BRUSSEL - HALLE - VILVOORDE / BRUXELLES - HAL - VILVORDE (BHV)

Renaat wrote:

En het splitsen van BHV getuigt van een respectvolle houding t.o.v. de Belgische Grondwet!

Ah, dààrom willen het VB en de N-VA dat splitsen

Rechtsuit wrote:

Renaat wrote:

En het splitsen van BHV getuigt van een respectvolle houding t.o.v. de Belgische Grondwet!

Ah, dààrom willen het VB en de N-VA dat splitsen

Niet zozeer VB en NVA maar alle Belgen die bekommerd zijn om de rechtsstaat zoals die grondwetgever die heeft gewild!

Renaat wrote:

Rechtsuit wrote:

Renaat wrote:

En het splitsen van BHV getuigt van een respectvolle houding t.o.v. de Belgische Grondwet!

Ah, dààrom willen het VB en de N-VA dat splitsen

Niet zozeer VB en NVA maar alle Belgen die bekommerd zijn om de rechtsstaat zoals die grondwetgever die heeft gewild!

Is de reden dat het VB BHV wil splitsen respect voor de Belgische GW?

Belangrijker: andere partijen kunnen NIETS tegen de splitsing van BHV hebben, GH en Grondwet eisen een verandering van de huidige toestand.

En de splitsing werd reeds 4 keer met een democratische meerderheid goedgekeurd.

Al maanden worden er beslissingen (migratie...) genomen tegen de meerderheid van de Vlaamse gemeenschap in (volgens de laatste verkiezingen slechts een 38 procent van de stemmen in Vlaanderen).

BHV moet natuurlijk gesplitst worden: dat is gewoon een kwestie van gezond verstand.

Renaat wrote:

BHV moet natuurlijk gesplitst worden: dat is gewoon een kwestie van gezond verstand.

Wil het VB die kieskring splitsen owv een "respectvolle houding" tov. de Belgische Grondwet?

Gevonden op Skynet:

Elio di Rupo zette in een interview met Le Soir reeds in mei 2008 eens goed de puntjes op de i wat betreft de (niet-)splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde: Door de splitsing tegen te houden willen de Franstaligen hun aanspraken op delen van Vlaams-Brabant bij een eventuele toekomstige splitsing van België gaaf houden.

Elio di Rupo legt aan het einde van het interview haarfijn uit welke drie «bruggen» hij ziet waarmee hij de Franstaligen in Vlaams-Brabant verbindt met Francofonië. En van die bruggen wil hij in de toekomst gebruik kunnen maken om op minstens die delen van Vlaams-Brabant die nodig zijn om Brussel geografisch met Wallonië te verbinden aanspraken te kunnen maken, en de staatsgrens ten Noorden van de huidige gewestgrenzen te leggen.
Ik citeer letterlijk uit het interview:

En tout cas, pour l'institutionnel, c'est mal parti au fédéral. BHV…

On peut répondre à la Cour constitutionnelle par d'autres mécanismes que le splitsing. Et si les partis flamands maintiennent leur exigence, de toute façon, la scission ne pourra pas être pure et simple. Les francophones ont des raisons de géostratégie.

«Géostratégie», carrément…

Oui. Voici mon raisonnement… Les francophones autour de Bruxelles ont trois types de droits liés aux personnes : un droit électoral, leur permettant de voter pour des personnalités bruxelloises; ils peuvent être jugés en français en justice; enfin, il y a les facilités dans six communes. Ces trois types de droits constituent comme des ponts, qui enjambent la frontière linguistique, signifiant qu'elle n'est pas une frontière d'État. Toute la stratégie des responsables politiques flamands est de faire sauter ces ponts l'un après l'autre, afin d'isoler Bruxelles en Flandre, et d'affirmer la frontière linguistique comme une frontière d'État potentiellement. Ce schéma, nous n'en voulons pas. Il ne passera pas.

Belgica wrote:

Gevonden op Skynet:

Elio di Rupo zette in een interview met Le Soir reeds in mei 2008 eens goed de puntjes op de i wat betreft de (niet-)splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde: Door de splitsing tegen te houden willen de Franstaligen hun aanspraken op delen van Vlaams-Brabant bij een eventuele toekomstige splitsing van België gaaf houden.

Elio di Rupo legt aan het einde van het interview haarfijn uit welke drie «bruggen» hij ziet waarmee hij de Franstaligen in Vlaams-Brabant verbindt met Francofonië. En van die bruggen wil hij in de toekomst gebruik kunnen maken om op minstens die delen van Vlaams-Brabant die nodig zijn om Brussel geografisch met Wallonië te verbinden aanspraken te kunnen maken, en de staatsgrens ten Noorden van de huidige gewestgrenzen te leggen.
Ik citeer letterlijk uit het interview:

En tout cas, pour l'institutionnel, c'est mal parti au fédéral. BHV…

On peut répondre à la Cour constitutionnelle par d'autres mécanismes que le splitsing. Et si les partis flamands maintiennent leur exigence, de toute façon, la scission ne pourra pas être pure et simple. Les francophones ont des raisons de géostratégie.

«Géostratégie», carrément…

Oui. Voici mon raisonnement… Les francophones autour de Bruxelles ont trois types de droits liés aux personnes : un droit électoral, leur permettant de voter pour des personnalités bruxelloises; ils peuvent être jugés en français en justice; enfin, il y a les facilités dans six communes. Ces trois types de droits constituent comme des ponts, qui enjambent la frontière linguistique, signifiant qu'elle n'est pas une frontière d'État. Toute la stratégie des responsables politiques flamands est de faire sauter ces ponts l'un après l'autre, afin d'isoler Bruxelles en Flandre, et d'affirmer la frontière linguistique comme une frontière d'État potentiellement. Ce schéma, nous n'en voulons pas. Il ne passera pas.

Les francophones ont ces trois types de droits liés aux personnes. Et pas les néerlandophones? Si, me semble-t-il!

Sprakeloos wrote:

Les francophones ont ces trois types de droits liés aux personnes. Et pas les néerlandophones? Si, me semble-t-il!

Bien sûr, mais personne ne le nie. Dans les communes à difficultés en Wallonie il me semble que les Flamands sont bien traités, de même dans la périphérie où la majorité est massivement francophone. Où est le problème ?

Belgica wrote:

... Ces trois types de droits constituent comme des ponts, qui enjambent la frontière linguistique, signifiant qu'elle n'est pas une frontière d'État. Toute la stratégie des responsables politiques flamands est de faire sauter ces ponts l'un après l'autre, afin d'isoler Bruxelles en Flandre, et d'affirmer la frontière linguistique comme une frontière d'État potentiellement. Ce schéma, nous n'en voulons pas. Il ne passera pas.

Il y a 30 ans qu'on sait et dit cela (et le détricotage de l'état fédéral). BHV est bien plus qu'un symbole et les politiciens flamands savent pertinemment que s'ils font tomber BHV, ils font tomber la Belgique du même coup. Ce qui n'est pas forcément leur intérêt. Enfin maintenant.

Il faut règleer la question BHV par un compromis raisonnable, en harmonie avec les compromis communautaires qui ont été atteints depuis 1963.

C'est quoi un "compromis raisonnable"? Etes-vous aussi adepte de la langue de bois?

Voulez-vous un Brabant uni et bilingue? Voilà, un compromis plus que raisonnable !

Belgica wrote:

Voulez-vous un Brabant uni et bilingue? Voilà, un compromis plus que raisonnable !

Ah oui, raisonnable ? Comment n'y a-t-on pas pensé plus tôt. Forget it, no possible backward.

Belgica wrote:

C'est quoi un "compromis raisonnable"? Etes-vous aussi adepte de la langue de bois?

Voulez-vous un Brabant uni et bilingue? Voilà, un compromis plus que raisonnable !

Het enige wat u echt wilt is nog een stuk van Vlaams-Brabant toespelen aan degenen die geen Nederlands willen kennen.

Dat is uw waanidee en u hebt er in zekere zin belang bij die leugens te blijven verkopen, maar op lange termijn zullen deze alleen maar de ondergang van het Vlaams-nationalisme versnellen.

Renaat wrote:

Belgica wrote:

C'est quoi un "compromis raisonnable"? Etes-vous aussi adepte de la langue de bois?

Voulez-vous un Brabant uni et bilingue? Voilà, un compromis plus que raisonnable !

Het enige wat u echt wilt is nog een stuk van Vlaams-Brabant toespelen aan degenen die geen Nederlands willen kennen.

Hebt u indicaties uit publicaties of het programma van de B.U.B. om die boude bewering te staven?

Est-ce que le nouveau président européen va-t-il se mêler des problèmes "belges"?

LA LIBRE BELGIQUE

BHV: Ecolo en appelle à Van Rompuy

BELGA

Mis en ligne le 29/12/2009

Ces échevins, conseillers communaux et représentants d'Ecolo s'adressent à Herman Van Rompuy en tant que président du Conseil européen, "garant des idéaux et valeurs démocratiques, et citoyen de Rhode-St-Genèse".

Des élus et représentants d'Ecolo dans les six communes à facilités de la périphérie bruxelloise ont interpellé par écrit Herman Van Rompuy, à l'occasion de sa prise de fonction comme président du Conseil européen ce 1er janvier, "en vue de trouver une solution au problème de BHV".

Ces échevins, conseillers communaux et représentants d'Ecolo s'adressent à Herman Van Rompuy en tant que président du Conseil européen, "garant des idéaux et valeurs démocratiques, et citoyen de Rhode-St-Genèse", l'une de ces six communes à facilités, où M. Van Rompuy est domicilié. Ils font valoir que l'Europe s'est construite sur la base de valeurs et d'idéaux universels, d'ouverture des frontières, de libre circulation des idées, des personnes et des biens, de "respect concret" de la démocratie et des droits de l'homme. Or, affirment-ils, de plus en plus d'initiatives et de mesures sont prises en vue de diminuer les droits de la minorité francophone en périphérie bruxelloise, dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde.

Et de citer le cas des trois bourgmestres non-nommés, les critères linguistiques ou de rattachement pour les candidats à l'achat d'un logement public, l'inspection pédagogique, le dossier de scission de BHV, etc.

"Ecolo-périphérie" suggère à Herman Van Rompuy d'étudier des solutions respectueuses des minorités au sein de l'Union européenne et cite à ce titre la Finlande où, disent les Verts, des "facilités" sont accordées si la proportion de locuteurs parlant une autre langue que la langue majoritaire dépasse 6 pc de la population dans une commune.

Ces valeurs europénnes auxquelles Ecolo fait référence valent aussi au niveau belge, mais de la part des nationalistes d'Ecolo, cela ne m'étonne pas qu'ils l'oublient.

Valeurs européennes? Tu veux dire le droit de ne pas devoir respecter des lois votées démocratiquement et de ne pas devoir employer la langue officielle de son domicile....

Renaat wrote:

... de ne pas devoir employer la langue officielle de son domicile....

Si on devait parler la langue officielle de son domicile cela reviendrait à consacrer un droit du sol. Or cela n'existe pas en aucun droit au monde. Désolé. En plus c'est unel iberté essentielle.

On n'exige pas de parler en privé la langue officielle de son domicile. On ne demande rien de plus que de respecter la langue officielle de la flandre dans ses contacts avec les autorités publiques, comme en Angleterre, en France ou en Espagne. C'est le seul moyen d'arriver à une pacification communautaire en Belgique.

Renaat wrote:

On n'exige pas de parler en privé la langue officielle de son domicile. On ne demande rien de plus que de respecter la langue officielle de la flandre dans ses contacts avec les autorités publiques, comme en Angleterre, en France ou en Espagne. C'est le seul moyen d'arriver à une pacification communautaire en Belgique.

Pacification communautaire? Je ne savais pas qu'il y avait un conflit communautaire, sauf alors entre quelques politiciens qui incitent la population à haïr l'autre groupe linguistique. Entre les gens il n'y a jamais eu un problème. De plus, il n'y a aucun parti politique qui bénéfice d'une pacification communautaire, c'est leur fond de commerce et meme leur raison d'etre car les socialistes, chrétiens-démocrates, les verts et les libéraux se sont scindés sur base "communautaire" ou ils n'ont jamais formé un parti politique fédéral (comme les verts). N'oublions pas non plus que presque chaque parti dit "flamand" n'a aucun problème à s'allier a des partis nationalistes (CD&V-N-VA, SP.A-Spirit, GROEN-SLP, ...).

Bourla Louis wrote:

Sprakeloos wrote:

Les francophones ont ces trois types de droits liés aux personnes. Et pas les néerlandophones? Si, me semble-t-il!

Bien sûr, mais personne ne le nie. Dans les communes à difficultés en Wallonie il me semble que les Flamands sont bien traités, de même dans la périphérie où la majorité est massivement francophone. Où est le problème ?

Personne ne nie les droits personnels des neerlandophones en zone (B)HV? Je n'en suis pas sur; ils pretendent puiser leurs droits de la glebe!

Quote :

On n'exige pas de parler en privé la langue officielle de son domicile.

Het zou er nog aan mankeren.
Il ne manquerait plus que ça!

Inderdaad...

Bourla Louis wrote:

Belgica wrote:

Voulez-vous un Brabant uni et bilingue? Voilà, un compromis plus que raisonnable !

Ah oui, raisonnable ? Comment n'y a-t-on pas pensé plus tôt. Forget it, no possible backward.

But possible forward! Un autre compromis consisterait à faire adhérer à la Région Capitale de Belgique les communes brabançonnes désireuses de le faire, et tablant là-dessus, alimenter les futurs pourparlers fédéralistes. Je pense à quelques dizaines de communes, libres d'y renoncer. Je ne crois pas que nous puissions éternellement confiner Bruxelles dans l'étau actuel; cela ne serait toléré par aucune autre capitale du monde.

Le résultat serait très proche du Brabant belge.