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| DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE | |
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perikles
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Mon Apr 04, 2011 9:49 pm | |
| Hahaha, la N-VA va commencer la guerre civile. LA LIBRE BELGIQUE Fédération Wallonie-Bruxelles: "grave provocation" pour la N-VA
Mis en ligne le 04/04/2011
La N-VA prend acte de la "décision unilatérale des partis francophones", "sans que ceux-ci ne demandent l'avis des partis néerlandophones, ni celui des flamands de Bruxelles", déclarait Weyts.
Ben Weyts, réagissant au nom de la N-VA, a déclaré que son parti ne tomberait pas dans le piège de "la décision unilatérale" de la Communauté française de se renommer "Fédération Wallonie-Bruxelles".
D'après lui, les francophones se proclament maîtres de Bruxelles alors que ce sont les Flamands à qui l'on demande de prendre en charge le refinancement de la région-capitale.
D'après la N-VA, les francophones font comme si les Flamands n'avaient rien à dire à Bruxelles, même s'ils en sont pourtant les principaux contributeurs (cfr le refinancement). "Les francophones répondront-ils désormais présent aussi pour le financement de Bruxelles?".
Le parti de Bart de Wever parle d'une "très lourde provocation", davantage encore si on la lie au fait que certains francophones "exigent encore le transferts de territoires flamands dans la périphérie bruxelloise.
Selon Weyts, Kris Peeters, dans ses interventions du weekend (La Libre de ce samedi 2 avril), avait "grandement raison". "Nous devons défendre avec force la position des Flamands à Bruxelles et même essayer de la renforcer", a-t-il dit. | |
| | | Gonda
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Tue Apr 05, 2011 12:22 am | |
| En quoi cela regarde la Flandre la manière dont les Francophones renomment une de leur institutions ? Cela aura-t-il un impact sur les Flamands de Flandre et de Bruxelles ? Non. Alors c'est de la gesticulation pré-électorale au même titre que la scission BHV. Cela ne coûte rien et ça peut rapporter gros, dit la pub en France.
C'est étrange quand même que la même semaine deux flamingants notoires, Peeters et BDW, tentent de casser les discussions communautaires. C'est pas là l'explication ?
PS je ne dirai rien si les Flamands changent le nom de Blankenberg et Mont Blanc pour attirer les skieurs ! | |
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Thu Apr 07, 2011 2:31 pm | |
| Dat zit dus goed. Tout va bien. DE STANDAARD Gezondheidszorg verdeelt CD&V en N-VA Consensus ver te zoeken in cruciale domeinen
* donderdag 07 april 2011, 05u00 * * Auteur: Isabel Albers
NICOLAS MAETERLINCK
Filip Reynaers
BRUSSEL - De twee Vlaamse partijen CD&V en N-VA zijn verdeeld over de staats- hervorming in de gezondheidszorg. Ook over de arbeidsmarkt zitten ze niet op één lijn. Van onze redactrice
Eerst het ‘goede' nieuws, op dag 298 na de verkiezingen. Bemiddelaar Wouter Beke heeft naar eigen zeggen nog voldoende in handen om nog een week voort te onderhandelen over de staatshervorming in de gezondheidszorg, het arbeidsmarktbeleid en de financieringswet. Ook over de splitsing van BHV wordt er voort gepraat.
Maar daarmee is al het goede gezegd. Enig resultaat heeft de CD&V-voorzitter nog altijd niet in handen. Hij kampt zelfs met een bijkomende verwikkeling: CD&V en N-VA zitten, hoe meer men de discussie tot op het bot voert, over verschillende essentiële punten niet (meer) op één lijn.
Voor gezondheidszorg heeft CD&V zijn positie verlaten om zoveel mogelijk deeldomeinen (rusthuizen, financiering ziekenhuizen) over te hevelen naar de gemeenschappen. Onderhandelaar Beke heeft PS en N-VA een nota voorgeschoteld waarbij CD&V niet langer mikt op een zo groot mogelijke overheveling. De partij volgt nu het spoor waarbij het RIZIV op een federale sokkel blijft, maar waar wel met inspraak (co-beheer) vanuit de gemeenschappen. Volgens CD&V kan je zo wellicht zelfs meer responsabiliseren dan door kleine onderdeeltjes van de gezondheidszorg over te hevelen naar de gemeenschappen.
CD&V en de PS hebben elkaar in dat denkspoor gevonden. Dat is buiten N-VA gerekend. Dat het volledige budget van de ziekteverzekering federaal blijft, zij het dan in een formule van ‘co-beheer', druist voor de N-VA in tegen de overheveling die de partij wenst. Met andere woorden: op dit vlak staat Beke nog nergens om De Wever en Di Rupo over gezondheidszorg, een domein dat toch één van de grote brokken van de staatshervorming moest worden, op één lijn te krijgen.
Bovendien blijkt er ook voor het regionaliseren van het arbeidsmarktbeleid, die andere ‘grote brok', absoluut nog geen consensus. De splitsing van de werkloosheidsuitkeringen, een vraag van de N-VA, kan op geen genade rekenen bij de PS. Ook CD&V is er geen voorstander van. Wat voorligt, is een plan om het doelgroepenbeleid over te hevelen naar de gemeenschappen. Dat gaat naar verluidt minder ver dan wat Johan Vande Lanotte in zijn nota voorstelde (bevoegdheden ter waarde van 4 miljard).
Morgen stellen vier experts hun bevindingen over de aanpassingen aan de financieringswet voor aan Beke, De Wever en Di Rupo. De PS ging vorige week akkoord met het principe van een gesplitst tarief in de personenbelasting, een vraag van de Vlaamse partijen. Maar het bedrag aan fiscale autonomie dat daaraan gekoppeld wordt, is dan weer veel te laag voor de N-VA en CD&V.
Slotsom: Beke heeft helemaal nog niets in handen dat kans maakt om door een N-VA- en PS-congres te geraken. Toch ploetert hij voort, zeker nog heel volgende week en wellicht ook de week nadien. In N-VA-kringen blijkt het geloof in een akkoord zeer, zeer gering. Toch blijft de partij aan tafel zitten omdat ze het gevoel heeft dat wie nu opstapt zich ook buiten de volgende fase van een regeringsformatie stelt. ‘Dit lijkt op een slechte echtscheiding. Wie het eerst het huis verlaat, verliest het meest', klinkt het in de partij. | |
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Thu Apr 07, 2011 5:01 pm | |
| Totalement fou, ce Di Rupo: LE SOIR « Nous voulons aboutir, avec la N-VA »
DAVID COPPI
jeudi 07 avril 2011, 12:09
Elio Di Rupo l’a affirmé mercredi soir devant les militants PS à Charleroi : « nous voulons aboutir à un résultat avec la N-VA, que ce soit clair ». Le reportage de David Coppi
« Nous voulons aboutir, avec la N-VA »
© D Duchesnes - Le Soir
Dix-neuf heures mercredi soir, à l’Eden, centre culturel de Charleroi, à deux pas de Gilly l’enragée. Dans quelques minutes, Paul Magnette, probable futur mayeur de la première métropole wallonne, et Elio Di Rupo auront un échange avec les militants et les curieux arrivés sous le soleil. Objet : la situation politique. Le président du PS se rend tour à tour dans les fédérations socialistes. Les « gens » sont inquiets : un an sans vrai gouvernement, et Bart De Wever qui parade dans les sondages…
Jean-François a un « conseil » à donner à « Elio » : « Prenez vos responsabilités, déclarez l’indépendance de la Wallonie ! ». A ses côtés, Françoise : « Non, je tiens à la Belgique, et quand on parle avec les Flamands, je sais qu’ils ne sont pas comme les politiques. Mais attention : pendant tout ce temps, on ne s’occupe pas assez des problèmes de la population ». Annette, militante : « Oui, et on ne s’occupe pas des élections communales qui auront lieu dans un an… Le PS ferait bien de ne pas négliger ça ici à Charleroi ! ». Tiens, à ce propos, les trois avouent être venus à l’Eden ce soir pour ceci : « On veut bâtir une mosquée dans notre quartier à Lodelinsart. Un
quartier vert, résidentiel. On veut en parler à Paul… Voir ce qu’il en pense… ». « Un pragmatisme sans gloire »
Dix-neuf heures trente : Elio Di Rupo et Paul Magnette s’installent, salle comble, c’est le temps des questions. Une dizaine. Entre inquiétude et fatalisme. Basique : « La population se demande ce que vous faites dans vos rencontres, puisque ça n’a pas l’air d’avancer beaucoup ». Stratégique : « Presque 300 jours sans gouvernement, est-ce que ça ne profite pas à la N-VA à la fin ? ». Provocateur : « Président, les partis flamands ne veulent plus de nos mécanismes de solidarité, alors, les négociateurs francophones ne devraient-ils pas faire preuve d’un pragmatisme sans gloire ? » Elio Di Rupo relève, la salle gronde : un « pragmatisme sans gloire »… Tout le drame des politiques francophones résumé dans une formule !
Fatigué ma non troppo, Elio Di Rupo répond longuement, posément, plus d’une heure, pour dérouler son raisonnement. En quatre points. Un : « A l’origine de cette situation exceptionnelle, il y a, pour la première fois dans notre histoire, la victoire électorale au Nord d’un parti dont l’objectif est l’indépendance de la Flandre, pas la formation d’un gouvernement ». Un programme « légitime », et « que je respecte », mais qui conditionne les négociations : « La N-VA veut se rapprocher le plus possible de son but final ».
Deux : « Toutes les négociations pour la réforme de l’Etat ont duré longtemps chez nous, mais ici, autre fait exceptionnel, elles bloquent la formation d’un vrai gouvernement, ce qui n’a jamais été le cas de cette façon ».
Trois : « La Wallonie est dans une phase de redressement spectaculaire, et elle n’a pas peur d’hériter de nouvelles compétences. Nous sommes ouverts à un transfert massif. Ceux sur la table déjà pèsent d’ailleurs entre 14 et 18 milliards d’euros. Mais nous avons nos conditions : pas question d’appauvrir ni la Wallonie ni Bruxelles ; pas question d’une sous-nationalité à Bruxelles, qui serait, voudraient-ils, cogérée par les deux Communautés ; et pas question d’affaiblir l’Etat fédéral, qui peut maigrir, mais qui doit rester en bonne santé ».
Elio Di Rupo ramasse : « Alors, il y a une incompréhension parfois, je sais, mais c’est de l’avenir du pays dont il est question. Et sachez que tout pas que nous ferons, nous ne pourrons plus jamais revenir en arrière ! ».
Reste donc à « assumer », à « prendre le temps qu’il faut ». Sans autres calculs ou artifices : « Je veux le répéter ici ce soir : nous voulons aboutir à un résultat avec la N-VA, que ce soit clair ». Ici, c'est mieux / dit is goed nieuws:DE STANDAARD * Binnenland 'Uitspraken Moureaux zijn zeer slecht nieuws'
'Franstaligen moeten de loopgraven graven'
* donderdag 07 april 2011, 15u33 * * Auteur: bvb, llo
‘De uitspraken van Philippe Moureaux zijn zeer slecht nieuws’, zegt Johan Vande Lanotte (SP.A) in Villa Politica. ‘Hij behoort tot de ‘willing’, hij wil wat, hij kan compromissen maken. Deze uitspraken zijn niet zomaar een faits divers. We moeten ons daarover beraden.'
Philippe Moureaux, vicevoorzitter van de PS, senator en burgemeester van Sint-Jans-Molenbeek, zei vanmorgen dat de Franstaligen 'de loopgraven moeten graven' tegenover de Vlaamse partijen, in afwachting dat die beschikbaar zouden zijn voor een politiek compromis.
'De Franstaligen moeten de loopgraven graven', zei het Brusselse PS-kopstuk aan de Franstalige radiozender la Première. 'We moeten geduldig zijn, weerstand bieden en we zullen ze verlaten (de loopgraven, nvdr) wanneer we (aan Vlaamse zijde) een wil tot compromis zien, en geen onderwerping (van de Franstaligen).'
'Belangrijke toegevingen'
Volgens Moureaux hebben de Franstaligen reeds 'zeer belangrijke toegevingen' gedaan de afgelopen maanden, terwijl volgens de PS’er de Vlamingen niets hebben toegegeven, in tegendeel. Hij gelooft niet in een institutioneel akkoord 'op korte termijn' tussen Franstaligen en Vlamingen. Hij spreekt van een toenemende radicalisering van N-VA en CD&V.
Verkiezingen zijn volgens de burgemeester van Molenbeek 'niet wenselijk, maar dat wil niet zeggen dat we ze zullen kunnen vermijden'. Verkiezingen leiden voor hem tot 'een nieuwe mislukking' omdat een kiescampagne de problemen alleen 'meer levendig' zal maken. | |
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Fri Apr 08, 2011 3:59 pm | |
| Geen staatshervorming? Laten we het hopen ! Rik van Cauwelaert in KNACK De nachtmerrie van CD&V en Open VLD
Tenzij Elio Di Rupo en de PS alsnog bijdraaien loopt eerstdaags de opdracht van koninklijk onderhandelaar Wouter Beke ten einde. Na het Brusselse opbod en getreiter van de jongste dagen maakt Di Rupo zich op voor een voortzetting van de huidige regering in lopende zaken. Yves Leterme krijgt dan een nieuwe verblijfsvergunning voor de Wetstraat 16.
De dagtrip van Elio Di Rupo met enkele Vlaamse ‘embedded’ journalisten naar Mons en Henegouwen moest er de Vlaamse politieke opinie op voorbereiden dat er geen echte staatshervorming komt. Want die staatshervorming zal de financiële slagkracht van Wallonië aantasten en de Waalse Marshallplannen fnuiken.
En een staatshervorming die Brussel en/of Wallonië één euro kost, die komt er niet. Daar was CDH-senator en grondwetspecialist Francis Delpérée, mentor van CDH-voorzitster Joëlle Milquet, altijd al zeer duidelijk over.
Vorige week werd dat nog maar eens benadrukt door Elio Di Rupo. Toen koninklijk onderhandelaar Wouter Beke voorstelde om het bijkomende geld voor het Brussels Hoofdstedelijk Gewest door Vlaanderen en Wallonië te laten betalen, kwestie van de federale overheid wat aan te sterken, repliceerde Elio Di Rupo bliksemsnel: ‘Pas de transferts horizontaux – geen horizontale transfers!’ De federale overheid moet blijven betalen.
De opmerking dat in dit geval Vlaanderen de overgrote meerderheid van die middelen voor Brussel zal betalen maakte weinig indruk op Elio Di Rupo, die vandaag zelfs de nota Vande Lanotte afdoet als ‘een SPA-verkiezingsfolder’.
Er mag dan al sprake zijn van een innige Federatie Wallonië-Brussel, maar die moet dan wel grotendeels vanuit Vlaanderen worden gefinancierd. Dat deze situatie onhoudbaar wordt voor de Vlaamse Gemeenschap lijkt de PS en de overige Franstalige partijen rond de onderhandelingstafel niet te verontrusten.
Begin deze week bereikten de onderhandelingen een absoluut dieptepunt toen de PS via de krant La Libre Belgique verklaringen liet lekken van de KUL-prof Europees recht Koen Lenaerts, een van de CD&V-specialisten die zich over de hervorming van de financieringswet boog. Professor Lenaerts die ook zetelt bij het Europees Hof van Justitie zou tijdens de onderhandelingen in vertrouwen een aantal wetenswaardigheden hebben verteld over de beraadslagingen en de werking van het Europees Hof - wat hem bij een eventuele herbenoeming in nauwe schoentjes kan brengen.
Vandaag slikt de krant het bericht alweer in, maar volgens CD&V’ers en N-VA’ers gaat het hier om een streek van de PS-top. Waarmee het laatste greintje vertrouwen tussen de onderhandelaars lijkt te zijn weggesmolten.
Zonder een nieuwe wending in de houding van de Franstalige partijen zit er voor Beke weinig anders op dan eerstdaags zijn opdracht in te leveren bij koning Albert. Waarna alles in gereedheid is voor de voortzetting van de huidige regering. Dat wordt dan een armlastige, verdeelde regering, met een lamme Vlaamse vleugel. CDV en Open VLD tellen samen nog amper 30 Kamerzetels tegen een Franstalig blok van MR, PS en CDH met 53 zetels.
Die federale regering zal dan de komende jaren in volstrekt immobilisme de rekeningen en de schulden moeten betalen. Of het nachtmerriescenario voor CD&V en Open VLD. | |
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Sun Apr 10, 2011 8:08 pm | |
| We moeten deze Waals-nationalist hierin steunen. Alles wat de federalistische brol nog ingewikkelder maakt, is welgekomen. Bovendien wordt de band tussen tussen de flaminganten en Brussel zo versterkt, wat België nog sterker maakt. Zoveel te gemakkelijker gaat het zijn om het unitaire België te herstellen. Dit is natuurlijk slecht nieuws voor de zever van Vande Lanotte over zijn vier gewesten.HLN ] Demotte: "Waarom geen Federatie Vlaanderen-Brussel?"
Waals minister-president Rudy Demotte. © photo news Het Brussels gewest is een tweetalig gebied dat tweetalig moet blijven, zoals ook in de grondwet staat. Maar de gemeenschapsbevoegdheden moeten in de eerste plaats door respectievelijk de Nederlandstalige en Franstalige Brusselaars uitgeoefend worden. Dat stelde Rudy Demotte, minister-president van het Waals gewest en de Franse gemeenschap of de Federatie Wallonië-Brussel, zoals deze zichzelf voortaan noemt, in De Zevende Dag (Eén). Demotte benadrukte dat de federatie Wallonië-Brussel geen voorafbeelding is van de splitsing van België in Vlaanderen en een federatie van Wallonië en het Brussels gewest. Niets weerhoudt Vlaanderen volgens hem om ook een federatie Vlaanderen-Brussel op te richten. Het verschil tussen de Nederlands- en Franstaligen is volgens hem dat de Vlaamse gemeenschap een diepgaandere rol in het Brussels gewest heeft dan de Franse gemeenschap. De Franstaligen hebben in het hoofdstedelijk gewest intussen hun eigen instellingen gecreëerd. Rudy Demotte wees er ook nog op dat in het Brusselse regeerakkoord meer bevoegdheden en de erkenning als volwaardig gewest gevraagd worden. (belga/tw) | |
| | | Gonda
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Tue Apr 12, 2011 8:25 pm | |
| Ca, c'est mieux !
LA LIBRE BELGIQUE Ouverts au dialogue mais pas demandeurs
BELGA
Mis en ligne le 20/12/2006 "Notre rencontre n'a rien d'un front ou d'une attitude antagoniste. Nous voulons continuer à travailler avec les experts et avec les Flamands", a insisté M. Di Rupo.
Les présidents des partis francophones ont répété mercredi qu'ils n'étaient demandeurs de rien sur le plan institutionnel. Il ont aussi souligné qu'ils étaient ouverts au dialogue et que leur réunion était une rencontre de travail. Il ne s'agissait nullement d'un front du refus contre qui que ce soit, ont-ils commenté.
Les présidents du PS, du MR et du cdH, Elio Di Rupo, Didier Reynders et Joëlle Milquet, et le secrétaire fédéral d'Ecolo, Jean-Michel Javaux (BIEN Javaux), se sont retrouvés mercredi dans les locaux du Parlement de la Communauté française. Le rendez-vous était prévu de longue date, ont-ils rappelé à l'issue de la rencontre. "Il serait sans doute resté plus discret s'il n'y avait pas eu l'actualité que nous n'avons pas créée", a notamment dit M. Di Rupo.
Les présidents ont répété que les francophones ne sont demandeurs de rien sur le plan institutionnel mais qu'ils sont ouverts au dialogue, notamment avec les flamands, "tout en restant fermes sur l'unité du pays et la défense des francophones".
Ils ont convenu de poursuivre leurs discussions avec les professeurs d'universités auxquels le Parlement de la Communauté française a demandé diverses études. Sur cette base, ils veulent continuer le dialogue entre eux pour aboutir à un point de vue partagé. "Parallèlement, nous allons continuer le dialogue avec les flamands dans les domaines économiques, de l'emploi ou de l'environnement et du climat, là où nous sommes ensemble, à savoir au niveau fédéral", a ajouté M. Reynders.
"Notre rencontre n'a rien d'un front ou d'une attitude antagoniste. Nous voulons continuer à travailler avec les experts et avec les Flamands", a insisté M. Di Rupo.
"Nous sommes sur la même longueur d'onde. Nous voulons rechercher des solutions qui sont les meilleures pour les trois Régions", ont conclu les présidents.
Les divergences persistent sur l'avenir du pays
BELGA
Mis en ligne le 12/04/2011
Ces dernières semaines, les discussions avaient lieu à trois, entre Wouter Beke, Bart De Wever et Elio Di Rupo.
Les présidents des partis francophones ont constaté mardi lors d'un entretien avec le négociateur royal Wouter Beke la "difficulté" persistante qu'il y a à discuter de l'avenir institutionnel du pays vu les divergences de vues communautaires. M. Beke leur a présenté un "état des lieux", les thématiques abordées étant la loi de financement, la régionalisation de l'emploi et des soins de santé, ainsi que Bruxelles et BHV. Les quatre partis francophones ont fait état de leurs propositions, rappelant leur volonté d'avancer dans une discussion visant à une "réforme stabilisatrice de l'Etat" mais répétant leur hostilité à s'inscrire dans "quelque chose de beaucoup plus confédéral" voire franchement séparatiste.
Mais la concertation entre partis francophones est régulière et, en matière institutionnelle, ceux-ci défendent un point de vue commun: l'acceptation d'une grande réforme de l'Etat à condition qu'elle ne remette pas en cause la viabilité de l'Etat fédéral, n'appauvrisse pas la relance économique des Régions, ne remette pas en cause la solidarité interpersonnelle et reconnaisse la qualité de Bruxelles comme Région à part entière.
Des "pas de géant" ont été effectués dans les discussions, assure-t-on, mais "le plus délicat", "le plus sensible" reste à faire, précise-t-on dans une formation francophone. "Les points de vue ne se sont pas rapprochés, pour schématiser, on en revient toujours au choix d'une consolidation de la Belgique face à celui d'une scission mécanique du pays", dit-on ailleurs.
A l'issue de la réunion avec les quatre présidents des partis francophones, Elio Di Rupo, Charles Michel, Jean-Michel Javaux et Joëlle Milquet, Wouter Beke a vu successivement les présidents du sp.a, de l'Open Vld et de Groen! , Caroline Gennez, Alexander De Croo et Wouter Van Besien. Au total, hormis la N-VA, l'ensemble des partis concernés par les discussions se sont retrouvés mardi au siège du CD&V."Huit partis ont répondu présent mardi pour cette étape intermédiaire qui peut peut-être permettre la relance de discussions dans un autre type de mécanique", commentait-on dans un parti francophone. "Prudence sur les analyses, il s'agissait simplement de réunions du négociateur royal, le matin avec les Francophones, l'après-midi avec les Flamands, mais séparément", relativisait une autres source francophone.
De plus en plus de voix se font également entendre pour que la Belgique avance rapidement sur les dossiers socio-économiques. Il serait "criminel" de ne pas le faire, a dit le président du MR Charles Michel. "Cela se fait déjà de facto, les partis représentés au gouvernement prenant leurs responsabilités", dit-on ailleurs.
Le premier ministre Yves Leterme a annoncé que la Belgique rentrerait auprès de la Commission européenne son programme de stabilité et son programme national de réforme d'ici la fin du mois d'avril. Cela a fait réagir la N-VA, qui organise pour sa part demain mercredi une conférence de presse sur le semestre européen. Elle s'étonne de ne pas être associée aux travaux.
La Chambre a pour sa part rappelé mardi dans un communiqué que le gouvernement s'était engagé à déposer les documents relatifs au budget 2011 durant la deuxième semaine des vacances de Pâques. Cela lui permettra d'entamer ses travaux dès la rentrée, l'objectif étant d'adopter le budget aux alentours du 19 mai.
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| | | Bruno
Number of posts : 3228 Location : Leuven-Louvain - La Belgique une et indivisible ! Het ene en ondeelbare België ! Registration date : 2008-11-23
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Wed Apr 13, 2011 5:52 pm | |
| http://www.lalibre.be/actu/elections-2010/article/654506/la-negociation-est-au-point-mort.htmlLa négociation est au point mort V.d.W. et M. Co. Mis en ligne le 13/04/2011 Wouter Beke a présenté un rapport “hallucinant” aux présidents francophones. La N-VA juge que le gouvernement Leterme prend trop de libertés. Même ceux qui, en toutes circonstances, affichent un optimisme inaltérable, doivent bien le concéder : les négociations sont au point mort. Et personne ne voit très bien comment sortir de l’impasse politique dans laquelle le pays est plongé depuis près d’un an. Simple dramatisation, direz-vous. On en a connu d’autres en 303 jours de crise… Cela va durer quelques jours, puis chacun se remettra au travail ? Oui, sans doute, mais le découragement gagne du terrain. De surcroît, ce mercredi, il faudra passer par la case “médiatisation” que la N-VA affectionne particulièrement. Résumons et clarifions. Les présidents des partis francophones attendaient la journée de mardi avec une certaine impatience. Ils allaient enfin pouvoir rencontrer le négociateur royal, Wouter Beke (CD&V), un homme qu’ils n’avaient plus vu depuis des lunes parce que le principal négociateur flamand, Bart De Wever (N-VA), s’y opposait. Ce fut la douche froide. Glaciale, même. Pourquoi ? Wouter Beke a présenté à ses invités francophones un exposé assez détaillé de l’état d’avancement – un euphémisme… – des négociations. Powerpoint à l’appui : l’homme avait mis les petits plats dans les grands. Mais le contenu de ce plat, les francophones ne l’ont pas digéré. Dans tous les domaines abordés par le négociateur, les francophones ont décelé des éléments totalement inacceptables pour eux. L’un d’eux témoigne : “C’est hallucinant. C’est un recul généralisé par rapport à tout ce que l’on nous a proposé. Dans certains chapitres, Wouter Beke est même en deçà de ce que Bart De Wever avait inscrit dans sa fameuse note du mois d’octobre !” On avait pourtant évoqué, il y a une quinzaine de jours, certains rapprochements, en matière de soins de santé notamment, grâce aux travaux conjoints de Laurette Onkelinx (PS) et Jo Vandeurzen (CD&V). Même ces éléments jugés positifs à l’époque ont disparu de la synthèse finale, au grand étonnement des francophones. Pourquoi ? Les francophones y voient la main de la N-VA. Que dire des chapitres sur Bruxelles et sur la loi de financement. Bruxelles ? “Une accumulation d’exigences strictement flamandes. Et une disparition des compensations francophones. Dans ce contexte-là, il n’y a aucun accord possible”, tonne un autre francophone. La loi spéciale de financement ? “Pareil. On nous balance un seul modèle, le fameux “split rate”, qui organise, à terme, l’asphyxie de l’Etat fédéral. Inacceptable pour nous”, tranche ce francophone. Le grand reproche formulé par les francophones à l’égard de Wouter Beke est celui-ci : les réformes envisagées semblent conduire tout droit vers la scission du pays. Il n’y a rien, que ce soit dans le chapitre sur Bruxelles ou celui sur la Loi spéciale de financement, qui pourrait constituer un verrou et faire en sorte que jamais la Belgique ne se disloque. Les francophones ne voient donc pas quel avantage – politique, économique, stratégique – ils auraient à mettre le doigt, la main, le corps dans cet engrenage dont la manivelle semble avoir été programmée par les nationalistes flamands dont on connaît la feuille de (dé) route. Le problème est qu’il n’y a pas que les francophones qui s’estiment découragés. Recevant, tour à tour, les présidents flamands – car Bart De Wever ne voulait pas que trois présidents flamands se réunissent en son absence… –, Wouter Beke leur a laissé entendre que les francophones ne voulaient rien. Cerise sur le gâteau, si l’on ose dire, la N-VA va hausser le ton, ce mercredi à 11 heures. Un mot d’explication est nécessaire pour comprendre le “coup de gueule” de la N-VA. La Belgique, comme les 26 autres pays de l’Union, prépare en ce moment ce que l’on appelle le “Semestre européen”, un document qui contient à la fois un plan national de réforme et un pacte de stabilité, qui définit les orientations budgétaires du gouvernement. Les données sont d’ailleurs assez bonnes puisque notre pays compte réduire son déficit à 2,8 % en 2012 et sa dette à 88 % du PIB en 2015 (lire ci-contre). La N-VA n’entend pas laisser le gouvernement en affaires courantes présenter ces propositions – présentation prévue la semaine prochaine – sans qu’il y ait un véritable débat parlementaire et un vote de confiance ! Il y a quelque temps, la N-VA avait demandé à être associée à la préparation de ces réformes. Refus poli du gouvernement au motif que la N-VA est toujours dans l’opposition. Pour la N-VA, c’en est trop. Elle s’apprête à dénoncer ces petits jeux et exige un vote de confiance. Dans un seul but : démontrer que le gouvernement Leterme n’a plus de majorité en Flandre ou plus de majorité tout court. Car s’il y a bien une chose que la N-VA ne supporte pas, c’est de voir que le gouvernement, en affaires courantes, travaille et réforme. Pendant ce temps-là, Wouter Beke continuera à occuper le terrain jusqu’à ce que la N-VA pointe le pouce vers le bas. Les francophones qui espéraient que les démocrates-chrétiens flamands se déscotchent, même un mini-poil, des nationalistes, voient leur rêve partir en fumée. Pendant ce temps-là, grâce aux Belges, l’économie tourne. Et les perspectives sont plutôt bonnes. De quoi retrouver, quand même, un brin d’optimisme... | |
| | | Belgica Admin
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Wed Apr 13, 2011 8:35 pm | |
| Goed van Vanhengel tegen die debielen van de N-VA. Dat is belachelijke zever. Dit is een verplichting voor België + lopende zaken staan niet eens in de grondwet + alles wordt op de duur dringend + Europees recht gaat voor op Belgisch recht sinds een cassatie-arrest van 1971. Dus er is geen enkel juridisch probleem en als er geen begroting komt, hebben we alleen een zeer groot economisch probleem.
De bons propos de Vanhengel contre ces débiles de la N-VA. On ne dirait pas que ces gens aient fait des études.DH Crise: les propos de la N-VA ne tiennent pas la route, juge Vanhengel
(13/04/2011)
© EPA
M. Vanhengel a souligné que le dépôt du programme de stabilité et réforme auprès de la Commission européenne est une obligation faite à la Belgique
BRUXELLES Le ministre du Budget Guy Vanhengel (Open-VLD) a sévèrement critiqué mercredi les propos de la N-VA sur l'absence de concertation du gouvernement en affaires courantes pour l'élaboration du programme de stabilité qui doit être déposé d'ici la fin du mois auprès de la Commission européenne.
"C'est le énième acte d'une pièce de théâtre absurde qui dure depuis le 13 juin où les idées et raisonnements les plus fous sont exprimés et qui font qu'on s'éloigne du but", a-t-il indiqué dans un entretien avec l'Agence BELGA.
"Je constate que la N-VA dit les choses les plus bizarres qui soient et qui n'ont rien à voir avec le travail du gouvernement et les exigences européennes", a-t-il ajouté.
M. Vanhengel souligne ainsi que le dépôt du programme de stabilité et réforme auprès de la Commission européenne est une obligation faite à la Belgique. "Il ne faut pas les confondre avec un budget pluriannuel", insiste-t-il.
Il a par ailleurs démenti toute instrumentalisation par le gouvernement du conseil supérieur des finances, rappelant que des représentants des Communautés et Régions siégeaient dans cet organe. "Dire donc que les autres entités n'ont pas été impliquées, c'est n'importe quoi", assure le vice-premier ministre libéral.
Evoquant la demande formulée mercredi matin par le député N-VA Jan Jambon d'un accord de coopération entre toutes les entités du pays, M. Vanhengel a rappelé que, lors des discussions budgétaires passées, le gouvernement flamand "a refusé de négocier avec les autres entités".
Les membres du gouvernement "ont alors indiqué qu'ils suivraient une trajectoire budgétaire issue de leur accord de gouvernement, sans le soumettre à négociation. Dans cette situation, on ne peut parvenir à un accord de coopération", fait valoir M. Vanhengel, assurant que le parlement serait associé au débat.
© La Dernière Heure 2011 | |
| | | perikles
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Thu Apr 14, 2011 2:17 pm | |
| - Belgica wrote:
- Goed van Vanhengel tegen die debielen van de N-VA. Dat is belachelijke zever. Dit is een verplichting voor België + lopende zaken staan niet eens in de grondwet + alles wordt op de duur dringend + Europees recht gaat voor op Belgisch recht sinds een cassatie-arrest van 1971. Dus er is geen enkel juridisch probleem en als er geen begroting komt, hebben we alleen een zeer groot economisch probleem.
De bons propos de Vanhengel contre ces débiles de la N-VA. On ne dirait pas que ces gens aient fait des études.
DH
Crise: les propos de la N-VA ne tiennent pas la route, juge Vanhengel
(13/04/2011)
© EPA
M. Vanhengel a souligné que le dépôt du programme de stabilité et réforme auprès de la Commission européenne est une obligation faite à la Belgique
BRUXELLES Le ministre du Budget Guy Vanhengel (Open-VLD) a sévèrement critiqué mercredi les propos de la N-VA sur l'absence de concertation du gouvernement en affaires courantes pour l'élaboration du programme de stabilité qui doit être déposé d'ici la fin du mois auprès de la Commission européenne.
"C'est le énième acte d'une pièce de théâtre absurde qui dure depuis le 13 juin où les idées et raisonnements les plus fous sont exprimés et qui font qu'on s'éloigne du but", a-t-il indiqué dans un entretien avec l'Agence BELGA.
"Je constate que la N-VA dit les choses les plus bizarres qui soient et qui n'ont rien à voir avec le travail du gouvernement et les exigences européennes", a-t-il ajouté.
M. Vanhengel souligne ainsi que le dépôt du programme de stabilité et réforme auprès de la Commission européenne est une obligation faite à la Belgique. "Il ne faut pas les confondre avec un budget pluriannuel", insiste-t-il.
Il a par ailleurs démenti toute instrumentalisation par le gouvernement du conseil supérieur des finances, rappelant que des représentants des Communautés et Régions siégeaient dans cet organe. "Dire donc que les autres entités n'ont pas été impliquées, c'est n'importe quoi", assure le vice-premier ministre libéral.
Evoquant la demande formulée mercredi matin par le député N-VA Jan Jambon d'un accord de coopération entre toutes les entités du pays, M. Vanhengel a rappelé que, lors des discussions budgétaires passées, le gouvernement flamand "a refusé de négocier avec les autres entités".
Les membres du gouvernement "ont alors indiqué qu'ils suivraient une trajectoire budgétaire issue de leur accord de gouvernement, sans le soumettre à négociation. Dans cette situation, on ne peut parvenir à un accord de coopération", fait valoir M. Vanhengel, assurant que le parlement serait associé au débat.
© La Dernière Heure 2011 De N-VA zegt niet dat het gehoord moet worden maar wel dat er een debat moet plaats vinden in de kamer. | |
| | | Belgica Admin
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Thu Apr 14, 2011 8:03 pm | |
| Le PS aussi défend un système raciste, c'est-à-dire le fédéralisme linguistique. Est-ce compatible avec le socialisme?
7sur7
Le statut de Bruxelles au coeur des débats
La décision de rebaptiser la Communauté française "n'est absolument pas un pas vers le séparatisme", a affirmé André Antoine. © photo news
Politiciens flamands et francophones ont débattu dimanche du statut de Bruxelles et de la nouvelle Fédération Wallonie-Bruxelles sur les plateaux de Mise au point (RTBF) et de Controverse (RTL-TVi). Beaucoup d'intervenants ont tenté de calmer le jeu, après une semaine marquée par de vives tensions. Les débats ont mis en évidence les différences de perception entre francophones et flamands sur la signification de la nouvelle Fédération Wallonie-Bruxelles, les premiers répétant que la démarche n'était "pas agressive" sans vraiment convaincre les seconds. La décision de rebaptiser la Communauté française "n'est absolument pas un pas vers le séparatisme", a affirmé André Antoine (cdH). La Fédération Wallonie-Bruxelles "n'a rien d'agressif", a renchéri Olivier Maingain (FDF), selon qui l'organisation d'une autonomie francophone "n'a rien d'insultant pour la Flandre". Le ministre-président wallon et francophone, Rudy Demotte (PS) a abondé dans cette direction. Un peu plus tôt, sur le plateau de la VRT, il avait répété que rien n'empêchait, à ses yeux, la déclaration d'une Fédération Flandre-Bruxelles. Ces propos apaisants n'ont pas franchement convaincu les politiciens flamands invités à Mise au Point, en particulier le sénateur N-VA Karl Vanlouwe. "J'ai l'impression que c'est le début du séparatisme wallon et bruxellois", a-t-il affirmé, non sans s'attirer quelques sarcasmes. Il a insisté sur le mécontentement flamand face à la situation linguistique de Bruxelles. "Je ne veux pas vivre dans une ville unilingue", a déclaré ce Bruxellois, jugeant que "l'application des lois linguistiques à Bruxelles pose problème", notamment dans les hôpitaux. Rik Daems (Open Vld) et Rik Torfs (CD&V) se sont voulus plus conciliants, évoquant la Fédération Wallonie-Bruxelles comme une question "sémantique". La démarche témoigne d'"un volontarisme un peu enfantin qui ne signifie rien", a dit M. Torfs, renvoyant à la Constitution, où figure toujours l'appellation de Communauté française. M. Daems a insisté sur la perception du geste politique francophone, qui a été vu comme une agression par les Flamands, a-t-il dit, en plaidant pour éviter les gestes symboliques. Dans Controverse, la députée Gwendolyn Rutten, elle aussi issue de l'Open Vld, a émis un autre son de cloche, en estimant que la Fédération Wallonie-Bruxelles était "un bon coup de marketing", qu'elle a comparé à l'appellation Bruxelles-Sud donnée à l'aéroport de Charleroi. "A l'étranger, personne ne connait la Flandre, ni la Wallonie, mais Bruxelles c'est autre chose. Pourquoi ne fait-on pas la même chose en Flandre ? Utilisons ce bon marketing", a-t-elle dit. Les débats ont aussi porté sur la gestion des compétences communautaires à Bruxelles. Le ministre-président wallon et francophone, Rudy Demotte (PS), s'est notamment déclaré ouvert à la réorganisation des compétences en matière d'enseignement et de culture dans la capitale. Selon lui, "la manière de organiser (ces compétences) peut être réfléchie sur le plan régional". Plusieurs intervenants ont tenté de calmer le jeu, après les déclarations du ministre-président flamand Kris Peeters sur la place de Bruxelles le week-end dernier et les tensions autour de la Fédération Wallonie-Bruxelles. es petites phrases n'ont pas pour autant été absentes des débats, notamment à l'encontre de la N-VA. Sur RTL-TVi, où la N-VA n'était pas représentée, Marcel Chéron (Ecolo) a accusé le parti nationaliste de "malhonnêteté". La N-VA s'efforce d'après lui de bloquer des études prouvant que ses réformes auraient des conséquences financières graves pour les francophones. Le ministre-président bruxellois Charles Picqué (PS) en a appelé à l'Histoire pour critiquer le nationalisme de la N-VA. "Les valeurs du parti que vous représentez sont inconciliables avec le nationalisme de la N-VA", a-t-il lancé à l'adresse de la députée CD&V Sonia Becq. (belga) 10/04/11 17h12
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| | | Belgica Admin
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| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Fri Apr 15, 2011 1:19 pm | |
| Et le cirque des politicards continue...
LA LIBRE BELGIQUE
A six, à défaut d’être à neuf
Mathieu Colleyn
Mis en ligne le 15/04/2011
Wouter Beke réunit Bart De Wever et les quatre partis francophones. Il poursuit sa mission, probablement jusqu’à la rentrée.
C’est reparti pour un tour. Après avoir remis, mercredi, son troisième rapport intermédiaire à Albert II, Wouter Beke a poursuivi l’organisation des négociations institutionnelles. Nouvelle du jour : il est parvenu à réunir Bart De Wever et les présidents des quatre partis francophones. Cette réunion Beke/De Wever/Di Rupo/Michel/Javaux/Milquet se tiendra cet après-midi. L’agence Belga indiquait jeudi que cette réunion a été obtenue "à la demande des partis francophones" lorsqu’ils ont vu, ensemble, Wouter Beke mardi. "Cette idée a simplement été évoquée" , tempère un observateur. Dans les autres partis, du bout des lèvres, on indique que cette demande n’a pas été exactement concertée. La demande initiale des francophones était qu’une réunion des neuf partis puisse enfin avoir lieu, dit-on. Ce que refuse toujours Bart De Wever. Ce dernier cède donc sur une réunion à six. Cette idée vient-elle de Wouter Beke ou d’Elio Di Rupo ? Mystère. Dans le deuxième cas, certains se demandent si le président du PS n’a pas délibérément choisi de faire la démonstration d’un front francophone devant Bart De Wever. Ce faisant, il implique les quatre partis dans l’échec éventuel du trio qui se retrouvera également aujourd’hui. "Cela ne sent pas bon" , glissait un francophone méfiant hier. Car, depuis le 2 mars, la mission de Wouter Beke se focalise essentiellement sur les deux grands vainqueurs des élections, le PS et la N-VA. Et - rappel - aucune avancée significative n’est encore enregistrée, même si tous les dossiers n’en sont pas au même point. Au menu des discussions de ce vendredi : emploi, loi de financement, soins de santé, BHV et Bruxelles.
Ainsi, sur l’emploi et surtout les soins de santé, les négociateurs assistent à une divergence de vue assez forte entre le CD&V et la N-VA. Le premier insistant sur la responsabilisation des entités fédérées, la seconde sur l’idée d’un transfert massif des compétences. Du côté francophone, on indique qu’il est possible d’aboutir à un accord sur ces questions, mais plutôt dans le cadre du schéma des sociochrétiens flamands. Ceux-ci ne souhaitent pas fâcher l’aile gauche du CD&V, précise-t-on.
Pour les autres matières, les positions demeurent radicalement opposées. Ainsi, sur la loi de financement, la N-VA tient toujours au système du "split rate" pour l’impôt sur les personnes physiques. Pour rappel, il s’agit de diviser chaque tranche d’imposition en un taux fédéral et un taux régional. Ce système est politiquement inacceptable pour les francophones car il appauvrirait structurellement le niveau fédéral et sans doute la Wallonie et Bruxelles. Derrière cette crainte, celle de voir cette grande réforme de l’Etat préparer le terrain pour une nouvelle étape qui mènerait au séparatisme. Ce sentiment accompagne aussi le débat sur BHV, que l’on dit tendu. Les francophones veulent éviter que la scission ne jette les bases d’une transformation des frontières régionales en frontières d’Etat.
Pour les francophones, l’enjeu de la journée de vendredi serait donc à nouveau de voir clair dans l’idée que se font le CD&V et la N-VA de la réforme de l’Etat. "Est ce qu’on veut plus d’autonomie pour plus d’efficacité ou pour préparer l’éclatement du pays ?" , résume l’un d’entre eux. Au CD&V, on estime qu’il n’est pas nécessaire de poser la question puisque le séparatisme n’est en rien une revendication de troupes de Wouter Beke. Ce n’est évidemment pas le cas pour la N-VA.
Que dire encore de la N-VA justement ? Mercredi, elle y allait de son petit coup de sang quant aux démarches entreprises par le gouvernement Leterme pour soumettre la Belgique au Pacte de stabilité de l’UE. Un courroux jugé ridicule par les autres partis et qui met un peu de plomb dans l’aile aux ultimatums lancés par les nationalistes. Feront-ils sauter le verrou à la rentrée ? Nul ne se risque au moindre pronostic. Mais l’on sera alors, le mardi 26 avril, date anniversaire de la chute du gouvernement Leterme - aujourd’hui en affaires courantes - largement attribuée à l’Open VLD d’Alexander De Croo. "On a vu ce que cela lui a coûté, je doute que la N-VA prenne le risque de tout faire sauter à ce moment-là" , estime une source proche des négociations . "La stratégie de la N-VA est claire aujourd’hui, ajoute une autre. Maintenir sa popularité jusqu’aux élections communales de 2012." Un petit jeu qui, note-t-on, commence à agacer certains en Flandre.
Une "Flandre" qui est une fiction bien entendu.
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| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Mon Apr 18, 2011 8:57 pm | |
| Et si on les envoie ensemble sur une plage déserte dans l'océan pacifique, ils pourront se voir tous les jours à un endroit encore beaucoup plus romantique et nous, on en est débarrassé ! LA LIBRE BELGIQUE Beke, Di Rupo et De Wever se revoient jeudi
BELGA
Mis en ligne le 18/04/2011 Le négociateur royal Wouter Beke reverra à nouveau jeudi les présidents du PS Elio Di Rupo et de la N-VA Bart De Wever. Le but de la rencontre est d'établir un nouvel état des lieux, a-t-on appris lundi dans l'entourage de M. Beke.
D'ici là, des réunions des groupes de travail sur les soins de santé et la loi de financement sont encore prévues.
Manque de concertation du côté flamand: la N-VA ne comprend pas le reproche
La N-VA dit ne pas comprendre la critique formulée lundi matin par le chef de groupe CD&V à la Chambre Servais Verherstraeten, qui a reproché à Bart De Wever son manque de concertation avec les autres partis flamands. "Ce serait mieux si De Wever menait davantage de concertation, comme le fait Di Rupo avec les francophones", avait déclaré M. Verherstraeten sur les ondes de la VRT."C'est lui le leader politique flamand du moment. Il doit un peu plus en référer aux autres, afin d'éviter les irritations des autres partis flamands et engranger des résultats", a ajouté le député.La N-VA dit ne pas bien comprendre ce reproche. "C'est tout de même le négociateur royal Wouter Beke qui mène les travaux. Notre porte est toujours restée ouverte", commente-t-on dans l'entourage de Bart De Wever.Quant à la demande formulée par le député Bruno Tobback (sp.a) à Bart De Wever afin que ce dernier en finisse avec ses "petits jeux politiques dérisoires", la N-VA n'a pas souhaité la commenter. | |
| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| | | | Bruno
Number of posts : 3228 Location : Leuven-Louvain - La Belgique une et indivisible ! Het ene en ondeelbare België ! Registration date : 2008-11-23
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Wed Apr 20, 2011 6:50 pm | |
| bron: GVA
Weer kans gemist om te zwijgen
Mark Eyskens heeft weer eens een kans gemist om te zwijgen, meent de commentator van Gazet van Antwerpen. Eyskens uitspraken over een klassieke tripartite-regering hebben de Vlaamse onderhandelingspositie danig verzwakt.
Eigenlijk is het debat over het lozen van de N-VA verleden week begonnen met Louis Tobback. In zijn onnavolgbare cassante stijl deed hij de volgelingen van Bart De Wever af als een verzameling caractériels, een bende karaktergestoorden. Eyskens deed er gisteren nog een schep bovenop, en Wilfried Martens volgde aarzelend.
Mogen we hierbij opmerken dat het om drie oude politieke gloriën gaat die in hun tijd het Belgisch huis zodanig hebben verbouwd dat een kat haar jongen er niet meer in terugvindt? Dat het vandaag zo moeilijk is om een ordentelijke staatshervorming uit te werken ligt onder meer aan het hogergenoemde trio. Ze zouden zich beter wat bescheiden opstellen. Maar dat geheel terzijde.
Wat belangrijker is, is dat zij met hun uitspraken de - op zich al zeer minieme - kansen op een communautair akkoord verder hebben verkwanseld. Stel u even in de plaats van de Franstalige partijen. Elke dag horen ze in Vlaanderen wel iemand roepen dat met de N-VA geen land te bezeilen valt. Dat Bart De Wever geen akkoord wil, dat hij slechts één zaak nastreeft: het einde van België. En dat er dus best een regering komt zónder de N-VA. Waarom zou Elio Di Rupo in godsnaam nog enige moeite doen om samen met De Wever een akkoord uit te werken? Hij zou wel goed gek zijn. Nog even wachten, en de prijzen vallen als hemels manna in zijn schoot.
De PS is ervan overtuigd dat zij weldra een regeerakkoord kan sluiten met CD&V, Open Vld en sp.a. Met de vage belofte dat er in een of andere obscure vergadering zal worden verder gepraat over de staatshervorming. We kunnen Di Rupo geen ongelijk geven. Hij heeft bijna wat hij - samen met cdH, MR en Ecolo - al maanden vraagt: de status-quo.
De Vlamingen hebben eens te meer zwaar in de eigen voet geschoten. Het beeld dat Eyskens en consorten de jongste dagen hebben verspreid is niet meer uit te wissen, alle reparatieverklaringen van Kris Peeters, Yves Leterme en Wouter Beke ten spijt. Na tien maanden lijkt de strijd gestreden.
Paul Geudens, Gazet van Antwerpen
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| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Fri Apr 22, 2011 12:41 pm | |
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| | | Gonda
Number of posts : 377 Location : Chez Laurette, c'était chouette Registration date : 2009-09-30
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Tue Apr 26, 2011 1:27 pm | |
| Quelques jours que le forum est en panne, comme la Belgique ? | |
| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Tue Apr 26, 2011 9:01 pm | |
| Il y a des moments que c'est relâche, non? Que dire de plus? J'ai l'impression que tout est déjà dit et que la conclusion est: jetons cette bande de politicards et faisons une nouvelle Belgique unitaire et multilingue. Tout le reste est une perte de temps. | |
| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Wed Apr 27, 2011 1:02 pm | |
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| | | Bruno
Number of posts : 3228 Location : Leuven-Louvain - La Belgique une et indivisible ! Het ene en ondeelbare België ! Registration date : 2008-11-23
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Sat Apr 30, 2011 6:28 pm | |
| Dat van Wallobrux is zever, de rest is leuk http://www.hln.be/hln/nl/1274/De-formatie/article/detail/1257537/2011/04/30/Tijd-dat-Franstaligen-discours-verharden.dhtml"Tijd dat Franstaligen discours verharden" "Het wordt tijd dat de Franstaligen hun discours verharden en zich gezamenlijk fixeren op hogere doelen op economische en sociaal vlak". Dat zegt FDF-voorzitter Olivier Maingain in La Libre Belgique als reactie op de nog steeds aanslepende regeringsonderhandelingen. Olivier Maingain plaatst tegenover het Vlaams nationalisme een soort van Waalse en Brusselse eenheid die alle communautaire, economische en sociale aspecten omvat. Volgens de FDF-voorzitter is de Federatie Wallonië-Brussel de garantie voor de eenheid. Hij zegt ook nog dat "het Vlaams nationalisme een politiek probleem is dat al decennialang aansleept". (belga/sam) | |
| | | Bruno
Number of posts : 3228 Location : Leuven-Louvain - La Belgique une et indivisible ! Het ene en ondeelbare België ! Registration date : 2008-11-23
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Tue May 03, 2011 5:43 pm | |
| leuk http://www.demorgen.be/dm/nl/3625/De-Formatie/article/detail/1258668/2011/05/03/Di-Rupo-laat-sp-a-niet-los.dhtml<h1 class="k1 mrg">Di Rupo laat sp.a niet los</h1> <div class="time_post"> <span class="author">Steven Samyn en Marjan Justaert</span> − 03/05/11, 06u51 </div> <div class="embeddedMasterObject" style="margin-bottom: 0pt;"> </div> <div class="captionEmbeddedMasterObject">Elio Di Rupo. <span class="credit"> photo news</span> </div> <p class="intro"> De Franstalige socialisten denken er niet aan de sp.a los te laten. 'De PS heeft al herhaaldelijk laten weten dat wij willen doorgaan met hen erbij. Wij hebben niet de gewoonte om de haverklap van standpunt te veranderen.'<div class="art_photos"> <div class="embed_"> -
<div class="art_photos_quote"> <blockquote> <span class="react_open_quote"> </span>De Wever is tot nader order nog geen koning <span class="react_close_quote"> </span></blockquote> Reactie in PS-kringen</div>
</div> </div>PS-voorzitter Elio Di Rupo deed gisteren een aankondiging. Alleen was het niet de aankondiging waar in de Wetstraat reikhalzend naar werd uitgekeken. Het nieuws uit de PS-hoek is dat de leden deze maand nog een nieuwe voorzitter verkiezen. Het mandaat van Di Rupo liep eigenlijk pas begin juli af. De voorzittersverkiezingen worden vervroegd naar 27 en 28 mei omdat er in juni veel verlengde weekends zijn. Di Rupo bevestigde dat hij alvast kandidaat is om zichzelf op te volgen. Hij wil "het geleverde werk" verderzetten. N-VA-voorzitter Bart De Wever had de voorzitter van de Franstalige socialisten zondag opgeroepen in de ring te stappen als formateur. Maar ook gisteren klonk het op het PS-hoofdkwartier dat die vraag voorlopig nog niet aan de orde is. "Sommige mensen vergeten blijkbaar dat Wouter Beke (CD&V) nog altijd een opdracht heeft als koninklijk onderhandelaar. Het heeft geen zin om daar nu over te communiceren." In PS-kringen werd de demarche van de N-VA-voorzitter duidelijk niet gesmaakt. "De Wever wil graag koning van Vlaanderen zijn, maar in dit land is er tot nader order slechts één koning en dat is Albert II."Wantrouwen blijftDe N-VA wacht niet alleen op een antwoord op de vraag of Di Rupo opnieuw aan zet wil komen, maar ook welke partijen de onderhandelingstafel moeten verlaten. "Dat is echt nodig", klinkt het op het N-VA-hoofdkwartier. "Met negen partijen rond de tafel zit je eigenlijk met een geïnstitutionaliseerd wantrouwen. Dan blijft de argwaan bij sommigen gewoonweg bestaan. Tien maanden na de verkiezingen is het tijd dat men knopen doorhakt. Misschien komt op die manier ook een einde aan de tweedracht tussen de Vlaamse partijen." Voor de Vlaams-nationalisten is het onmogelijk om zonder duidelijkheid hierover naar een volgende fase te gaan. "Dit is een conditio sine qua non", klonk het. Maar in één adem werd eraan toegevoegd dat het weliswaar geen voldoende voorwaarde is om tot een akkoord te komen. "De inhoudelijke verschillen tussen partijen zal het niet wegnemen." N-VA-Kamerfractieleider Jan Jambon liet gisteren op vtm duidelijk verstaan dat hij een federale coalitie zonder sp.a best ziet zitten. "Ik denk dat je met Open Vld en CD&V misschien wel tot iets werkbaar kunt komen", klonk het. De Wever liet echter verstaan dat het aan de sp.a zelf is om de onderhandelingstafel te verlaten. De PS denkt er in elk geval niet aan haar Vlaamse geestesgenoten los te laten. Bij de Franstalige socialisten valt te horen dat ze willen doorgaan met de sp.a erbij. "Dat hebben we al herhaaldelijk laten weten en we hebben niet de gewoonte om de haverklap van standpunt te veranderen." Wouter Beke zit vandaag en morgen samen met De Wever en Di Rupo om te spreken over de financieringswet en de gezondheidszorg. "Het is geen geheim dat de financieringswet het grootste struikelblok vormt, maar toch is het ook op dat domein niet onmogelijk om tot een akkoord te komen", klinkt het bij de entourage van de onderhandelaar. "Na de moeilijke vergadering van vorige woensdag is donderdag tijdens de individuele gesprekken toch één en ander uitgeklaard." De christendemocraten waren overigens maar wat blij niet betrokken te zijn bij de vijandigheden tussen sp.a en N-VA. "Als centrumpartij zitten we iets comfortabeler, we gaan dan ook geen exclusieven stellen. Voor de opdracht van Wouter is het sowieso het beste als zoveel mogelijk partijen zich aansluiten, maar wie uiteindelijk terechtkomt in de coalitie en wie niet, moet de formateur beslissen." | |
| | | Bruno
Number of posts : 3228 Location : Leuven-Louvain - La Belgique une et indivisible ! Het ene en ondeelbare België ! Registration date : 2008-11-23
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Tue May 03, 2011 5:49 pm | |
| http://www.lalibre.be/actu/elections-2010/article/658288/le-ps-ne-repondra-qu-au-palais.html<h1> Le PS ne répondra qu’au Palais </h1> <p id="writer"> M. Co. <p id="publicationDate"> Mis en ligne le 03/05/2011 <div id="articleHat"> Le PS reste muet sur la possibilité de voir Di Rupo devenir formateur. Une méfiance vis-à-vis du MR s’installe chez les socialistes. </div> <div id="articleText"> Bart De Wever n’est pas le Roi. Il ne fallait donc pas attendre du PS une réponse, positive ou négative, à la demande du nationaliste flamand formulée le 1er mai. La question de savoir si Elio Di Rupo va devenir formateur et donc candidat Premier ministre "ne se pose pas", précise-t-on encore dans les rangs socialistes. En tout état de cause, si le président du PS se lance, ce ne sera pas à la demande de son homologue de la N-VA, mais bien à celle du Palais royal, ajoute-t-on. Le PS demeurera donc cette semaine dans le cadre strict de la mission de Wouter Beke. La sortie de la N-VA n’est rien d’autre qu’un "piège à c ", soufflait un rouge francophone. Pour cause, avant qu’Elio Di Rupo ne se place à nouveau en position de devenir Premier ministre, il lui faudra de solides garanties quant aux chances de réussite de sa nouvelle mission. Faut-il rappeler les deux mois de négociations de l’été dernier et l’échec qui s’en est suivi ? Le président du PS ne les a évidemment pas oubliés. Imaginons-le une seconde comme formateur alors que la N-VA n’a toujours pas, à ses yeux, fais un pas décisif vers un compromis. Les nationalistes auraient l’opportunité permanente de faire capoter la moindre avancée. Et ce faisant, d’affirmer que le PS est la source du blocage politique. Bref, le fauteuil de formateur s’assimilerait à une planche de fakir pour Elio Di Rupo. Reste que le Montois risque bien de ne pas avoir le choix. Le PS est le vainqueur des élections, et il sera extrêmement difficile pour son président de ne pas prendre la relève de Wouter Beke à la tête des négociations. Qui d’autre? Après la fièvre du 1er mai, on en revient donc au négociateur royal dont le retour au Palais n’est pas attendu avant la semaine prochaine. On donnerait donc encore une dizaine de jours au socio-chrétien flamand pour finaliser son rapport. Mais dans l’entourage des négociations, on signale que la fin de sa mission n’a toujours pas été fixée officiellement. Où en est-on ? Toujours à des négociations en trio Beke-De Wever-Di Rupo. Est-ce que cela avance ? Oui, mais surtout entre le PS et le CD&V qui seraient même parvenus à conclure des accords en bilatérale sur l’emploi et les soins de santé, rapporte-t-on. La N-VA, elle, n’y souscrivant pas. Par ailleurs, il faut signaler la méfiance qui s’est insinuée au PS depuis dimanche. Vis-à-vis du MR. On y soupçonne avec les nationalistes dans certains dossiers. La proximité des propos de Charles Michel à Jodoigne (il faut un candidat Premier ministre) avec ceux de Bart De Wever en est une des causes. "On pense qu’il y a un accord avec le MR pour nous affaiblir sur certains dossiers", précise-t-on. Charles Michel, président du MR, dément fermement, assurant que même s’il ne s’interdit aucun contact, ceux du MR avec la N-VA n’ont lieu que dans le cadre des réunions organisées par Wouter Beke. Par ailleurs, les réformateurs discutent avec tous les partis, y compris avec la N-VA, dans le cadre du travail du Parlement. Et c’est tout, ajoute-t-il. Wouter Beke rencontrera successivement mardi et mercredi Bart De Wever et Elio Di Rupo en bilatérale. Le reste de son programme des prochains jours n’a pas été dévoilé. </div> | |
| | | Belgica Admin
Number of posts : 5604 Location : BELGIE - BELGIQUE - BELGIEN - BELGIUM Registration date : 2008-11-19
| Subject: Re: DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE Wed May 04, 2011 5:24 pm | |
| LA CAPITALE N-VA: "Si nous avions des listes au sud du pays, nous récolterions pas mal de voix" Belga
• Beke, Di Rupo et De Wever ont travaillé sur la loi de financement • Un an sans gouvernement: le chômage recule encore en Wallonie! • Pourquoi PS et N-VA ne peuvent s’entendre • Beke, De Wever et Di Rupo négocient mardi et mercredi • De Wever: "S’il nous déteste autant, le sp.a n’a qu’à partir"
Mercredi, Siegfried Bracke, homme fort de la N-VA, confiait lors d'un entretien que ”s'il nous prenait l'idée d'avoir des listes au Sud du pays – ce qui n'est pas d'actualité, – nous récolterions pas mal de voix.”
Rédaction en ligne
Publié le 04/05 à 14h08
Dans cette interview retranscrite sur le site de la Dernière Heure, l'homme politique flamand s'exprime sur divers sujets comme...
>Un éventuel accord
“Oui, on en est un peu plus près. Cependant, il reste encore beaucoup de travail.”
>Wouter Beke
”Wouter Beke a énormément travaillé, il a avancé de quelques petits pas, mais, je le répète, il reste beaucoup de travail.”
>Un duo Di Rupo-De Wever
“Tout à fait ! Mais, au risque de me répéter, il faut aller très vite! Le pays a besoin, de toute urgence, d'un gouvernement de plein exercice.”
>Les francophones
“Cependant, je constate que les Wallons et Bruxellois comprennent ce que nous disons. Je dirais même plus : s'il nous prenait l'idée d'avoir des listes au Sud du pays – ce qui n'est pas d'actualité, – nous récolterions pas mal de voix.
Si nous parvenions à ce que les gens n'aient plus peur de nous et qu'ils ne croient plus que le seul but de la NV-A est de les appauvrir, dans ce cas, nous pourrions attirer des électeurs.” Zouden die separatistische bureacraten "vooruitgang" boeken? Les bureaucrates séparatistes feraient-ils des "progrès" ?LE SOIR Wouter Beke a un plan pour BHV
DAVID COPPI
mercredi 04 mai 2011, 08:42
Bart De Wever met-il la pression sur la négociation parce qu’elle… avance ? Wouter Beke engrangerait. Il aurait notamment une proposition sur BHV.
Par David Coppi
Belga
Un observateur prétend (plusieurs, en fait) qu’à chaque fois que l’on progresse vers un compromis institutionnel, la N-VA fait diversion, détourne l’attention sur un problème collatéral, pour noyer le poisson. Mauvaises langues. Selon cette thèse, Bart De Wever mettrait l’accent ces derniers jours sur la composition d’une hypothétique coalition – sujet conflictuel – précisément parce que, en termes de « contenu », les choses… avanceraient.
Attendu au Palais mardi prochain (il n’est pas exclu que le président du CD&V garde la main encore un court délai), Wouter Beke engrangerait.
Nous avons évoqué déjà les convergences CD&V-PS sur les soins de santé et sur la loi de financement. À bonne source au Nord, on nous explique que Wouter Beke aurait, par ailleurs, concocté « sa » proposition sur BHV, dont il aurait fait part en termes généraux à certains interlocuteurs flamands. La trame serait, grosso modo, celle évoquée à plusieurs reprises déjà ces derniers mois (notamment après la mission de préformation d’Elio Di Rupo, ou d’information de Didier Reynders)… Tous les quatre ans ?
Wouter Beke projetterait une « communauté urbaine » dépassant les frontières de « Bruxelles 19 communes », qui serait le foyer de coopérations accrues entre Régions. Un peu le petit « élargissement ». Pas question, en revanche, de permettre à la Communauté française d’étendre ses pouvoirs, en matière d’enseignement et de culture, à la périphérie bruxelloise – une formule imaginée en 2005 sous Verhofstadt, mais enterrée. Dans sa proposition, Wouter Beke préciserait que toute décision à propos du ring de Bruxelles comme du RER serait le fruit de cette coopération – la Flandre ne pourrait trancher seule.
Droit de vote : (seuls) les habitants francophones des six communes à facilités de la périphérie pourraient continuer à voter pour des listes bruxelloises. Beke programmerait encore l’abolition de la circulaire Peeters : la loi spéciale indiquerait à quel intervalle (tous les 4 ans ?) les francophones souhaitant recevoir leurs documents administratifs dans leur langue auraient à en faire la demande aux autorités flamandes. Aussi : le négociateur royal imaginerait un nouveau mode de désignation des bourgmestres dans la périphérie à partir de 2012. Pour ce qui concerne Bruxelles, mis à part quelques corrections en emploi des langues, Wouter Beke suggérerait de se concentrer sur le financement de la Région, sans autre réforme institutionnelle. Pour le reste : le négociateur royal a réuni à nouveau Bart De Wever et Elio Di Rupo. Rebelote ces mercredi et vendredi.
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