REVOLUTION IN LYBIA: THE MONARCHIST FLAG AS A SYMBOL

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Libya's monarchist flag: a symbol of anti-Gathafi protest


Monarchist flag has become one of symbols of opposition to embattled Libyan leader's rule.


Middle East Online

Resurrected

TRIPOLI - The Libyan monarchist flag, raised on Tuesday at the country's embassy in Stockholm, dates from before the iron-fisted rule of Moamer Gathafi and has become one of the symbols of opposition to the embattled leader's rule.

Consisting of a white crescent and star on a horizontal red, black and green triband -- with the central black band twice the width of the outer bands --- the flag was adopted when Libya became independent on December 24, 1951 with King Mohammed Idriss al-Senussi as its head of state.

Today, the flag is still used by monarchists and the Libyan opposition abroad and, during the recent unrest, has been displayed at anti-Gathafi protests at embassies from Stockholm to Belgrade.

Before being adopted across Libya in 1951, the monarchist flag was already that of the eastern region of Cyrenaica from December 1950. Cyrenaica's main city, Benghazi, has led the revolt against Gathafi.

The flag of Cyrenaica was inspired by that of the Ottoman Empire to which it and the province of Tripoli belonged from 1551 to 1912, before being ceded to Italy, which unified the country in 1934.

It flew until being replaced in 1969 following the Libyan Revolution by three of the pan-Arab colours -- red, white and black, but without the fourth colour green.

In 1972, when Libya joined the Federation of Arab Republics, the federation's flag was adopted, featuring a golden hawk holding a scroll with the Arabic name of the federation.

As a sign of protest at the trip by former Egyptian president Anwar Sadat to Jerusalem, and to mark a split with the country, Gathafi in 1977 adopted a new flag, consisting of a green field. It is the only national flag in the world with just one colour and no other details.

The green is meant to symbolise the people's devotion to Islam.

De nombreuses sources monarchistes libyennes, Libyan Liberation Organization (LLO) et Libyan Constitutional Union (LCU) principalement, nous apprenons que près de 5 à 7.000 mercenaires tchadiens, "prêtés" par le Président Idriss Deby à Kadhafi, ont franchi ces derniers jours la frontière tchado-libyenne avec armes et bagages. Cette intervention massive de troupes équipées d'armements français explique en partie la résistance inattendue de la dictature kadhafiste.

Dans le même temps, le gouvernement français a reconnu le 10 mars dernier le Conseil National de Transition libyen.

Or, il n'est pas imaginable que le gouvernement français dont le Président du Tchad est la créature, installé et maintenu par lui au pouvoir, comme le furent ses prédécesseurs Félix Malloum, Goukouni Oueddei puis Hissène Habré, ignore ces envois de mercenaires équipés du propre matériel fourni par la France à l'armée tchadienne.

La Présidence Sarkozy joue donc sur les deux tableaux, donnant à l'opposition libyenne et à la communauté internationale des gages de vertu en reconnaissant le Conseil National de Transition tout en permettant en sous-main, par l'intermédiaire de son "pion tchadien", au dictateur Kadhafi de se rétablir par les armes. Les juteux marchés pétroliers libyens sont-ils au prix de cette politique inique du double-jeu ?

La Conférence Monarchiste Internationale s'associe donc pleinement aux propos tenus par le petit-neveu de l'ancien roi Idris Ier, Ahmed Al-Zoubair El-Senoussi, qui a passé trente et un ans dans les geôles du régime, et appelé "le monde à aider, à apporter tout le soutien possible, aussi vite que possible".

La Conférence Monarchiste Internationale exige que le gouvernement français fasse immédiatement cesser l'envoi de mercenaires tchadiens par le Président Idriss Deby, lui-même mercenaire politique au service de Sarkozy.

La Conférence Monarchiste Internationale demande que le "statut de belligérant" soit accordé à la rébellion libyenne par la Communauté internationale ce qui permettrait la levée de l'embargo sur les armes, embargo qui pour l'heure aide et favorise la dictature libyenne et ses alliés.

La Conférence Monarchiste Internationale réaffirme sa confiance dans la victoire de la rébellion libyenne regroupée sous le symbole du drapeau de la Monarchie lybienne.

Sylvain ROUSSILLON
Secrétaire Général de la CMI
http://internationale.monarchiste.com

Très fort !

LA LIBRE BELGIQUE

D.R.

Kadhafi: "Mon ami Sarkozy est fou"

AFP

Mis en ligne le 15/03/2011

Paris est particulièrement critiqué depuis sa reconnaissance du Conseil national de transition libyen, qui réunit l'opposition au régime du colonel Mouammar Kadhafi, comme seul représentant légitime du peuple libyen.

"Mon ami" le président français Nicolas Sarkozy est "fou", estime le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi dans une interview qui devait être diffusée mardi soir par une télévision allemande."C'est mon ami, mais je crois qu'il est devenu fou. Il souffre d'une maladie psychique. C'est ce que dit son entourage. Ses collaborateurs disent qu'il souffre d'une maladie psychique", a déclaré M. Kadhafi dans une interview qui devait être diffusée par la chaîne allemande RTL.

Le leader libyen, contesté par une révolte populaire, n'a pas précisé si cette "maladie" était liée au "grave secret" dont l'agence officielle libyenne Jana a fait écho, affirmant que sa révélation entraînerait la chute du président français.Paris est particulièrement critiqué depuis sa reconnaissance du Conseil national de transition libyen, qui réunit l'opposition au régime du colonel Mouammar Kadhafi, comme seul représentant légitime du peuple libyen.Concernant les violences dans son pays, M. Kadhafi a affirmé que "ce petit événement" a fait "seulement 150 à 200 morts", pour moitié dans les rangs des forces de sécurité.

La rébellion "sera brisée et tout redeviendra normal", a-t-il ajouté lors de cette interview réalisée dans une tente sur la base militaire de Bab al-Azizia à Tripoli, selon RTL.M. Kadhafi a également estimé injustifiées les critiques à son encontre aux Etats-Unis et en Europe. "Mais qu'est ce que j'ai fait pour les décevoir?" a-t-il demandé.

"Je n'ai pas de poste officiel et je ne peux donc pas être critiqué. Est-ce-qu'on critique le reine Elizabeth II d'Angleterre pour sa politique?".Il a également affirmé qu'à l'avenir son pays ne ferait plus d'affaires avec les pays occidentaux qui "ont conspiré contre nous"."Nous allons maintenant investir en Russie, en Inde, et en Chine", a-t-il déclaré."On peut oublier l'Occident", a-t-il ajouté, tout en affirmant faire une exception en ce qui concerne l'Allemagne qui a une attitude "sensée".

De N-VA is voorstander van een Belgische militaire interventie. Dat is toch lachwekkend, niet?

DE STANDAARD


'Enige mogelijkheid om Kadhafi te stoppen'

In de Kamer wordt op dit moment gedebatteerd over de inzet van F16's in Libië. De N-VA vindt dat de militaire actie het mogelijk moet maken om Kadhafi volgens VN-resolutie 1970 te laten arresteren en voor het Internationaal Strafhof te brengen.'


Et qui plus est, la Belgique envoie des F-16 en Libie. On n'a donc pas seulement un gouvernement d'affaires courantes, mais aussi d'affaires volantes ! De quoi on se plaint finalement?

FAZ.net:

22.03.2011

Mit einem Krieg gegen den Konflikt

Belgiens klares Parlamentsvotum für den Libyen-Einsatz stärkt die Regierung Leterme / Von Michael Stabenow

BRÜSSEL, 22. März. So viel flämisch-wallonische Einmütigkeit war in den vergangenen Jahren im belgischen Parlament selten. Als es jedoch am Montagnachmittag zur Abstimmung über Belgiens Beteiligung am militärischen Einsatz in Libyen kam, billigten ihn 125 von 126 anwesenden Abgeordneten.

F.A.Z. vom 23.03.2011

Kadhafi n'est pas encore battu. Kadhafi is nog niet verslagen.

DE STANDAARD

'Gevangen' zoon Kadhafi geeft journalisten rondrit in Tripoli

dinsdag 23 augustus 2011, 15u07
Bron: ap
Auteur: loa

Reuters

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De euforie die maandag onder de Libische rebellen en in de rest van de wereld heerste, maakte maandagnacht al plaats voor ontnuchtering. Seif al-Islam, zoon van Kadhafi, blijkt nog op vrije voeten te zijn. Maandag had het Internationaal Strafhof nog bevestigd dat hij opgepakt was.

'We controleren Tripoli. Iedereen kan gerust zijn, alles gaat goed in Tripoli', zo kwam Seif al-Islam met groot vertoon vertellen aan journalisten in het Rixos Hotel in de Libische hoofdstad. 'Hebt u gezien hoe het Libische volk opgestaan is om de rebellen te bestrijden?', zo vroeg hij.

Kadhafi's zoon verscheen in een grote witte gepantserde wagen, met een grote groep aanhangers rond hem. Hij nam journalisten mee voor een ritje door de straten van Tripoli tot in het hoofdkwartier van zijn vader.

Eerder op de dag hadden enkele Kadhafi-getrouwe aanhangers al een select groepje journalisten meegeloodst naar het hoofdkwartier van Kadhafi voor een ontmoeting met Seif al-Islam. Nadien ging de zoon van de dictator dus zelf nog op stap.

'We zijn hier. Dit is ons land. Dit zijn onze mensen en we wonen hier en sterven hier', zei Seif al-Islam. 'En we zullen winnen omdat het volk achter ons staat. Dat is waarom we zullen winnen. Kijk naar ze, kijk naar ze, op straat, overal!'

Gevraagd of zijn vader veilig en in goede gezondheid was, zei Seif al-Islam: 'Natuurlijk'. Volgens de zoon zou hij nog steeds in Tripoli zijn.

Domper op feestvreugde

Maandag nog had procureur Luis Moreno-Ocampo van het Internationaal Strafhof (ICC) in Den Haag beweerd dat Seif al-Islam door de rebellen gevangen was: 'Ik heb vertrouwelijke informatie ontvangen waaruit blijkt dat hij is gearresteerd', verklaarde Moreno-Ocampo aan het Franse persagentschap AFP.

Volgens de rebellen hadden geïnfiltreerde agenten van Kadhafi klaarblijkelijk het gerucht verspreid dat Seif al-Islam gearresteerd was. De rebellen zijn naar eigen zeggen in de fout gegaan door het bericht over de arrestatie te verspreiden zonder in eigen rangen een bewijs te vragen.

Een woordvoerder van de Libische oppositie heeft inmiddels bevestigd dat ook Mohammed Kadhafi, een andere zoon van de kolonel, ontsnapt is. Hij was maandag onder huisarrest geplaatst.

Het nieuws dat de zonen van Kadhafi nog vrij rondlopen, is een zware domper op de feestvreugde bij de rebellen. Maandag klonk het overal alsof de zege op Kadhafi zo goed als binnen was. Dinsdag heerst er grote twijfel en onrust.