HAUTE TRAHISON - HOOGVERRAAD

Des politiciens "belges" vont négocier avec des politiciens français sur la fin de la Belgique. Si c'est vrai, c'est un crime qui doit d'être puni !

"Belgische" politici gaan onderhandelen met Franse politici over het einde van België. Als dat waar is, is dat een misdaad die moet bestraft worden !



LA LIBRE BELGIQUE

Vu de Paris, l’éclatement du pays apparaît inéluctable

M.Bu. et V.d.W.

Mis en ligne le 21/09/2010
Devant des camarades français, le PS s’est montré pessimiste sur le futur belge.

Les camarades parlent aux camarades. Le 13 septembre dernier, une délégation de haut niveau du Parti socialiste français est venue en mission à Bruxelles, au boulevard de l’Empereur, rencontrer des responsables du PS. Dans la foulée, les Français ont également rencontré des responsables du SP.A. Cette mission française comprenait, notamment, le député de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, ainsi que le député de l’Eure, François Loncle. Le premier est secrétaire du PS à l’International et le second est vice-président de l’Assemblée nationale, chargé des relations internationales. Côté francophone, Laurette Onkelinx, Rudy Demotte et Philippe Moureaux étaient présents. Côté flamand, dans une seconde réunion de travail, Bruno Tobback, un député du SP.A, était présent.

Pendant une demi-heure, Philippe Moureaux a précisé quelle était la nature du nationalisme de la N-VA ainsi que les origines historiques du parti. Laurette Onkelinx a évoqué les grandes revendications wallonnes des années 70, les réformes de 1980, les mécanismes du fédéralisme belge, la naissance des Régions, de l’évolution du fédéralisme, des modes de financement, de Bruxelles et des conflits à la périphérie de Bruxelles. Rudy Demotte a évoqué les enjeux de la Wallonie.

Au PS français, François Loncle explique : “Nous sommes venus recueillir des informations sur une situation qui nous inquiète. Nous sommes préoccupés par ce qui se passe actuellement en Belgique… Nous voulions connaître le pronostic de nos collègues sur l’avenir du pays. Notre question principale était de savoir si une réforme actuelle permettrait d’éviter l’éclatement de la Belgique.” “Et je dois bien reconnaître , poursuit François Loncle, que les socialistes wallons se sont montrés beaucoup plus pessimistes que les socialistes flamands. Pour les socialistes wallons, l’éclatement apparaît inéluctable, pas pour les socialistes flamands. En effet, pour les Flamands, une réforme de l’Etat devrait suffire. Pour les francophones, en revanche, l’éclatement du pays est une hypothèse beaucoup plus réaliste, même si, nous ont-ils assurés, cet éclatement s’étalera sur plusieurs législatures et n’interviendra pas brutalement. Cela dit, pour eux, le rattachement à la France n’est pas du tout une option envisagée.” Les socialistes flamands du SP.A ont également expliqué au PS français que l’éclatement était une des options possibles mais que “ce n’était pas pour demain” .

François Loncle termine : “Nous sommes proches de nos amis socialistes belges et nous sommes très attentifs à ce qui se passe chez vous. Ne nous en cachons pas : notre visite est aussi à placer dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012. Si nous remportons les élections, il faut que nous soyons prêts.”

Commentaire de Laurette Onkelinx : “Il y a beaucoup de relations entre les deux partis, mais c’est la première fois que le contact avait pour raison essentielle l’avenir du pays et l’existence d’un nationalisme aux portes de la France. Ce fut un dialogue intéressant, mais à aucun moment, il n’a été question d’un rapprochement entre la Wallonie, Bruxelles et la France.”

© La Libre Belgique 2010

De la dernière phrase, je n'y crois rien du tout !

Je suis abasourdi. Tous ces partis qui ont fait campagne sur l'unité de la Belgique deviennent soudain des copies conformes du RWF. La démocratie belge était déjà très limite, mais là, on atteint des sommets. On va donc appliqué le programme d'un parti qui a lamentablement (car il était connu de tous) perdu les élections, et cela grâce aux partis qui les ont gagnées grâce à un programme totalement inverse.

De plus, l'état français n'a pas à se mêler de la politique belge, ça ne le regarde pas, et il va évidemment voir la situation comme ça l'arrange le mieux, c-à-d qui lui permet de satisfaire des ambitions impérialistes. Ainsi, beaucoup de français qui s'intéressent à la situation belge croient que nous sommes en guerre civile (alors que le fédéralisme était soi-disant pour éviter ça) et se base donc sur quelque chose de complètement faux.

Quand je vois certains journalistes dire "les wallons sont prêts", je suis interloqué, car ce sont en réalité des partis élus sur un programme (prétendument) pro belge qui préparent le séparatisme.

Nil novi sub soli. Vu que le fédéralisme belge a toujours été un projet qui vise à détruire - en étapes - la Belgique, la démarche du PS me semble 'logique'. Le PS et la N-VA sont les deux partis les plus nationalistes dans leur région linguistique. Tout ce que l'on a vu les jours derniers, ce n'était que du théatre. Comment autrement expliquer que hier les deux partis soi-disant antagonistes ont trouvé soudain, comme par baguette magique, un accord après qu'ils se sont insultés durant des semaines?

Ceci étant dit les "socialistes" francophones savent aussi que pour détruire l'Etat, il faut du soutien international, raison pour laquelle il cherchent (évidemment) des contacts avec le pays qui veut déjà depuis des centaines d'années annexer la Belgique, ou en tout cas une partie de la Belgique. On oublie facilement que le PS est le seul parti (ensemble avec la sp.(a) ) qui a ratifié tous les réformes de l'Etat, qui a donc -- en d'autres mots -- était le seul à soutenir à chaque fois le "divorce à l'amiable".

Sous les auspices du PS les partis francophones ont fait des concessions invraisemblables les derniers mois. Ce sont aussi les ténors de ce parti qui ont évoqué la fin de la Belgique. Sans doute ils se sentent comfortés par leur position éléctorale et par les sondage d'opinions qui leur donnent davantage de voix.

En tout cas, ces politicards du P$ ont tout à perdre en cas de rattachement de la Wallonie à la France. Vu leur médiocrité, ils ne pourront plus prétendre qu'à un siège de conseiller communal, et encore...

En tous cas, l'attitude du P$ et celle de Gendebien (avez-vous le débat télévisé Mise au Point dimanche passé) me font penser à des gosses qui jouent avec le feu sans surveillance.

Belgica avait raison dans la dernière phrase de son message

je cite: (source: rwf.be)

Communiqué du R.W.F. : Nos informations sont fiables - 21 septembre 2010

Bien informé par ses divers contacts à Paris, le R.W.F. confirme la rencontre du 13 septembre dernier entre le PS français et leurs homologues bruxellois et wallons, comme le relate La Libre de ce jour

Au cours de cette entrevue, les interlocuteurs belges ont évoqué une assistance française dans l'hypothèse où un mini-Etat wallo-bruxellois se constituerait, notamment en ce qui concerne la Défense nationale.

Le R.W.F. confirme également que le député PS français Cambadélis a fait un rapport de cette rencontre ce lundi 20 septembre devant les instances de son parti.

Il a envisagé l'hypothèse selon laquelle la crise belge et ses conséquences pourraient devenir un des thèmes majeurs de l'élection présidentielle de 2012 et s'avérer très profitable à Nicolas Sarkozy, en cas d'inertie de la gauche française.

Le R.W.F., parti pluraliste et démocratique, rappelle qu'il n'a pas d'allié privilégié en France, mais qu'il a des relations directes avec les deux principaux camps, dans l'intérêt exclusif du projet de la réunion de la Wallonie et de Bruxelles à la République française.

Paul-Henry Gendebien et Laurent Brogniet, coprésidents du R.W.F.

Le code pénal / het strafwetboek:

Art. 233. Lorsque des mesures contraires aux lois ou à des arrêtés royaux auront été concertées, soit dans une réunion d'individus ou de corps dépositaires de quelque partie de l'autorité publique, soit par députation ou correspondance entre eux, les coupables seront punis d'un emprisonnement d'un mois à six mois.

Art. 233. Wanneer personen of lichamen die met enig gedeelte van het openbaar gezag bekleed zijn, maatregelen die in strijd zijn met de wetten of met koninklijke besluiten, beramen, hetzij op een bijeenkomst van die personen of die lichamen, hetzij door het zenden van afgevaardigden of van mededelingen aan elkaar, worden de schuldigen gestraft met gevangenisstraf van een maand tot zes maanden.


Ok, c'est un cas hypoyhétique, mais vu les déclarations récentes des politiciens du sud, hypothèse et réalité ont tendance à s'assembler. C'est une piste dangereuse, mais je ne sais pas pour qui.

Ok, het gaat om een hypothese, maar gelet op de recente verklaringen van de politici van het zuiden beginnen hypothese en realiteit dooreen te vloeien. Het is een gevaarlijke piste, maar ik weet niet voor wie.

J'ai discuté avec une française il y a pas longtemps et elle a dit qu'il serait préférable pour les wallons de ne pas venir en France. Et elle a qualifié la France d'un pays ou on prend aux pauvres pour donner aux riches donc vive le socialisme !

Belgica wrote:

Le code pénal / het strafwetboek:

Art. 233. Lorsque des mesures contraires aux lois ou à des arrêtés royaux auront été concertées, soit dans une réunion d'individus ou de corps dépositaires de quelque partie de l'autorité publique, soit par députation ou correspondance entre eux, les coupables seront punis d'un emprisonnement d'un mois à six mois.

Art. 233. Wanneer personen of lichamen die met enig gedeelte van het openbaar gezag bekleed zijn, maatregelen die in strijd zijn met de wetten of met koninklijke besluiten, beramen, hetzij op een bijeenkomst van die personen of die lichamen, hetzij door het zenden van afgevaardigden of van mededelingen aan elkaar, worden de schuldigen gestraft met gevangenisstraf van een maand tot zes maanden.


Ok, c'est un cas hypoyhétique, mais vu les déclarations récentes des politiciens du sud, hypothèse et réalité ont tendance à s'assembler. C'est une piste dangereuse, mais je ne sais pas pour qui.

Ok, het gaat om een hypothese, maar gelet op de recente verklaringen van de politici van het zuiden beginnen hypothese en realiteit dooreen te vloeien. Het is een gevaarlijke piste, maar ik weet niet voor wie.

Of er maatregelen beraamd zijn weten we natuurlijk niet, want we zaten er niet bij en we hebben de verslagen niet. Ik vrees alleen dat op het moment dat de grootste politieke familie van het land daaraan begint, het Belgisch strafwetboek niet langer enige waarde zal blijken te hebben.

myckilem wrote:

J'ai discuté avec une française il y a pas longtemps et elle a dit qu'il serait préférable pour les wallons de ne pas venir en France. Et elle a qualifié la France d'un pays ou on prend aux pauvres pour donner aux riches donc vive le socialisme !

Et vive Sarkozy également.

BFE wrote:

myckilem wrote:

J'ai discuté avec une française il y a pas longtemps et elle a dit qu'il serait préférable pour les wallons de ne pas venir en France. Et elle a qualifié la France d'un pays ou on prend aux pauvres pour donner aux riches donc vive le socialisme !

Et vive Sarkozy également.

C'est à cause de ce genre d'homme que je suis dégouté de la république. Car les présidents qui interviennent réellement dans les affaires de leur état (style Obama ou Sarko) sont élus seulement parce qu'ils le veulent et qui renvoient une image de leader au peuple et après on voit ce que cela donne avec Sarko....

myckilem wrote:

BFE wrote:

myckilem wrote:

J'ai discuté avec une française il y a pas longtemps et elle a dit qu'il serait préférable pour les wallons de ne pas venir en France. Et elle a qualifié la France d'un pays ou on prend aux pauvres pour donner aux riches donc vive le socialisme !

Et vive Sarkozy également.

C'est à cause de ce genre d'homme que je suis dégouté de la république. Car les présidents qui interviennent réellement dans les affaires de leur état (style Obama ou Sarko) sont élus seulement parce qu'ils le veulent et qui renvoient une image de leader au peuple et après on voit ce que cela donne avec Sarko....

En plus, il est à lui tout seul un argument anti-rattach'.