DE WEVER INFORMATEUR !

Un fasciste et séparatiste devient pour la première fois informateur en Belgique...

Een fascist en separatist wordt voor de eerste keer informateur in België !



LA LIBRE BELGIQUE

Bart De Wever est informateur

Belga

Mis en ligne le 17/06/2010
Alors que les médias évoquent les nombreuses hypothèses possibles, de la nomination d'un informateur à l'organisation d'un nouveau tour de consultations (partenaires sociaux...), la seule chose certaine à ce stade est que le roi ne prendra pas d'initiative jeudi matin.

* Photos des élections
* La Belgique doit reprendre son élan. Et vite
* De Wever au turbin
* Le PP chipe surtout des électeurs au MR
* BHV: la piste que creusait Dehaene
* Edito : quatre ans
* Politic Twist, le blog décalé sur la politique
* Forum: Qu'est-ce qu'être belge aujourd'hui?

Le roi reprend ses audiences ce jeudi après-midi. L'information a été annoncée vers 13 heures par le Palais où on se refusait toutefois à donner d'autres précisions sur ce que cela signifiait.Il semble cependant que le roi ne devrait pas reprendre un "round" de consultations par exemple en recevant les partenaires sociaux. On s'attend plutôt à quelques audiences ciblées qui devraient conduire à une nouvelle étape dans l'après-midi.

On restait dans l'attente d'un signal du Palais royal jeudi après que le chef de l'Etat eut achevé la veille la consultation des présidents de partis, trois jours après le scrutin législatif du 13 juin qui a accouché de la victoire du PS et de la N-VA.

Alors que les médias évoquent les nombreuses hypothèses possibles, de la nomination d'un informateur à l'organisation d'un nouveau tour de consultations (partenaires sociaux...), la seule chose certaine à ce stade est que le roi ne prendra pas d'initiative jeudi matin.

Une des hypothèses les plus souvent retenues est la désignation d'un informateur sp.a, les socialistes flamands appartenant à la plus grande famille politique. Cette hypothèse permettrait d'ouvrir la voie à la désignation à terme d'un formateur, par exemple Elio Di Rupo, certains observateurs estimant qu'il a aujourd'hui le meilleur profil pour devenir premier ministre.

Mais le sp.a ne semble guère enthousiaste à la désignation d'un des leurs comme informateur, le nome le plus régulièrement cité étant celui de Johan Vande Lanotte. Il a perdu un siège aux élections et même s'il n'a pas été emporté comme d'autres par le tsunami N-VA, il reste un petit parti. Prendre les choses en main n'est pas "forcément de notre responsabilité", commentait jeudi matin sur La Première (RTBF) Bruno Tobback, chef de groupe sortant à la Chambre.

Ce dernier préfère voir "les deux grands partis" vainqueurs des élections prendre les initiatives nécessaires.

DE STANDAARD

De Wever aangesteld als informateur

* donderdag 17 juni 2010, 16u27
* Bron: belga, eigen berichtgeving
* Auteur: svh

BRUSSEL - De koning heeft vanmiddag N-VA-voorzitter Bart De Wever aangesteld als informateur. De Wever heeft de opdracht aanvaard. Dat meldt het paleis.

Lees ook

* 'Aanvaarding informateursopdracht is positief signaal'
* De Wever vergeet Franstalige versie persmededeling

Dossiers

* Regeringsvorming

De demarche van de vorst komt er nadat hij eerst PS-voorzitter Elio Di Rupo en kort nadien ook De Wever zelf in audiëntie ontving op het kasteel van Laken. De ontmoeting met Di Rupo duurde een dik half uur, het onderhoud met de N-VA-voorzitter een beetje langer.

'Ik zal deze opdracht op een zeer discrete manier vervullen', zegt De Wever in een persbericht. 'Ik plan gesprekken met de vertegenwoordigers van de belangrijkste politieke, sociaaleconomische en maatschappelijke actoren in onze samenleving.' De Wever verwijst ook onrechtstreeks naar de informatieronde van Didier Reynders in 2007 door te stellen dat hij 'geen eindeloze reeks gesprekken plant'.

Drie essentiële vragen

'In mijn gesprekken zal ik de genodigden vragen naar hun belangrijkste ideeën omtrent de drie meest essentiële vraagstukken waarmee de volgende regering geconfronteerd wordt', aldus De Wever. Hij wil weten hoe zijn gesprekspartners de financiële problemen van het land willen aanpakken, hoe ze de institutionele hervormingen willen doorvoeren en hoe ons sociaal en economisch weefsel moet worden versterkt.

'Op basis van deze gesprekken zal ik nagaan of een volgende fase in de regeringsvorming opgestart kan worden', besluit De Wever.

De keuze voor De Wever als informateur komt niet als een verrassing. Omdat Di Rupo meer dan waarschijnlijk formateur - en indien succesvol uiteindelijk premier - wordt, keek iedereen naar N-VA om de informateur te leveren. Naast de naam van De Wever werd ook fractieleider Jan Jambon even genoemd.

Volbloedseparatisten...

Ik stel me toch ernstige vragen bij de capaciteiten van deze Koning.

Zou de BUB zich niet beter eerst vragen stellen bij de capaciteiten van haar woordvoerders?

C'est un comble: un homme politique qui a tout intérêt à ce que son pays ne fonctionne pas qui a une fonction aussi importante. Peut-être qu'il va volontairement faire durer la crise au nom de son idéologie.

belgeetfierdeletre wrote:

C'est un comble: un homme politique qui a tout intérêt à ce que son pays ne fonctionne pas qui a une fonction aussi importante. Peut-être qu'il va volontairement faire durer la crise au nom de son idéologie.

Je n'en suis pas sûr. Le PS est un parti très régionaliste (elle a négociée chaque "réforme" de l'Etat) et donc l'allié objectif de la N-VA.

De Wever en de andere vlaamse partijen willen gewoon een goed bestuur voor het land - een land met twee openbare opinies en twee democratieën - waarin ze leven.
Ze verschillen daarin principieel van de staatsnationalisten van de BUB die die twee democratieën het zwijgen wil opleggen en onderdrukken.

Si le roi en a décider ainsi il en va de sa responsabilité aussi... mais vu que la flandre est républicaine il a n'a pas trop le choix... [...]

Veuillez modérer vos propos vis-à-vis de notre Roi, svp. Merci.

L'admin

Allez, commençons un bêtisier pour lui.

Roger Milutin

LE SOIR

La première « bêtise » de De Wever

Rédaction en ligne

jeudi 17 juin 2010, 18:48

Bart De Wever, chargé d’une mission d’information par le Roi, débutera sa mission lundi en recevant les syndicats et les organisations patronales. Il n’avait pas prévu de version en français de son allocution.
La première « bêtise » de De Wever

ROGER MILUTIN
La première « bêtise » de De Wever

ROGER MILUTIN

Il va recevoir à partir de lundi les syndicats et les organisations patronales et leur demander comment ils considèrent qu’on peut résoudre les problèmes du pays, à savoir les problèmes financiers, la mise en place de la réforme institutionnelle et le renforcement des réseaux sociaux et économiques.

A partir de là, a insisté Bart De Wever, il travaillera « en toute discrétion ».
Plus qu’un informateur

D’après notre spécialiste David Coppi (à écouter dans notre Caméra Café), Bart De Wever sera plus qu’un informateur : une sorte de « pré-formateur ». « Il ne se contentera pas de faire un simple tour de piste, mais il sera déjà ’’exécutif’’ politiquement. Il va se concentrer d’emblée sur ce qui pourrait être un préprogramme gouvernemental et privilégier les contacts avec les partis qui pourraient former la coalition. »
Première bêtise

Bart De Wever n’avait dans un premier temps prévu de prononcer son texte qu’en néerlandais. A une question d’un journaliste qui lui demandait s’il allait la répéter en français, De Wever a ironisé, débonnaire, « zut, déjà une bêtise ! » (en français dans le texte)...avant d’improviser dans un parfait français la lecture au complet de son texte.

L’annonce de la déclaration qu’il entendait faire dans le péristyle du parlement a été adressée à la seule presse flamande et uniquement dans la langue de Vondel.

Selon le porte-parole du parti, il ne faut pas y voir malice. La N-VA ne dispose pas d’une liste des adresses électronique des médias francophones, a-t-il expliqué. Il a ajouté qu’il avait personnellement averti quelqu’un à la RTBF et à RTL-TVI.

(avec Belga)

Quel amateurisme ! Même le B.U.B. fait mieux sans que nous disposions des millions d'euros de la N-VA !

Bruno wrote:

belgeetfierdeletre wrote:

C'est un comble: un homme politique qui a tout intérêt à ce que son pays ne fonctionne pas qui a une fonction aussi importante. Peut-être qu'il va volontairement faire durer la crise au nom de son idéologie.

Je n'en suis pas sûr. Le PS est un parti très régionaliste (elle a négociée chaque "réforme" de l'Etat) et donc l'allié objectif de la N-VA.

En plus, leur slogan était "un pays stable". N'importe quoi.

A ok on ne peut pas critiquer le roi... Et c'est le PS et la NVA qui sont fascistes... je commence a mieux comprendre l'esprit de ce parti maintenant... et encore j'ai pas été méchant j'ai juste dit que "ca chauffe pour votre pauvre roi"
De toute maniere dans la réforme il y aura la diminution des pouvoirs du roi ca me parait inéluctable avec la NVA et le PS au pouvoir ;-)

Le roi n'est pas en odeur de sainteté auprès de BDW. Rappelez-vous: il n'a pas digéré le fait que le roi compare le nationalisme flamand à la haine, ce qui selon lui est un amalgame.

Le Brusseleir wrote:

De toute maniere dans la réforme il y aura la diminution des pouvoirs du roi ca me parait inéluctable avec la NVA et le PS au pouvoir ;-)

Pourtant, la majorité est encore favorable au roi. Ils ont une vision très personnelle de la démocratie.

BFE wrote:

Le Brusseleir wrote:

De toute maniere dans la réforme il y aura la diminution des pouvoirs du roi ca me parait inéluctable avec la NVA et le PS au pouvoir ;-)

Pourtant, la majorité est encore favorable au roi. Ils ont une vision très personnelle de la démocratie.

Oui mais il va falloir négocier avec la NVA et donc faire des concessions. Et a mon avis la moins pire des concessions pour les francophones serait de diminuer les pouvoirs du roi

Jo wrote:

Zou de BUB zich niet beter eerst vragen stellen bij de capaciteiten van haar woordvoerders?

Inderdaad, wie systematisch termen als "fascist" in de mond neemt en aldus voortdurend het punt van Godwin overschrijdt, klinkt niet geloofwaardig...

Peut-être que le titre est correct, mais cette désignation ne me fait pas peur, parce que cette victoire électorale va coûter cher à Bart De Wever.

LA LIBRE BELGIQUE

Confédéralisme de fait

Christian Laporte

Mis en ligne le 18/06/2010
Pour la première fois dans l’histoire belge, un nationaliste flamand est à la manœuvre. Et c’est la conséquence d’un confédéralisme de fait.

Dans l’histoire politique belge, les partis communautaires ont été associés de près à certaines réformes majeures de l’Etat. On pense à celle de 1970, préparée au sein de la commission des 28 composée aussi de membres de l’opposition. Ou encore au Pacte d’Egmont en 1977 avec le FDF et la VU, voire à celle de 1992 toujours avec la Volksunie.

Mais jusqu’ici, ni le roi Baudouin ni son frère n’avaient fait appel à un informateur d’une formation communautaire. Albert II innove donc résolument sous la pression des événements.

"C’est de fait historique", s’exclame le Pr Carl Devos, politologue de l’Université de Gand. "Mais il y a d’autres constats étonnants à faire. Il y a un an, la N-VA menait encore une campagne très dure contre Elio Di Rupo en demandant que la Flandre ne se laisse pas endormir (verstrikken) par une Wallonie symbolisée par le nœud pap’ du président du PS. Et voilà que De Wever va rouler pour le diable "

Mais Carl Devos persévère aussi dans une autre analyse : "Ceci confirme aussi qu’on est déjà de fait dans un confédéralisme des partis. Jadis, ce type de mission royale démarrait à partir d’une vision qui tenait compte des grandes familles politiques qui, bien que séparées par la frontière linguistique et par des positions com munautaires antinomiques, avaient encore des liens communs. Plus rien de cela ici, puisque ce sont les deux partis vainqueurs des élections, très différents à maints égards, qui se partagent les tâches pour tenter de jeter les bases d’un accord en vue de la formation d’un gouvernement. Ils dirigent seuls les opérations avant de décider quels partenaires de leur communauté ils aimeraient voir s’embarquer dans le bateau gouvernemental !"

Pour le politologue gantois, cela montre aussi l’évaporation du pouvoir fédéral : "L’on ne veille même plus à examiner d’autres hypothèses sur des coalitions possibles mais on part de l’évidence qu’il y a deux réalités communautaires dont il s’impose de tenir compte. Et vous voyez alors que le PS ne fait plus la moindre réserve à l’égard de la N-VA qui est non seulement un parti séparatiste de centre-droit mais qui a toujours réservé ses plus belles flèches pour le Parti socialiste. Et l’on peut évidemment faire un raisonnement similaire à propos de la N-VA "

Carl Devos admet qu’il n’y avait sans doute pas d’autre solution. "Cela illustre aussi que chaque interlocuteur a dû avouer au Roi qu’il n’y avait pas d’alternative. Je reste quand même très curieux de voir ce qui va se passer. Une source de la N-VA me dit que les contacts sont très bons mais voilà, le PS et la N-VA sont encore en pleine lune de miel. Ils vivent encore des "wittebroodsweken", parce qu’il n’y a, évidemment, pas encore de sujets qui fâchent."
Le politologue gantois nuance, enfin, l’importance de la mission de Bart De Wever : "Il a finalement la tâche la plus facile. Il doit établir un état de la question belge à travers une large consultation de ce qui compte dans ce pays. Mais il a déjà annoncé qu’il ne ferait pas comme Didier Reynders en 2007 qui avait tiré sa mission d’informateur en longueur. De Wever ne rencontrera pas la moitié de la planète En fait, ce sera plus dur pour Elio Di Rupo qui devra franchir l’étape suivante. Notamment avec un CD & V où l’aile plus flamande autour de Kris Peeters et, d’une certaine manière, de Marianne Thyssen pourrait singulièrement compliquer la tâche. Ce qui me met la puce à l’oreille ici de l’ascendant de l’aile plus flamande sur celle de l’ACW chère à Leterme et à Vervotte est que lors des débats des présidents, Marianne Thyssen est chaque fois revenue sur les résolutions du Vlaams Parlement alors que Peeters rappelle qu’un accord doit aussi tenir compte du volet institutionnel de son prpropre programme gouvernemental."

Belgica wrote:

Peut-être que le titre est correct, mais cette désignation ne me fait pas peur, parce que cette victoire électorale va coûter cher à Bart De Wever.

Hij zal toegevingen moeten doen, niet alles uit de kast kunnen halen ... maar neem even de Baert-doctrine, genoemd naar de oud-VU-politicus Baert. Drie vuistregels: betekent het voorliggende communautaire akkoord een wezenlijke vooruitgang voor Vlaamse autonomie? Is de prijs ervoor niet te hoog? En maakt het verdere vooruitgang in de toekomst niet onmogelijk?

Ik wed dat er een staatshervorming komt die België eens en voor altijd veranderd ...

Que font-ils de nos millions d'euros? Remplir des feuilles...

LA LIBRE BELGIQUE

Le PS, une vraie machine de guerre

V.d.W. et M. Bu.

Mis en ligne le 19/06/2010
Une armée de grosses têtes travaillent dans l’ombre et pour Elio Di Rupo. Centre d’étude, cabinet ministériel, top managers lui préparent notes et fiches.

* Nouveaux rapports de force
* De Wever débute ses entretiens lundi
* Politic Twist, le blog décalé sur la politique
* Forum: Qu'est-ce qu'être belge aujourd'hui?

A la N-VA, on l’admet volontiers : le PS est beaucoup mieux préparé à une négociation gouvernementale fédérale que ne le sont les nationalistes flamands. Il y a derrière, le PS, une véritable machine de guerre, une redoutable organisation, au service du président et demain, du formateur. La tête de pont est l’Institut Emile Vandervelde (IEV) le centre d’étude du PS dirigé de main de maître par Anne Poutrain.

A côté de l’IEV, il y a les cabinets ministériels qui fourmillent véritablement de "têtes" pensantes et agissantes. C’est là que se trouvent les meilleures gâchettes dans toutes les manières : sécurité sociale, emploi, fiscalité, budget Ajoutez à cela les ramifications dans la plupart des administrations et vous aurez une image de ce que certains appellent "la pieuvre" qui travaille au service des acteurs politiques PS de premier plan. En un temps record, tous ces gens fournissent des notes, des fiches, des études extrêmement fouillées sur tous les sujets qui font et refont l’actualité : les dossiers institutionnels bien sûr mais aussi les grands enjeux sociaux et économiques.

Les fiches de négociation, préparées par l’IEV en collaboration avec les cabinets, sont essentielles. Elles sont en permanence actualisées, vérifiées. Elles suivent toutes le même schéma :

-bilan et situation;

-base légale;

-positionnement du PS;

-positionnement des autres partis, dans les programmes ou les déclarations dans les médias;

-volet budgétaire;

-impacts régionaux;

-solution idéale;

-proposition de repli : il peut évidemment y en avoir plusieurs.

Il y a des fiches offensives (quand le PS est demandeur) et des fiches défensives (qui contiennent des arguments pour contrer une requête de l’adversaire). Tous les conseillers ont reçu le même mot d’ordre : il faut des chiffres. C’est l’obsession d’Elio Di Rupo. Tout doit être calculé. Les chiffres auront une importance capitale dans la négociation qui va s’ouvrir. Les francophones gardent le très mauvais souvenir de la négociation de la loi de financement. A cette époque, Jean-Luc Dehaene, armé de son Toshiba avait pris tout le monde de vitesse.

En fait, on peut résumer le fonctionnement des préparateurs de l’ombre de la manière suivante.

Il y a le premier cercle, politique. C’est une coupole qui conseille Elio Di Rupo en quasi-permanence. En font partie Laurette Onkelinx, Paul Magnette, Philippe Moureaux, Charles Picqué et Rudy Demotte. Ils se réunissent avec Anne Poutrain, directrice de l’Institut Emile Vandervelde et Hervé Parmentier, directeur de cabinet de Laurette Onkelinx. Une équipe de choc. Les grandes orientations sont prises là.

Il y a un deuxième cercle, chapitré par le tandem Anne Poutrain/Hervé Parmentier, une équipe composée des meilleurs spécialistes et techniciens de la planète PS. On y retrouve Laurence Bovy, directrice de cabinet pour les questions de Sécurité sociale, de Laurette Onkelinx, Ahmed Laaouej (conseiller gouvernement fédéral à l’IEV), Ingrid Bouilliart (conseiller emploi IEV), Vincent Magnée (spécialiste budget chez Onkelinx), Julie Ludmer (conseiller institutionnel chez Onkelinx), Laurent Levêque (chef cabinet de Paul Magnette), Jean-Marc Liétart (chef cabinet de Michel Daerden), Benjamin Cadranel (chef cabinet Picqué, spécialiste des questions institutionnelles). C’est la task force principale. D’autres vont et viennent en fonction de l’intensité des discussions sur leurs spécialités : Christophe Soil (budget sécu), Jean Moureaux (le fils de Philippe, spécialiste pensions) ou encore Olivier Vanderijst, ancien chef cabinet de Laurette Onkelinx et actuel big boss de la SRIW.

Tous ces gens s’apprêtent à vivre un été "pourri" sur le plan familial : ils devront prendre leurs vacances en fonction de l’évolution des négociations et revenir à la moindre alerte. Et tous ont été prévenus : prière de garder le BlackBerry ou l’iPhone à portée d’oreille.

Dans le troisième cercle figurent ceux qui ne sont pas dans les cabinets mais occupent des postes clés dans les grandes administrations. Guy Quaden, bien sûr, gouverneur de la Banque nationale, François Lepoivre (directrice à la BN), Luc Lallemand, directeur à la SNCB (on s’attend à une très grosse négociation sur le rail), Luc Masure (Bureau du Plan), Jean-Marc Delporte (SPF Finances), Florence Thys (Finances). Parmi les grands spécialistes mobilisables, on peut encore citer Benoît Collin et François Perl (Inami).

En matière de justice, un important réseau de magistrats est prêt à épauler les juristes de l’IEV. Et au niveau international, Di Rupo compte toujours sur des gens comme Yves Goldstein (cabinet Onkelinx toujours), Jean de Ruyt (représentation permanente Europe) et Jean-Arthur Régibeau (DG au SPF Affaires étrangères). Sans oublier son fidèle lieutenant, André Flahaut.

Waarom scoort Ecolo niet in Wallonië? Omdat het geen sociaal netwerk heeft ... de PS kan altijd iets doen voor je, Ecolo kan dat niet en ook de kiezer is kortzichtig.

Het cliëntelisme en het nepotisme is inderdaad schering en inslag in Wallonië, en teert op de armoede in vroeger rijke en geïndustrialiseerde gebieden (as Mons-Borinage-Luik). Het electoraat van de PS bestaat dan ook grotendeels uit de "petites gens" aan wie men van alles kan wijsmaken. In Waals-Brabant, Namen en Luxemburg heeft de PS niets in de pap te brokken.

Bruno wrote:

Ik stel me toch ernstige vragen bij de capaciteiten van deze Koning.

Oei oei, de BUB begint de Koning af te vallen, straks vraagt Bruno voor zijn opsluiting en wat nog meer!

Pertinente opmerking op LLB / Remarque pertinente sur LLB:

* DarWin for Life - Belgique
*
* 25.06.10 | 13h41

On pourrait aussi régionaliser la pluie et le beau temps, les températures, les moustiques et les coccinnelles.

De Wever n'est qu'un séparatiste qui mettra la pagaille une fois qu'il aura rempli électoralement sa mission...

Tja, waarom installeren we geen wereldregering, de regen valt even hard in de VSA als hier.

En laat mij duidelijk zijn, in mijn leven hoop ik nog een sterk verenigd Europa te zien voor de globale grote zaken, met sterke regionale overheden voor de zaken dicht bij de mensen. Daaruit vloeit natuurlijk in zeer, zéér verre toekomstperspectieven een wereldregering uit voort.

Ik ook en voor mij heet die regio België.

Voor mij Vlaanderen

Belgica wrote:

Pertinente opmerking op LLB / Remarque pertinente sur LLB:

* DarWin for Life - Belgique
*
* 25.06.10 | 13h41

On pourrait aussi régionaliser la pluie et le beau temps, les températures, les moustiques et les coccinnelles.

De Wever n'est qu'un séparatiste qui mettra la pagaille une fois qu'il aura rempli électoralement sa mission...

Comme le dit la chanson (https://newbub.bbactif.com/belgique-belgie-belgium-belgien-f1/manhattan-kaboul-version-belge-t1753.htm): "Pensez-vous que le temps serait plus beau si on régionalisait la météo ?