DE SLOOP VAN BELGIË - LA DEMOLITION DE LA BELGIQUE

Bonjour à tous,

si, à l'instar de nombreux électeurs, vous êtez vous aussi lassé de l'enlisement de notre gouvernement, venez-vous défouler un instant sur nos ministres, grâce à un jeux amusant... wataro.com

Voici un extrait sur youtube : Belgian crisis

DH.net

Donc, si la N-VA veut la scission de la sécurité sociale, elle va dire non aussi? Ah, non, parce que cette dame a déjà approuvé la note De Wever !

LE SOIR

« Si le MR vient avec l'élargissement, Reynders peut faire ses valises »

Dans une interview accordée au « Soir », Caroline Gennez, présidente du SP.A, le parti de Johan Vande Lanotte (qui fut conciliateur royal), est très claire sur la possibilité de négocier l'élargissement territorial de Bruxelles : c'est non.

Réponse de Maingain:

LLB

Maingain aux Flamands : "vous n’aurez pas Bruxelles"

Francis Van de Woestyne

Mis en ligne le 07/02/2011

Une plus grande autonomie de la Flandre ira de pair avec une perte d’influence de la Flandre à Bruxelles. Les francophones doivent préparer leurs ripostes.
Entretien

Olivier Maingain, le président du FDF, n’a nullement l’intention de mettre ses convictions au placard, même après la désignation de Didier Reynders en tant qu’informateur. Démonstration.

La présidente du SP.A, Caroline Gennez affirme que “si le MR vient avec l’élargissement de Bruxelles, Didier Reynders pourra faire ses valises…” Serez-vous celui qui lui offrira des vacances… ?

J’ai croisé samedi soir Mme Gennez au match Anderlecht/Saint-Trond, elle me semblait plus sereine et moins vindicative Mais il faut que, du côté des partis flamands, on comprenne bien que si l’on rouvre un temps de négociation, chaque partenaire a le droit de venir avec ses priorités. De surcroît : s’ils ne veulent pas entendre parler d’élargissement, qu’ils ne parlent pas de scinder BHV. Pour répondre à l’arrêt de la Cour constitutionnelle, il y a bien d’autres solutions que la scission de BHV. Une fois pour toutes, qu’ils sachent que, pour nous, il y a scission quand des communes, a fortiori des communes où il y a une forte présence francophone, quittent l’arrondissement de BHV. C’est cela une scission pure et simple. Si tel est leur schéma, nous sommes en droit de mettre l’élargissement sur la table.

Pourquoi ?

Mais c’est un enjeu essentiel. Tout ce qui renforce la frontière linguistique comme future frontière d’Etat favorise l’évolution vers le séparatisme. L’existence de l’arrondissement BHV est le meilleur frein contre le séparatisme. J’ose croire que Mme Gennez qui n’est pas séparatiste, comprendra cette argumentation.

La note de Johan Vande Lanotte ne prévoit pas de scission pure et simple…

Mais si ! C’est une scission pure et simple, puisque des communes quittent l’arrondissement. Dans cette note, l’arrondissement de Bruxelles est ramené aux dix-neuf communes. Le droit d’inscription, ce n’est pas une compensation. J’entends d’ailleurs que les partis qui négociaient à sept depuis huit mois n’ont jamais marqué leur accord sur le volet BHV de cette note. Quand vous privez les francophones des communes sans facilités du droit de vote avec Bruxelles, vous faites bien une scission de l’arrondissement. Si les mots ont un sens, c’est bien une scission.

N’était-ce pas le cas en 2005 lors du compromis négocié par Guy Verhofstadt sur lequel vous étiez prêt à donner votre accord ?

En 2005, nous avions travaillé de manière beaucoup plus équilibrée. Ne sortaient de l’arrondissement que les communes où la présence francophone était totalement insignifiante. Toutes les autres communes restaient dans le même arrondissement de Bruxelles : non seulement les 6 communes à facilités, mais aussi 16 autres communes sans facilités. Tous les électeurs établis dans ces communes au moment de la loi, pouvaient continuer à voter pour Bruxelles. Et il y avait des compensations autrement plus significatives : la pleine compétence de la Communauté française en périphérie, ce que j’appelais l’élargissement par la Communauté française, il y avait aussi une révision des lois linguistiques à Bruxelles. Tout cela ne se retrouve pas dans la note Vande Lanotte. De plus, le contexte politique a changé. En 2005, nous négocions encore avec des partis qui n’avaient pas comme priorité le séparatisme, l’indépendance, le confédéralisme. Raison de plus aujourd’hui pour être très vigilant.

Est-ce la position de tous les francophones ?

Je vous rappelle que la position de tous les francophones est plus ferme encore. En mars 2007, nous avons signé, Joëlle Milquet, Philippe Moureaux, Jacques Simonet, Christos Doulkeridis et moi-même, une déclaration plus significative encore. Elle disait que toute modification au statut de BHV justifiait qu’on reparle des limites de la Région bruxelloise.

Votre position n’est-elle pas de nature à compliquer la mission de Didier Reynders ?

La tâche de Didier Reynders n’a pas été facilitée par les partis qui ont négocié pendant sept mois - pour autant que l’on puisse appeler cela une négocaition - sans résultat et sans volonté de donner une priorité à d’autres thèmes que l’institutionnel, les problèmes socio-économiques, notamment. La tâche de Didier Reynders sera de voir comment on peut relancer le débat institutionnel. Personne ne croit qu’en 15 jours, il va apporter une solution toute faite. Moi, je ne vais pas culpabiliser parce que certains au Nord du pays considèrent que la scission est acquise et que les compensations doivent être ridiculement insignifiantes.

Sur BHV, faut-il repartir de zéro ?

Que les partis qui ont été associés aux négociations nous disent s’ils se retrouvent dans la note de Johan Vande Lanotte. Foin d’hypocrisie ! Beaucoup me disent qu’ils ne se sentent en rien liés à cette note. Qu’ils le disent ouvertement.

Vous estimez toujours qu’il serait préférable de négocier sans la N-VA ?

Je continue à penser que trouver un accord avec la N-VA est un exercice très improbable. Voilà. Ce parti, malheureusement suivi par d’autres au Nord du pays, a une conception évolutive de la réforme de l’Etat. Pour eux, il n’y a d’accord possible que s’il prépare déjà l’étape suivante vers le séparatisme. Les nationalistes sont logiques et cohérents avec leur position. Mais l’échec de la négociation à sept résulte du fait que les conceptions de l’avenir de l’Etat belge sont à ce point opposées que du côté francophone on ne s’est pas posé la question de savoir ce que l’on opposait à la logique séparatiste ou préséparatiste. Ils sont très peu préparés à cela.

Quelle est votre réponse ? La Fédération Wallonie-Bruxelles ?

Incontestablement. Il faut avoir la volonté de dire clairement aux partis séparatistes et confédéralistes que plus ils veulent de l’autonomie pour la Flandre - mouvement que nous n’arrêterons pas sur le long terme - moins ils peuvent prétendre avoir leur mot à dire sur Bruxelles. Ça, c’est la contrepartie. On ne peut pas avoir la logique d’une Flandre qui marche vers son indépendance et qui emporte dans ses bagages Bruxelles. La distanciation que la Flandre est en train de prendre vis-à-vis de l’Etat belge, c’est aussi par rapport à Bruxelles. Or, il n’y aura pas de cogestion sur Bruxelles, pas de tutelle sur Bruxelles. Bruxelles a le droit d’affirmer sa relation privilégiée avec la Wallonie. De deux choses l’une : ou ils réfléchiront aux conséquences de leurs choix ou ils considéreront qu’une plus grande autonomie pour la Flandre vaut bien une perte d’influence à Bruxelles. C’est un débat qu’ils ont chez eux. Il faut mettre fin à l’hypocrisie des nationalistes flamands qui veulent gagner sur tous les tableaux. Ce n’est pas possible.

Le CD&V estime que s’il y a transfert de matières personnalisables aux Régions, à Bruxelles, elles doivent rester fédérales…

C’est insupportable. C’est une manière de venir faire de la concurrence sociale entre Communautés à Bruxelles. Les Flamands se disent qu’ils auront les moyens d’acheter - je suis un peu cru, mais c’est bien de cela dont il s’agit - une population à revenus plus faibles à qui ils offriront plus d’avantages sociaux, des allocations familiales majorées, par exemple Ainsi, ils pourront faire basculer une population vers une appartenance linguistique qui n’est peut-être pas celle de leur choix. Ce serait le début d’une concurrence sociale intenable. Ce sera le début de la perte de Bruxelles en tant que troisième Région.

Comment éviter cela ?

Je dis aux Flamands : vous n’aurez pas Bruxelles, vous n’aurez pas la périphérie. Moi, je suis très respectueux des droits de la minorité de la population flamande à Bruxelles. Et nous le serons toujours. Je suis partisan de l’application de la Convention cadre sur la protection des minorités nationales au bénéfice des Flamands de Bruxelles. Mais les Flamands doivent savoir qu’ils risquent de perdre l’influence extérieure que la Communauté flamande veut jouer à Bruxelles. Il n’y a plus aucune raison qu’elle vienne encore assumer des compétences sur le territoire de Bruxelles dès lors que la Communauté flamande choisit d’aller vers son autonomie. Les Flamands ne peuvent pas revendiquer une autonomie pour la Flandre et la nier pour Bruxelles.

Si Didier Reynders estime qu’il n’est pas possible de relancer la négociation, pourra-t-on encore éviter des élections ?

Je ne suis pas aussi pessimiste, je pense qu’il est possible de relancer le dialogue. Mais cela prendra du temps. Il faudra se poser les questions les plus franches. Les francophones doivent formuler des réponses claires aux différentes hypothèses qui peuvent se présenter. C’est un travail que l’on doit faire, vite et en toute transparence.

Cette mission confiée à Didier Reynders n’est-elle pas un piège pour le MR ? Désormais, tous les partis auront été “mouillés” dans la négociation…

Aussi longtemps que Didier Reynders pourra faire en sorte que chacun clarifie les objectifs qu’il poursuit, il aura rendu un service au pays.

gevaarlijk man

http://www.hln.be/hln/nl/1274/De-formatie/article/detail/1219691/2011/02/08/Leterme-Nota-Vande-Lanotte-was-aanvaardbare-tekst.dhtml

Quote :

Leterme: "Nota Vande Lanotte was aanvaardbare tekst"
© belga

"De nota van Johan Vande Lanotte was een verdienstelijke poging om een nieuwe financieringswet uit te werken, en voor mij zeker een aanvaardbare tekst." Dat zegt premier Yves Leterme (CD&V) in een interview met het weekblad Knack dat morgen verschijnt. Al was het hoofdstuk over de financieringswet maar één onderdeel van die nota, voegt hij er meteen aan toe.
CD&V was begin januari de eerste partij die bijkomende aanpassingen vroeg aan de bemiddelaarsnota van Vande Lanotte, opdat die als onderhandelingsbasis kon dienen. Als reactie op de afwijzing van zijn tekst trok de bemiddelaar een eerste keer met zijn ontslagbrief naar de koning.

Intussen is MR-voorzitter Didier Reynders aan een informatieronde bezig, maar de slaagkansen daarvan lijken klein. Het alternatief van nieuwe verkiezingen vindt Leterme echter "bijzonder lastig". "Politici zijn het volgens mij aan zichzelf verplicht een andere uitweg uit de impasse te zoeken."

Ongelooflijk maar waar - incroyable mais vrai:

Een Belgische Unie is een stabiel eindpunt

donderdag 17 februari 2011

“De voorbije maanden zijn er enorme stappen gezet, maar we krijgen de onderhandelingen over de staatshervorming voorlopig niet afgerond tot een geheel”, zegt Johan Vande Lanotte. “Dat komt omdat we geen stabiel eindpunt hebben. Een Belgische Unie met vier deelstaten kan zo’n eindpunt zijn.”

Tijdens een gastcollege aan de Universiteit Gent komt Johan Vande Lanotte nog even terug op zijn voorbije periode als Koninklijk Bemiddelaar. “Alle zeven partijen hebben serieus geïnvesteerd en hun best gedaan om een akkoord te bereiken", zegt Vande Lanotte. “Inhoudelijk is er een immense vooruitgang geboekt als we vergelijken met 2007, maar men krijgt het nu niet tot een geheel afgerond."

Vande Lanotte maakt van het gastcollege vooral gebruik om een blik op de toekomst te werpen. Zo is het voor hem duidelijk dat de partijen rond de tafel moeten opletten voor een te defensieve houding. “Dat leidt misschien wel tot beperkte nederlagen, maar zelden tot grootse overwinningen.” Volgens Vande Lanotte kunnen de onderhandelingen vooruit geraken als er een stabiel eindpunt in zicht komt. Een Belgische Unie kan zo’n eindpunt worden.

“De Belgische Unie bestaat uit vier deelstaten. Ze respecteert zowel de territorialiteit op niveau van de deelstaten als de solidariteit op niveau van de Unie. In zo’n Unie zijn er duidelijke taakstellingen op de verschillende niveaus, is er een afzonderlijke financiële verantwoordelijkheid en zijn er duidelijke regels over hoe de Unie en de deelstaten zich tot elkaar verhouden.”

Volgens Vande Lanotte zijn de kerntaken van de Belgische Unie onder andere defensie, buitenlands beleid en ontwikkelingssamenwerking, migratie en asiel, en de financiering van de sociale zekerheid.

Bij de deelstaten komt het er eerst en vooral op aan de bestaande bevoegdheden zoals onderwijs, welzijn, milieu en cultuur te homogeniseren. Daarnaast komen er nieuwe bevoegdheden bij, zoals het volledige economische en werkgelegenheidsbeleid, justitie en het beheer van uitgaven in de sociale zekerheid, waarvoor de middelen objectief toewijsbaar.

Eerder vandaag riep Vande Lanotte alle partijen op om de kiezer niet voor schut te zetten en tot een goed akkoord te komen. “Het is onze plicht als politici om de mensen in dit land mee te nemen naar een zekere toekomst met meer welvaart en geluk.”


Misschien nog niet zo een slechte, die Johan. Hij moet gewoon een lidkaart van de B.U.B. kopen en gaan voor de Belgische Unie. De B.U.B. vult die wel zelf in.

Wat Vande Lanotte voorstelt gaat véél verder dan de nota-De Wever. In zijn schema zouden de splitsingen nauwelijks nog te tellen zijn: alles van de nota-BDW, het hele burgerlijk en strafwetboek, telecommunicatie, macro-economie, de biculturele instellingen, de post, de NMBS, de nummerplaten enz. enz.

België zou enkel nog bevoegd zijn voor een deel van het buitenlands beleid, pensioenen, de financiering van de SZ, migratie en defensie. Voor 90% het programma van het VB dus.

Les conditions du CD&V: nous devons nous battre de toutes nos forces contre ce genre de "compromis" anti-démocratiques, inefficaces, coûteux, compliqués, nationalistes et absurdes !

LE VIF

jeudi 24 février 2011 à 15h51

Crise : les six conditions du CD&V Hendrik Bogaert pour réussir un compromis

Pour le CD&V Hendrik Bogaert, aucun compromis ne sera possible tant que les partis ne se seront pas accordés sur une poignée de principes fondamentaux. Histoire d’indiquer la voie, le député CD&V a présenté au Vif/L’Express un mémorandum qui pourrait, selon lui, constituer le socle de la prochaine réforme de l’Etat.

Le député CD&V, Hendrik Bogaert. © Belga

1. Transférer de nouvelles compétences vers les Régions et les Communautés, pour un montant de 15 milliards d’euros, sans plus aucune immixtion du pouvoir fédéral dans ces matières-là.
2. Une nouvelle loi de financement, qui consacre la notion d’autonomie fiscale et qui octroie des bonus aux entités fédérées qui font mieux que les prévisions du Bureau du Plan.
3. Scinder l’arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde pour les élections fédérales (Chambre et Sénat) et européennes, ainsi que l’arrondissement judiciaire. Trois petites concessions tempèrent la scission : « droit d’inscription » laissé aux habitants des six communes à facilités, leur permettant de voter pour des listes francophones à Bruxelles ; assouplissement des circulaires Peeters ; nouvelle procédure pour la nomination des bourgmestres de la périphérie.
4. Refinancement de Bruxelles pour maximum 350 millions d’euros. Maintien de tous les droits des Flamands de Bruxelles. Pas de listes bilingues aux élections régionales.
5. A Bruxelles, cogestion des matières de la Commission communautaire commune (Cocom) par des ministres du gouvernement flamand et du gouvernement francophone. « Certains pensent que c’est très grave si deux enfants bruxellois reçoivent des allocations familiales différentes, selon qu’ils soient francophones ou néerlandophones. Donner la compétence à la Cocom permettra d’éviter ça, ou du moins d’assurer une concertation entre la Communauté flamande et la Communauté française. On pourra avoir des montants un peu différents d’une Communauté à l’autre, mais dans une certaine marge. Il faudra alors un mini-gouvernement pour cogérer les allocations familiales et les soins de santé à Bruxelles. »
6. Les Régions et les Communautés reçoivent 100 % des budgets correspondant à leurs nouvelles compétences. La note Vande Lanotte entendait transférer une flopée de compétences aux entités fédérées, tout en ne leur accordant que 90 % du budget correspondant. Les 10 % prélevés devaient servir à refinancer l’échelon fédéral. Inadmissible, selon Hendrik Bogaert. « S’il reçoit de nouvelles compétences avec un budget raboté, le gouvernement flamand de Kris Peeters aura moins d’argent pour les routes et pour les handicapés… J’imagine aussi que cela entraînera des soucis pour le gouvernement wallon. »

François Brabant

Il a oublié l'élargissement de Bruxelles. Tête de linotte quand même.

Goed van FDF, maar ze vergeten wel te vermelden dat het herstel van de provincie Brabant los van het Vlaams of Waals gewest een alternatieve oplossing is.

DE STANDAARD

FDF houdt vast aan uitbreiding Brussel

* maandag 28 februari 2011, 16u28
* Bron: belga
* Auteur: kld

Het enige mogelijke antwoord op een zuivere splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde is de uitbreiding van het Brussels gewest. Dat herhaalt FDF-voorzitter Olivier Maingain maandag. De creatie van een internationale stadsgemeenschap 'is geen afdoende antwoord op de isolering van het Brussels gewest in Vlaanderen', preciseert hij.

Maingain reageert daarmee op een aantal scenario's over BHV waarover Le Soir maandag schrijft dat ze zijn afgetoetst door informateur Didier Reynders. Volgens het FDF hebben die scenario's, waarin de splitsing van het arrondissement en de oprichting van zo'n stadsgemeenschap worden voorgesteld, geen 'echt fundament'.

De Franstaligen uit de rand vinden volgens Maingain niet dat ze deel uitmaken van het Vlaamse volk. 'Hun lot kan dus niet met Vlaanderen worden verbonden', luidt het. De enige oplossing bestaat er volgens de FDF-voorman uit een volksraadpleging te organiseren om te weten langs welke kant van de taalgrens ze willen wonen.

In zijn communiqué haalt de FDF-voorzitter ook de aanwezigheid aan van enkele N-VA'ers in San Sebastian als steun voor de Baskische autonomisten. 'Het lijkt erop dat de N-VA het democratisch principe van het zelfbeschikkingsrecht ontdekt', aldus Maingain. Hij vindt dat die 'ontdekking' een verlengstuk zou moeten krijgen in de Vlaamse rand, omdat geen enkele overheid over het lot van een bevolking kan beschikken tegen haar zin.

Maingain et BDW = chou vert et vert chou

Waarom een speciale meerderheid? Een gewone meerderheid is toch voldoende?

10% volstaat m.i. bovendien om een nationale taalminderheid te moeten beschermen. In Finland is het zelfs 8%.

Pourquoi une majorité spéciale? Une majorité simple est quand-même assez?

Par ailleurs, 10% de la population suffit à mon avis pour devoir protéger une minorité linguistique nationale. En Finlande, c'est même 8%.

DE STANDAARD

De Donnea wil referendum in zes randgemeenten

* woensdag 09 maart 2011, 19u55
* Bron: belga
* Auteur: kld

Kamerlid François-Xavier de Donnea (MR) pleit voor een referendum in de zes faciliteitengemeenten over hun aansluiting bij Brussel. De Donnea schat dat maar één of twee gemeenten voor Brussel zouden kiezen. In ruil zouden meteen ook de faciliteiten afgeschaft kunnen worden, zegt hij woensdag op Actua-TV.

De MR van de Donnea, waar ook het FDF van Olivier Maingain deel van uitmaakt, pleit al jaren voor de uitbreiding van Brussel als compensatie voor de door Vlaanderen geëiste splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde (BHV). Ook de Donnea is voorstander van die uitbreiding, maar hij beseft naar eigen zeggen dat 'de geesten in Vlaanderen daar niet rijp voor zijn'.

Hij stelt daarom een referendum 'met gekwalificeerde meerderheden' voor in de zes faciliteitengemeenten. Om bij Brussel aan te sluiten, zou twee derde van de stemgerechtigden moeten gaan stemmen en zou twee derde van de kiezers voor de aansluiting bij Brussel moeten stemmen.

'Ik geloof dat maximaal 1 of 2 van die gemeenten zou kiezen voor Brussel. Daarmee kunnen we dan een streep trekken onder dat verhaal. De rest van de faciliteiten schaffen we dan ook af.' Voor de Donnea moet dergelijke aanpak een onderdeel zijn van een breder akkoord. 'En ik denk dat ook Olivier Maingain daarmee akkoord zou gaan', zegt hij.


Communes à facilités: un référendum à majorité simple suffirait selon Maingain

BELGA

Mis en ligne le 10/03/2011

Il réagit ainsi à la proposition de François-Xavier de Donnéa (MR) d'organiser un référendum avec des majorités spéciales pour consulter les populations des communes à facilités sur le rattachement à la Région bruxelloise.

Le président du FDF Olivier Maingain est d'avis qu'une majorité simple devrait être suffisante pour décider ou non du rattachement à la Région bruxelloise, précise-t-il dans Le Soir.

Il réagit ainsi à la proposition de François-Xavier de Donnéa (MR) d'organiser un référendum avec des majorités spéciales pour consulter les populations des communes à facilités sur le rattachement à la Région bruxelloise. "Je serais moins strict que M. de Donnea sur les majorités qualifiées qu'il suggère. Je pense qu'une majorité simple de participants au scrutin et de votants devrait être suffisante pour décider ou non du rattachement à la Région bruxelloise. Je vise certaines communes comme Wemmel ou Rhode-Saint-Genèse où il serait très difficile d'arriver aux deux-tiers d'électeurs favorables à cette proposition", déclare M. Maingain au quotidien.

Il ajoute qu'en cas de suffrages insuffisants, les populations concernées devraient renoncer aux facilités. "A condition de prévoir une majorité simple, cela me paraîtrait assez logique. Il faut qu'on dise aux populations concernées que si elles ont la chance d'avoir un régime protecteur en Région bruxelloise, et qu'elles le refusent, elles risquent de perdre leur régime des facilités", dit-il.

Belgica wrote:

Waarom een speciale meerderheid? Een gewone meerderheid is toch voldoende?

10% volstaat m.i. bovendien om een nationale taalminderheid te moeten beschermen. In Finland is het zelfs 8%.

Pourquoi une majorité spéciale? Une majorité simple est quand-même assez?

Par ailleurs, 10% de la population suffit à mon avis pour devoir protéger une minorité linguistique nationale. En Finlande, c'est même 8%.

DE STANDAARD

De Donnea wil referendum in zes randgemeenten

* woensdag 09 maart 2011, 19u55
* Bron: belga
* Auteur: kld

Kamerlid François-Xavier de Donnea (MR) pleit voor een referendum in de zes faciliteitengemeenten over hun aansluiting bij Brussel. De Donnea schat dat maar één of twee gemeenten voor Brussel zouden kiezen. In ruil zouden meteen ook de faciliteiten afgeschaft kunnen worden, zegt hij woensdag op Actua-TV.

De MR van de Donnea, waar ook het FDF van Olivier Maingain deel van uitmaakt, pleit al jaren voor de uitbreiding van Brussel als compensatie voor de door Vlaanderen geëiste splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde (BHV). Ook de Donnea is voorstander van die uitbreiding, maar hij beseft naar eigen zeggen dat 'de geesten in Vlaanderen daar niet rijp voor zijn'.

Hij stelt daarom een referendum 'met gekwalificeerde meerderheden' voor in de zes faciliteitengemeenten. Om bij Brussel aan te sluiten, zou twee derde van de stemgerechtigden moeten gaan stemmen en zou twee derde van de kiezers voor de aansluiting bij Brussel moeten stemmen.

'Ik geloof dat maximaal 1 of 2 van die gemeenten zou kiezen voor Brussel. Daarmee kunnen we dan een streep trekken onder dat verhaal. De rest van de faciliteiten schaffen we dan ook af.' Voor de Donnea moet dergelijke aanpak een onderdeel zijn van een breder akkoord. 'En ik denk dat ook Olivier Maingain daarmee akkoord zou gaan', zegt hij.


Communes à facilités: un référendum à majorité simple suffirait selon Maingain

BELGA

Mis en ligne le 10/03/2011

Il réagit ainsi à la proposition de François-Xavier de Donnéa (MR) d'organiser un référendum avec des majorités spéciales pour consulter les populations des communes à facilités sur le rattachement à la Région bruxelloise.

Le président du FDF Olivier Maingain est d'avis qu'une majorité simple devrait être suffisante pour décider ou non du rattachement à la Région bruxelloise, précise-t-il dans Le Soir.

Il réagit ainsi à la proposition de François-Xavier de Donnéa (MR) d'organiser un référendum avec des majorités spéciales pour consulter les populations des communes à facilités sur le rattachement à la Région bruxelloise. "Je serais moins strict que M. de Donnea sur les majorités qualifiées qu'il suggère. Je pense qu'une majorité simple de participants au scrutin et de votants devrait être suffisante pour décider ou non du rattachement à la Région bruxelloise. Je vise certaines communes comme Wemmel ou Rhode-Saint-Genèse où il serait très difficile d'arriver aux deux-tiers d'électeurs favorables à cette proposition", déclare M. Maingain au quotidien.

Il ajoute qu'en cas de suffrages insuffisants, les populations concernées devraient renoncer aux facilités. "A condition de prévoir une majorité simple, cela me paraîtrait assez logique. Il faut qu'on dise aux populations concernées que si elles ont la chance d'avoir un régime protecteur en Région bruxelloise, et qu'elles le refusent, elles risquent de perdre leur régime des facilités", dit-il.

Wat de Donnea voorstelt kan vandaag niet ... hij giet alleen olie op het vuur?

Belgica wrote:

Geen splitsing, maar wel veel geldverlies. Dank u, politiekers !

'Dr. Doom' ongerust over België

• donderdag 10 maart 2011, 17u45
• Bron: BELGA
• Auteur: wle


belga

Het Belgische financiële systeem is kwetsbaarder dan de markten denken. Die financiële markten en de investeerders onderschatten de Belgische problemen zoals de hoge staatsschuld en de politieke crisis. Dat heeft topeconoom Nouriel Roubini donderdag gezegd op de vastgoedbeurs MIPIM in Cannes.

Dat melden de websites van Trends en De Tijd donderdag. Roubini, bijgenaamd "Dr Doom", haalde België aan als een van de landen die na Spanje, Griekenland, Ierland en Portugal aangevallen kunnen worden door de financiële markten en ratingbureau's.
"België heeft sterke en zwakke punten. Het overheidstekort is er kleiner dan in de meeste andere landen en de spaarquote is er relatief hoog. Toch is België een van de landen die geviseerd kunnen worden door de markten', merkt hij.

Daarvoor ziet hij ook een aantal redenen. 'Er is het aanslepend politiek probleem. De dreiging van een splitsing van het land is geen goede zaak, maar ik denk dat zo'n scheidingsscenario weinig waarschijnlijk is. De schuldenlast blijft in verhouding tot het bruto binnenlands product wel zeer hoog", dixit Roubini.

Er zijn twee redenen waarom hij die waarschuwing geeft:

- onze banksector is in verhouding tot ons BNP relatief groot, als de federale overheid al haar verplichtingen moet nakomen als Dexia ondergaat is ze failliet.
- wij hebben nu eenmaal een torenhoge staatsschuld en ik heb nog geen enkel constructief voorstel gezien om die af te bouwen.

Federalisme afschaffen misschien?? http://www.unionbelge.be/?p=548

Et encore de la politique-fiction sur des entités purement politique qui n'existent même pas en réalité (Flandre et Wallonie):

LE SOIR

La Wallonie ne veut rien céder à Bruxelles

MICHELLE LAMENSCH

vendredi 11 mars 2011, 12:14

La Wallonie est-elle prête à céder de (beaux) morceaux de son territoire pour renforcer Bruxelles ? Seul le MR est prêt à ouvrir le débat. Par Michelle Lamensch
La Wallonie ne veut rien céder à Bruxelles


© T Du Bois - Le Soir

En 2007, tous les partis francophones s’étaient engagés à revendiquer l’élargissement de la Région bruxelloise en cas de « remise en cause » de l’arrondissement électoral et judiciaire de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Elargir Bruxelles en mordant sur la Flandre qui l’enserre ? Le Nord s’y refuse, au nom de l’« intangibilité » de la frontière linguistique.

Et si nous posions la même question au Sud ? La Wallonie accepterait-elle de se défaire de quelques communes au bénéfice de la Région bruxelloise ? Comme un geste politique qui viendrait compenser, dans l’imbroglio actuel, un éventuel (improbable ?) renoncement flamand… Ou pour ajouter une dimension politique aux différentes études socio-économiques qui repoussent les frontières de la capitale jusque dans le Brabant wallon.

L’exception MR

Excepté le MR, aucun parti francophone ne se dit intéressé par l’élargissement de Bruxelles, si ce n’est en compensation de la scission de BHV et pour assurer, dans ce cas, une continuité territoriale avec la Wallonie. Ces partis rappellent également qu’ils ne sont « demandeurs de rien ».

Osons néanmoins poser la question de l’élargissement de Bruxelles à certaines communes wallonnes, d’autant que plusieurs études universitaires et toutes les organisations patronales du pays estiment que le bassin socio-économique de Bruxelles dépasse largement ses dix-neuf communes.

Une étude de l’UCL basée sur les réseaux de téléphonie mobile indique que le bassin bruxellois, « de 66 communes englobe totalement le Brabant wallon, à l’exception de Nivelles et, à l’extrême est, de Hélécine et Op-Jauche ».

Trois députés MR (Olivier Maingain, François-Xavier de Donnea et Damien Thiéry) ont déposé une proposition de loi au parlement. Elle vise l’organisation d’une consultation populaire dans les six communes à facilités, dans les entités qui les bordent (en Wallonie également, donc) ainsi que dans les autres communes jouxtant Bruxelles. Dans toutes ces entités, la question du changement éventuel de statut régional serait posée dès que 15 % des électeurs de cette commune (ou 30 % des électeurs d’un quartier de cette commune) en auraient exprimé le souhait.

Ces députés MR y verraient la correction du « déficit démocratique » perdurant depuis 1962, année où les limites administratives intrabelges se sont muées en frontière linguistique, à l’initiative du politique, sans consultation des populations concernées.

Le président du MR, Charles Michel, s’aligne sur cette proposition de loi. « Dès l’instant où l’on poserait la question du statut régional dans des communes flamandes autour de Bruxelles, il serait logique que la même question soit posée dans les communes wallonnes qui le souhaitent. »

Comment réagit-on dans les autres partis francophones ? C’est le silence, d’abord, l’embarras, ensuite, voire l’irritation… « Je ne souhaite pas me livrer à de la politique-fiction », nous fait savoir la présidente du parlement wallon, Emily Hoyos (Ecolo). « Ce sujet est particulièrement sensible, enchaîne, son président de parti, Jean-Michel Javaux, Ecolo réserve sa réponse aux discussions avec le négociateur désigné par le chef de l’Etat. »

Au CDH, la porte-parole de la présidente Joëlle Milquet nous répond : « La question de la cession de territoire wallon à la Région bruxelloise est trop délicate, trop sensible pour le moment. Le lien territorial entre Bruxelles et la Wallonie, voilà ce qui est important pour nous. »

La porte-parole du président du PS Elio Di Rupo, nous répond, pour sa part : « Cette question n’a pas lieu d’être. L’élargissement de Bruxelles n’est envisagé qu’en contrepartie de la scission pure et simple de BHV. Ne nous mettons pas en position de demandeur. » Pour le PS toujours, et en tant que président du Groupe Wallonie-Bruxelles, le ministre-président wallon Rudy Demotte « ne désire pas s’exprimer sur le sujet dans la mesure où ce point n’a pas fait l’objet d’une concertation entre les membres du groupe » qui réunit des mandataires de tous les partis francophones.

Et le Brabant, ils connaissent, ces clowns politiques?

Quote :

Le lien territorial entre Bruxelles et la Wallonie, voilà ce qui est important pour nous.

La démagogie du CDH. L'un d'entre-eux disait "L'union fait la force n'est pas un vain mot au CDH". Ce n'est pas l'avis de Jean-Jacques Viseur.

Belgica wrote:

Federalisme afschaffen misschien?? http://www.unionbelge.be/?p=548

Door de gewesten en gemeenschappen af te schaffen kan men het aantal ambtenaren verminderen met 80.000 door overlappingen? Waar? De grootste slokop is onderwijs, meer dan de helft van de Vlaamse administratie zijn onderwijzers? Afschaffen? Heeft er ooit iemand uw studie opgemerkt? Heeft er ooit iemand dit gedrocht serieus gelezen? En met die iemand bedoel ik journalisten, opiniemakers enz. ... of zijn dat allemaal Vlaams nationalisten

Ik ga hier geen commentaar op geven tenzij dat ik als unitarist Vandelanotte voor geen haar vertrouw.

DE STANDAARD

'Nooit. Nooit. Nooit.'

N-VA en lopende zaken clashen over meerjarenbegroting

Lees ook

* Vanhengel: 'Ik stel me vragen bij forse taal N-VA'

BRUSSEL - N-VA-fractieleider Jan Jambon spreekt gespierde taal: 'N-VA zal nooit in een regering treden met wat nu op tafel ligt. Nooit.' Oud-bemiddelaar Johan Vande Lanotte (SP.A) is niet onder de indruk: 'N-VA wordt wat overmoedig.'

Van onze redacteur

'Wij helpen geen regering maken die geen structurele hervormingen kan doorvoeren. Wij gaan niet iets steunen wat niets verandert. Wij zullen nooit in een regering stappen met wat nu op tafel ligt. Nooit.' Eén keer 'nooit' was niet genoeg voor N-VA-Kamerfractieleider Jan Jambon in De Zevende Dag gisteren. Dus zei hij het vier keer, op drie verschillende manieren. En dat was meer dan zomaar een stijlfiguur.

Uit de 'nooits' van Jambon sprak niet alleen strijdvaardigheid, maar ook - en misschien wel vooral - nervositeit. Een zekere frustratie, zelfs. De regering van lopende zaken buigt zich deze week over een meerjarenbegroting, op vraag van Europa. Dat zorgt voor extra druk op de regeringsonderhandelingen - véél extra druk. Want N-VA wil als verkiezingsoverwinnaar en als grootste Vlaamse partij zijn stem.

'Jammer maar helaas', reageerden de ontslagnemende meerderheidspartijen - CD&V, PS, MR, CDH en Open VLD - unisono, en niet zonder enige Schadenfreude. 'N-VA wil pas een regering vormen als er een akkoord is over een staatshervorming. Dan moet ze maar consequent zijn, en ons laten doen tot ze instemt met een akkoord.'

Politieke analisten hebben er een vette kluif aan. De meest uiteenlopende interpretaties passeren de revue. De meerjarenbegroting is een eerste stap naar een nieuwe regering zonder N-VA, wordt er vaak gezegd en geschreven. Een klassieke tripartite van christendemocraten, liberalen en socialisten, eventueel aangevuld met de groenen. Bye bye Bart De Wever.

Andere interpretatie: N-VA voert gewoon een stukje theater op. De partij schuifelt gespeeld verontwaardigd richting exit om de andere partijen van op de oppositiebanken in de pan te hakken. Om dan in 2012 een verkiezingsuitslag te kunnen neerzetten waarnaast de 27 procent van 2010 peanuts lijkt.

Over één zaak zijn alle analisten het eens: de grande finale van de regeringsonderhandelingen is na negen maanden - eindelijk - ingezet. Die indruk werd gisteren nog versterkt. Eerst door de vier 'nooits' van Jan Jambon. Dan door de reactie van Elio Di Rupo (PS): 'N-VA moet nu zijn verantwoordelijkheid nemen.' Lees: Bart De Wever moet kiezen: meeregeren of niet.

Overmoed

Johan Vande Lanotte (SP.A) noemt de nieuwe ontwikkelingen 'interessant'. Als oud-bemiddelaar, maar ook als grondwetspecialist. 'Grondwettelijk gezien heeft N-VA weinig verhaal. Een regering in lopende zaken mag een dringend dossier als dat van de begroting behandelen. Daar is geen enkele discussie over. Het is dringend, dus behoort het tot haar taken. Ook als er voor Europa een plan moet uitgestippeld worden voor de komende jaren.' N-VA maakt geen deel uit van die regering en kan dus ook niet eisen dat ze kan meeonderhandelen.

'De discussie is wel wat onzuiver, vind ik. Er heerst een zekere begripsverwarring. Bij een Vlaamse meerjarenbegroting worden vrij concrete engagementen aangegaan voor meerdere jaren. Bij een federale meerjarenbegroting ligt dat anders. Daar worden vooral intenties uitgesproken: aan welk tempo wil men saneren? Veel meer is dat niet. Hoe of waar er wordt gesaneerd in 2012, 2013 en 2014, daar wordt niets over beslist. In die zin hoeft N-VA zich niet buitenspel gezet te voelen. Als ze ooit in een regering stapt, kan ze daarover nog mee onderhandelen.'

Is alle heisa dan een storm in een glas water? Vande Lanotte: 'In zekere zin wel, maar dan wel een interessante storm. Het stelt een aantal zaken scherp. N-VA wordt nu met haar eigen onverzettelijkheid geconfronteerd: “Geen regering zonder staatshervorming,. Dat is een legitieme houding, maar ze heeft wel consequenties. N-VA toont zich toch ook wat overmoedig, vind ik. Als je de helft van de stemmen hebt, ben je incontournable. Als je 27 procent van de stemmen hebt in een landsdeel, ben je dat niét. Je mag dan wel denken dat je 80 procent van de Vlamingen vertegenwoordigt, uiteindelijk telt toch het aantal reële kiezers.'

Belangrijk om weten: CD&V-OPEN VLD-GROEN!-SP.A hebben samen 45/88 zetels in de Nederlandse taalgroep (Kamer). Voor een staatshervorming zonder N-VA zijn er 50% plus één van de zetels nodig in beide taalgroepen ergo ... 45 zetels in de Nederlandse taalgroep.

Wijzigingen aan de BWHI kunnen immers enkel via art. 4 Belg. GW (laatste lid):

Quote :

een wet, aangenomen met de meerderheid van de stemmen in elke taalgroep van elke Kamer, op voorwaarde dat de meerderheid van de leden van elke taalgroep aanwezig is en voor zover het totaal van de ja-stemmen in beide taalgroepen twee derden van de uitgebrachte stemmen bereikt.

Dat betekent dat in onderhavig geval elk Nederlandstalig Kamerlid, voor zover die tot de genoemde meerderheid behoort, over een eenzijdig vetorecht beschikt. Eén tegenstem - bijv. omdat iemand de staatshervorming niet voldoende (of net teveel) vindt of omat de persoon in kwestie zich wil profileren - en de meerderheid houdt op te bestaan (44/88 zetels is geen meerderheid).

Met twee onthoudingen wordt hetzelfde effect bereikt (43 ja, 2 onthoudingen, 43 nee = 43/86 = geen meerderheid).

Spijtig dat "straffe Vlaming" Michel Doomst (CD&V) niet verkozen is

Maar dan nog blijven er toffe jongens en meisjes over zoals Hendrik Bogaert (CD&V), Maggie De Block (VLD), Sonja Becq (CD&V-BHV), Hans Bonte (sp.a-BHV).

Langs "Belgischgezinde" kant vallen er namen op als Gwendolyn Rutten, Herman De Croo, Matthias Declerq en Maya Detiège... maar daar verwacht ik niet veel van.



Een andere piste is dat er geen 2/3de meerderheid gevonden wordt (101 stemmen).

Bovenstaande meerderheid heeft er 109. Maar daarbij zitten er wel 18 van de MR, met daarbij de Franstalige nationalisten (Maingain, Thiéry, Clerfayt, alle drie FDF) en nog een paar van de harde lijn (Bacquelaine, Ducarme jr.) Myriam Delacroix-Rolin (CDH, burgemeester St-Genesius Rhode) ... (in totaal zijn er in de Kamer 22 verkozenen uit BHV, waarvan er maar 4 van VB/N-VA-signatuur zijn).

Ik zat er alleszins niet ver naast met mijn beperkte marge bijna 1 jaar terug
https://newbub.bbactif.com/t1707-fantastische-peiling-n-va-aan-26-samen-met-vb-en-ldd-41

Bruno wrote:

Belangrijk om weten: CD&V-OPEN VLD-GROEN!-SP.A hebben samen 45/88 zetels in de Nederlandse taalgroep (Kamer). Voor een staatshervorming zonder N-VA zijn er 50% plus één van de zetels nodig in beide taalgroepen ergo ... 45 zetels in de Nederlandse taalgroep.

Wijzigingen aan de BWHI kunnen immers enkel via art. 4 Belg. GW (laatste lid):

Quote :

een wet, aangenomen met de meerderheid van de stemmen in elke taalgroep van elke Kamer, op voorwaarde dat de meerderheid van de leden van elke taalgroep aanwezig is en voor zover het totaal van de ja-stemmen in beide taalgroepen twee derden van de uitgebrachte stemmen bereikt.

Dat betekent dat in onderhavig geval elk Nederlandstalig Kamerlid, voor zover die tot de genoemde meerderheid behoort, over een eenzijdig vetorecht beschikt. Eén tegenstem - bijv. omdat iemand de staatshervorming niet voldoende (of net teveel) vindt of omat de persoon in kwestie zich wil profileren - en de meerderheid houdt op te bestaan (44/88 zetels is geen meerderheid).

Met twee onthoudingen wordt hetzelfde effect bereikt (43 ja, 2 onthoudingen, 43 nee = 43/86 = geen meerderheid).

Spijtig dat "straffe Vlaming" Michel Doomst (CD&V) niet verkozen is

Maar dan nog blijven er toffe jongens en meisjes over zoals Hendrik Bogaert (CD&V), Maggie De Block (VLD), Sonja Becq (CD&V-BHV), Hans Bonte (sp.a-BHV).

Langs "Belgischgezinde" kant vallen er namen op als Gwendolyn Rutten, Herman De Croo, Matthias Declerq en Maya Detiège... maar daar verwacht ik niet veel van.



Een andere piste is dat er geen 2/3de meerderheid gevonden wordt (101 stemmen).

Bovenstaande meerderheid heeft er 109. Maar daarbij zitten er wel 18 van de MR, met daarbij de Franstalige nationalisten (Maingain, Thiéry, Clerfayt, alle drie FDF) en nog een paar van de harde lijn (Bacquelaine, Ducarme jr.) Myriam Delacroix-Rolin (CDH, burgemeester St-Genesius Rhode) ... (in totaal zijn er in de Kamer 22 verkozenen uit BHV, waarvan er maar 4 van VB/N-VA-signatuur zijn).

Denkt u werkelijk dat dat een plausibel scenario is? Aan Franstalige kant is er geen oppositie. Aan Vlaamse kant de N-VA, LDD en VB. Een regering die 22 miljard zal moeten saneren. Door belastingverhogingen? Wat is de prijs die Groen/Ecolo vraagt om mee te doen (de sluiting van de kerncentrales)? Of toch geen regering met 2/3 meerderheid. Een staatshervorming op de lange baan schuiven? Dat is een scenario dat zal werken als de regering een absolute eenheid is? Maar wie wordt er eerste minister? En wat als de Vlaamse oppositiepartijen de splitsing van B-H-V op de agenda zetten?