Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Coût des soins de santé plus élevé dans le nord de la Belgique Mon Oct 26, 2009 9:16 pm | |
| Cela me semble une rupture avec le passé.
Sans doute les flamingants vont continuer à réclamer une scission pour la scission...
Mais, pour le reste, je m'en fiche. Ce genre de statistiques ne sert pas la cause belge, mais monte un camp contre un autre. C'est vraiment ridicule.
LE SOIR La Flandre la plus dépensière en soins de santé
Rédaction en ligne
lundi 26 octobre 2009, 18:38
De nouvelles statistiques géographiques de l’Inami, pondérées par l’âge, le sexe et le niveau socio-économique des populations, font apparaître que les dépenses de soins de santé sont moins élevées en Région bruxelloise qu’en Wallonie et qu’elles sont le plus élevées en Flandre.
Belga
Santhea, la fédération des hôpitaux publics et privés non-confessionnels de Bruxelles et Wallonie, a invité les ministres concernés à tenir compte du rapport publié lundi par l’Inami sur la géographie de la consommation des soins de santé en Belgique en 2006 et à revoir leurs politiques de soins de santé, souvent basées sur de fausses considérations régionales.
Les ministres concernés doivent avoir le courage de revoir des politiques basées sur des considérations sans fondement. La légende du Wallon surconsommateur de soins a donné naissance à un système inique des montants de référence dont quelques hôpitaux subissent les conséquences depuis cette année, dénonce encore Santhea, qui ne comprendrait pas que la ministre des Affaires sociales, Laurette Onkelinx, ne s’inspire pas de l’étude pour mettre fin à ce système.
Selon la fédération, l’étude présentée lundi au Conseil général des soins de santé de l’Inami exploite de manière intelligente et nuancée l’impressionnante base de données dont dispose l’Institut et permettra de couper les ailes aux conclusions hâtives d’études parcellaires et partisanes.
Certaines questions restent cependant posées, comme celles de savoir pourquoi le dossier médical global rencontre du succès en Flandre et pas en Wallonie et à Bruxelles, pourquoi le secteur des maisons de repos coûte plus cher en Flandre qu’en Wallonie ou encore pourquoi la consommation moyenne standardisée se situe sous la moyenne à Bruxelles, note la fédération.
Santhéa demande encore que tous les acteurs du secteur se penchent sur cette étude pour étalbir des politiques de santé efficaces.
Les responsables de l’Inami restent cependant fort prudents envers ces résultats qui, en l’état, ne permettent pas, insistent-ils, de tirer des conclusions concernant d’éventuelles sur ou sous-consommations en matière médicale.
Etablies pour l’année 2006, les nouvelles statistiques « standardisées » tenant compte d’un indice de moyenne nationale de dépenses de 100, relèvent une moyenne de 97,5 (1.672 euros par affilié à l’Inami) à Bruxelles, 100,9 (1.730 euros) en Wallonie et 101,3 (1.737 euros) en Flandre.
Jusqu’à présent, l’Inami ne disposait que de chiffres bruts de dépenses en soins de santé (rapports Jadot et autres). Les nouvelles données « standardisées » tiennent compte des variations géographiques selon des facteurs objectifs, comme la structure de la population (âge, sexe, composition socio-économique) qui peuvent influencer les statistiques. Cela permet de « gommer » certaines variations qui pouvaient fausser la mesure de la consommation en matière de soins de santé.
Ainsi, par exemple, si l’arrondissement d’Arlon paraît dépenser plus que les arrondissements voisins selon les données brutes, les chiffres standardisés le replacent en dessous de cette moyenne. Ils tiennent compte du fait que seules les personnes âgées cotisent à l’Inami, les plus jeunes travaillant au Luxembourg ou en France et étant affiliés aux mutuelles de ces pays. Un phénomène qui joue dans d’autres arrondissements frontaliers.
Les chiffres et tableaux font également apparaître de fortes disparités entre arrondissements au sein d’une même Région ou entre Régions selon le type de soins étudié. Même après standardisation, Eekloo et Huy apparaissent fort dépensiers en matière de soins de santé.
Mais selon les responsables de l’Inami, il s’agit, ici aussi, d’un effet d’optique : les deux arrondissements comptent peu d’affiliés et la présence de deux hôpitaux psychiatriques et de nombreuses maisons de repos (où nombre d’occupants venus d’ailleurs sont domiciliés) dans l’arrondissement flamand explique le phénomène.
A Huy, le nombre élevé de maisons de repos est aussi en cause mais l’étude relève que l’arrondissement présente une dépense relativement élevée dans presque tous les postes de dépenses analysés. Pour les dépenses en résidences et communautés, la Wallonie présente un indice 95,9, la Flandre 101,5 et Bruxelles 101,9.
La cassure nord-sud est nette en matière de médicaments destinés à soigner l’hyperactivité des jeunes : la Flandre est à l’indice 153, pour 38 en Wallonie et 34 à Bruxelles. Les médecins flamands prescrivent-ils trop de ces médicaments ou les wallons pas assez ?, s’interroge l’Inami. En revanche, les dépenses concernant le « Maximum à facturer » sont à l’indice 112 en Wallonie pour 94 en Flandre et 92 à Bruxelles.
Pour élaborer leur étude, l’expert de l’Inami Rodrigo Ruz Torres et le directeur général des soins de santé, Ri De Ridder, ont appliqué deux méthodes de standardisation. L’une, dite indirecte, applique à chaque entité géographique, par strate d’âge, de sexe et de statut social (bénéficiaire ou non de l’intervention majorée), la dépense moyenne nationale. La méthode directe applique la structure de population nationale à chaque entité.
Selon les auteurs, ces deux méthodes donnent des résultats qui diffèrent mais qui vont grosso modo dans la même direction. Ils estiment toutefois que la méthode directe convient mieux aux objectifs géographiques de l’étude réalisée.
L’Inami publiera tous les ans une actualisation de ce travail. En attendant, les spécialistes s’efforcent de réaliser des analyses plus fines des résultats pour essayer d’identifier d’éventuels cas de sur ou de sous-consommation.
(Belga) | |
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tiboo
Number of posts : 1160 Age : 38 Location : westmalle Registration date : 2008-11-21
| Subject: Re: Coût des soins de santé plus élevé dans le nord de la Belgique Tue Oct 27, 2009 10:19 am | |
| - Quote :
- De ‘transfers' – de geldstromen van Vlaanderen naar Wallonië en Brussel – zijn niet verdwenen. Vlaanderen ‘krijgt' nu wel 59 procent van de uitgaven, maar het levert nog altijd 63 tot 65 procent van de inkomsten via belastingen en sociale bijdragen.
Ten tweede resten er nog grote verschillen in sommige deeltakken, die nog altijd wijzen op een minder efficiënte en kostenbewuste organisatie van de gezondheidszorg in het zuiden van het land.
Maar het kan niet worden ontkend worden dat onder Vlaams druk ‘het beleid' een aantal foute gewoonten in het zuiden van het land heeft doorbroken en dat er meer gelijkheid is gekomen. Is de Vlaamse vraag naar een ‘splitsing' – de overheveling van de budgetten voor de curatieve gezondheidszorg naar de deelstaten – daardoor overbodig geworden? Neen. Maar de oude argumenten gelden niet meer of niet meer zo zwaar. Meer zelfs. Als Wallonië, Brussel en de Franse Gemeenschap slim zijn, beginnen ze nu zelf die overheveling te eisen.
De belangrijkste reden waarom de gezondheidszorg in Wallonië en Brussel relatief minder geld opslokt, wordt verzwegen: grote delen van de bevolking in die regio's verpauperen en kunnen niet meer mee, ook niet in onze ‘sociale' gezondheidszorg. In Wallonië leeft al bijna 20 procent van de bevolking onder de armoedegrens. In Brussel bijna 25 procent. Het dubbele of meer dan in Vlaanderen. Die groepen zijn veel minder gezond dan andere, maar nemen onverantwoord weinig gezondheidszorg op. In arme wijken is sprake van manifeste onderconsumptie van gezondheidszorg. Intussen overlaadt het ‘rijke Vlaanderen' zijn overstresste kinderen met Rilatine...
Hoe kunnen Wallonië, Brussel en de Franse Gemeenschap dat keren? Door hun rechtmatig deel op te eisen? Misschien. Een bevolking wordt echter niet veel gezonder van veel meer curatieve zorg. Veel efficiënter zou het zijn als zij hun aandeel in het gezondheidsbudget zelf konden inzetten, samen met hun budgetten voor gezondheidspreventie, voor welzijnsactie, voor de verbetering van de woningen in verpauperde wijken en voor de activering van die bevolkingsgroepen zodat ze uit de armoede weg raken.
Die ‘eenheid van beleid' in gezondheids- en welzijnszorg is ook de echte reden waarom Vlaanderen de overheveling van de federale budgetten vraagt.
Franstalige politici en pressiegroepen wezen dat altijd af omdat ze dachten dat ze dan minder geld zouden krijgen. Dat argument is nu weggevallen. De rationele organisatie van het beleid kan nu doorwegen. | |
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Bourla Louis
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| Subject: Re: Coût des soins de santé plus élevé dans le nord de la Belgique Tue Oct 27, 2009 12:38 pm | |
| Quelle est la source de ce texte Tiboo ? | |
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Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: Coût des soins de santé plus élevé dans le nord de la Belgique Tue Oct 27, 2009 12:41 pm | |
| Dit stond in De Standaard:
Kosten ziekteverzekering hoger in Vlaanderen dan in Wallonië
* maandag 26 oktober 2009 * Bron: belga * Auteur: kld
BRUSSEL - Als de factoren leeftijd, geslacht, statuut en regeling worden meegerekend, geeft Vlaanderen iets meer dan gedacht en Wallonië iets minder dan verwacht uit aan de terugbetaling van medische verzorging. Dat blijkt uit een rapport van het RIZIV.
Om beter conclusies te trekken over de uitgaven van de ziekteverzekering per regio heeft het RIZIV een aantal objectieve karakteristieken - leeftijd, geslacht, statuut (voorkeurregeling van gehandicapten...) en regeling (algemene regeling - zelfstandige) - mee in rekening genomen bij het berekenen van de cijfers.
Volgens de bruto gegevens gaf Vlaanderen in 2006 gemiddeld 1.704,12 euro uit per verzekerde Belg, terwijl Wallonië gemiddeld 1.743,64 euro spendeerde. Na herberekening met de variabele factoren blijken de cijfers anders: Vlaanderen gaf 1.737,63 euro uit per rechthebbende tegenover Wallonië 1.730,12 euro. Vlaanderen had in 2006 dus de hoogste gemiddelde uitgave.
Brussel
Ook opvallend is dat Brussel na de oefening van standaardisering een lagere uitgavekost vertoont. 'Zou het kunnen dat mensen daar moeilijker de weg vinden naar de gezondheidszorg?', vraagt Ri De Ridder van het RIZIV zich af. 'Als dat zo is, dan moet deze sociale problematiek aangepakt worden.'
Het rapport brengt ook verschillende vormen van organisatie van gezondheidszorg aan het licht. Qua tandverzorging bijvoorbeeld werkt Vlaanderen preventiever dan Wallonië. Ook wordt logopedie meer voorgeschreven in het noorden van het land.
Medicatie
Ook de medicatievoorschriften tonen grote variabele verschillen. Het toedienen van relatine aan kinderen met ADHD blijkt in Vlaanderen veel groter dan in Wallonië, terwijl in Wallonië opmerkelijk meer antidepressiva geslikt worden.
Brussel schrijft dan weer beduidend meer antibiotica voor dan de andere gewesten. 'Hier is geen sprake van overconsumptie, maar van een puur feitelijk hoofdstedelijk fenomeen: in Brussel zijn er meer aidspatiënten', aldus De Ridder.
Het RIZIV besluit dat de nieuwe cijfers nog geen uitspraken kunnen doen over over- of onderconsumptie van een bepaalde regio, provincie of arrondissement, maar vooral aanleiding moeten geven tot verdere analyse en debat. | |
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| Subject: Re: Coût des soins de santé plus élevé dans le nord de la Belgique | |
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