinshasa la plus grande ville francophone au monde...
« S’il fallait opter pour une deuxième langue, c’est l’anglais qui aurait eu leur préférence », notait dans ses mémoires le colonel Frédéric Vandewalle, dernier chef de l’administration de la Sûreté au Congo. L’anglais a d’ailleurs préexisté au français, grâce aux missionnaires protestants.
« Walen buiten van Congo » La Flandre s’est-elle coupée du Congo ? L’approche très critique du Flamand Karel De Gucht (Open VLD) s’est révélée bien différente de celle de son prédécesseur francophone Louis Michel (MR), qui a remis le Congo au cœur de l’agenda européen, et a longtemps couvé Kabila d’une sorte de bienveillance paternelle. Plus attentifs au « goed bestuur » (bonne gouvernance), les Flamands restent davantage enclins à conditionner l’aide, tandis que les francophones attachent plus d’importance aux anciens liens culturels, si l’on en juge par le nombre de visites à Kinshasa de ministres francophones ou le dynamisme du Centre Wallonie-Bruxelles.
Congolais et Belges francophones, même combat ? Loin s’en faut. Lors d’une manif à Bruxelles en 2007, des supporters de Jean-Pierre Bemba agitaient des drapeaux flamands, et sur un des calicots on pouvait lire Walen buiten van Congo ! Les francophones, soupçonnés de manquer de distance à l’égard du pouvoir congolais, en ont pris pour leur grade.
En fait, le clivage est plus politique que communautaire. Qui s’est fait le plus chambrer ces dernières semaines ? Le Flamand Pieter De Crem (CD&V), pour avoir osé suggérer d’inviter une délégation de soldats congolais pour le 21 juillet. « Une simple formule de politesse », s’était-il défendu. « Aujourd’hui, la Flandre s’intéresse à nouveau au Congo, et dans des proportions jamais vues », assure David Van Reybrouck.
Une nouvelle génération, débarrassée des gènes coloniaux, montre une énorme curiosité à l’égard de l’ancienne colonie.» Bientôt une « Vlaams Huis » à Kinshasa, pour montrer toutes les facettes de la culture flamande ? L’idée mérite d’être creusée : certains Congolais se sont arrêtés au chant des colons « Viva Boma pataten met saucisse »...
J'aimerais découvrir une étude orthophonique comparative entre le français parlé par les bonnes soeurs ouest-flamandes et celui des Congolais. Imaginez-le-vous, il n'y a pas mal de ressemblances | |
| | | VikingMaekel
Number of posts : 166 Location : Vlaanderen Registration date : 2010-03-23
| Subject: Re: Kongo Fri Jul 09, 2010 12:39 pm | |
| - Belgica wrote:
- Congo ligt duizenden kilometers van België, maar Frans-Vlaanderen is op een boogscheut van Poperinge. Waarom maken de flaminganten daar geen kabaal? Is Frans-Vlaanderen Vlaanderen niet? Hebben de Nederlandstaligen daar geen recht op bescherming? In Congo zijn er geen Nederlandstaligen, dus is er ook geen enkel probleem.
Congo ligt op duizenden kilometers van België, maar Tilburg en geheel Nederland ligt maar op een boogscheut van Antwerpen. Waarom maken de Belgicisten daar geen kabaal? Zijn de lage landen niet allemaal gekend als Belgique? (eeuwen geleden, maar dat steekt u niet zo nauw, dus mij ook niet!). Moeten de burgers daar geen bescherming krijgen van de BUB? Maar ja, in Nederland zijn er geen Franstaligen, dus is er ook geen enkel probleem. | |
| | | Diogène
Number of posts : 1611 Age : 47 Location : Absurdistan Registration date : 2008-11-26
| Subject: Re: Kongo Fri Jul 09, 2010 1:12 pm | |
| - Belgica wrote:
- Congo ligt duizenden kilometers van België, maar Frans-Vlaanderen is op een boogscheut van Poperinge. Waarom maken de flaminganten daar geen kabaal? Is Frans-Vlaanderen Vlaanderen niet? Hebben de Nederlandstaligen daar geen recht op bescherming? In Congo zijn er geen Nederlandstaligen, dus is er ook geen enkel probleem.
Als ik dergelijke commentaren van u voor de zoveelste keer lees, vraag ik me af of u niet zelf gezocht hebt om geband te worden van de fora van De Standaard en de VRT... Hoog tijd om de fakkel door te geven en op vakantie te gaan... | |
| | | Gonda
Number of posts : 377 Location : Chez Laurette, c'était chouette Registration date : 2009-09-30
| Subject: Re: Kongo Tue Jul 13, 2010 12:31 am | |
| L’échevin noir de Saint-Nicolas veut débaptiser l’avenue Léopold II au profit du sieur Coppieters de l'ex-VU !http://www.lesoir.be/actualite/belgique/2010-07-12/l-echevin-noir-de-saint-nicolas-veut-debaptiser-l-avenue-leopold-ii-781422.php - Quote :
- Wouter Van Bellingen, le premier échevin noir de Flandre, propose de rebaptiser l’avenue Léopold II à Saint-Nicolas en avenue Maurits Coppieters, du nom d’un politicien de la Volksunie.
Wouter Van Bellingen, le premier échevin noir de Flandre, veut retirer le nom du Roi Léopold II que porte une avenue de sa ville, Saint-Nicolas. C’est ce qu’il a indiqué lundi sur la télévision régionale flamande TV Oost. La proposition doit encore être débattue au conseil communal mais la bourgmestre Christel Geerts (sp.a) se montre favorable.
Avec les célébrations autour du 50e anniversaire de l’indépendance congolaise, des débats ont lieu dans des conseils communaux en Flandre sur une éventuelle suppression de statues ou du nom de rues liés à la figure de Léopold II.
A Saint-Nicolas, l’échevin Wouter Van Bellingen (SOS 2012) veut modifier le nom de l’avenue Léopold II. “Le passé de Léopold II est trop douteux et il n’est pas digne de porter le nom d’une avenue à Saint-Nicolas. Léopold II était un criminel de masse et un colonialiste”.
L’échevin noir propose de changer le nom de l’avenue et d’adopter celui de Maurits Coppieters (1920-2005), politicien de la Volksunie (VU).
La proposition doit maintenant passer au conseil communal. Le conseiller indépendant Hans Troch estime qu’en terme de cohérence, il faudrait également retirer la peinture de Léopold II dans la salle des mariages. “C’est une autre affaire. Dans la salle des mariages, Léopold II est là comme roi, le nom d’une rue reste lui plus subjectif”, estime l’échevin. | |
| | | Diogène
Number of posts : 1611 Age : 47 Location : Absurdistan Registration date : 2008-11-26
| Subject: Re: Kongo Tue Jul 13, 2010 10:58 am | |
| - Gonda wrote:
- L’échevin noir de Saint-Nicolas veut débaptiser l’avenue Léopold II au profit du sieur Coppieters de l'ex-VU !
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/2010-07-12/l-echevin-noir-de-saint-nicolas-veut-debaptiser-l-avenue-leopold-ii-781422.php
- Quote :
- Wouter Van Bellingen, le premier échevin noir de Flandre, propose de rebaptiser l’avenue Léopold II à Saint-Nicolas en avenue Maurits Coppieters, du nom d’un politicien de la Volksunie.
Wouter Van Bellingen, le premier échevin noir de Flandre, veut retirer le nom du Roi Léopold II que porte une avenue de sa ville, Saint-Nicolas. C’est ce qu’il a indiqué lundi sur la télévision régionale flamande TV Oost. La proposition doit encore être débattue au conseil communal mais la bourgmestre Christel Geerts (sp.a) se montre favorable.
Avec les célébrations autour du 50e anniversaire de l’indépendance congolaise, des débats ont lieu dans des conseils communaux en Flandre sur une éventuelle suppression de statues ou du nom de rues liés à la figure de Léopold II.
A Saint-Nicolas, l’échevin Wouter Van Bellingen (SOS 2012) veut modifier le nom de l’avenue Léopold II. “Le passé de Léopold II est trop douteux et il n’est pas digne de porter le nom d’une avenue à Saint-Nicolas. Léopold II était un criminel de masse et un colonialiste”.
L’échevin noir propose de changer le nom de l’avenue et d’adopter celui de Maurits Coppieters (1920-2005), politicien de la Volksunie (VU).
La proposition doit maintenant passer au conseil communal. Le conseiller indépendant Hans Troch estime qu’en terme de cohérence, il faudrait également retirer la peinture de Léopold II dans la salle des mariages. “C’est une autre affaire. Dans la salle des mariages, Léopold II est là comme roi, le nom d’une rue reste lui plus subjectif”, estime l’échevin. *mode ironique* Il n'a pas tort, supprimons en même temps tous les "Kerkstraat" à cause des crimes et massacres de l'Eglise... *mode sérieux* Encore un qui a de la chance que le ridicule ne tue pas... | |
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