Le noir-jaune-rouge revient au Sénat

07.10.10 - 19:02
Le bureau du Sénat a remis les couleurs nationales à l’honneur sur les gerbes de fleurs envoyées au nom de l’Assemblée : le président, le N-VA Danny Pieters, ne pourra plus envoyer des gerbes de fleurs ornées d’un simple ruban bordeaux, lors des cérémonies officielles.

Après son accession à la présidence, Danny Pieters avait fait remplacer les couleurs noir-jaune-rouge par un ruban rouge foncé, aux couleurs du Sénat. Il avait notamment fait envoyer une telle gerbe le 26 septembre, au pied de la colonne du Congrès.

Danny Pieters s'est retrouvé isolé lors de la réunion du bureau cet après-midi. Les autres partis ont décidé de restaurer les couleurs nationales sur les gerbes du Sénat.

Rtbf.be

Loik wrote:

07.10.10 - 19:02
Le bureau du Sénat a remis les couleurs nationales à l’honneur sur les gerbes de fleurs envoyées au nom de l’Assemblée : le président, le N-VA Danny Pieters, ne pourra plus envoyer des gerbes de fleurs ornées d’un simple ruban bordeaux, lors des cérémonies officielles.

Après son accession à la présidence, Danny Pieters avait fait remplacer les couleurs noir-jaune-rouge par un ruban rouge foncé, aux couleurs du Sénat. Il avait notamment fait envoyer une telle gerbe le 26 septembre, au pied de la colonne du Congrès.

Danny Pieters s'est retrouvé isolé lors de la réunion du bureau cet après-midi. Les autres partis ont décidé de restaurer les couleurs nationales sur les gerbes du Sénat.

Rtbf.be

L'imbécile.

Allé, onze kaakslagbelgicisten en symboolfetisjisten zijn weer gelukkig.

Het liegen en bedriegen zitten er bij de flaminganten duidelijk ingebakken.

Les nationalistes mentent et contournent les questions parce qu'ils savent qu'ils ont tort.

LA LIBRE BELGIQUE

De Wever répond moins aux questions des journalistes que Leterme

Belga

Mis en ligne le 08/10/2010

Diplômée en juin dernier de la Haute Ecole Erasmus à Bruxelles, elle confirme dans un mémoire que les politiques tentent régulièrement de répondre à côté de la question, une stratégie de communication qui n'est donc selon elle pas un cliché.

Bart De Wever contourne plus souvent qu'Yves Leterme les questions qui lui sont posées lors d'interviews. Il le fait aussi de manière plus explicite. Cette constatation est le fruit d'un mémoire d'une étudiante flamande en journalisme, Aurélie Lodewick.

Diplômée en juin dernier de la Haute Ecole Erasmus à Bruxelles, elle confirme dans un mémoire que les politiques tentent régulièrement de répondre à côté de la question, une stratégie de communication qui n'est donc selon elle pas un cliché.

Cette étudiante a analysé les interviews du président de la N-VA et du premier ministre sortant dans les émissions d'information de la VRT, "Terzake", "De Keien van de Wetstraat", "Phara" et "Voor eens en voor altijd".

Selon les résultats de cette analyse, Bart De Wever parvient à ne pas répondre à 30 des 45 questions qui lui sont posées, soit 67%. "Il le fait de préférence très ouvertement. Il refuse ainsi explicitement de répondre à une question sur quatre", relève l'étudiante.

Yves Leterme élude un peu moins de questions: 26 sur 43, soit 60%, même si, précise l'étudiante, dans les faits, le nombre de 'non-réponses' est plus élevé, parce que M. Leterme a de temps en temps recours à un "petit mensonge" ou parce qu'il apparaît, après coup seulement, que l'information apportée n'était, sciemment ou non, pas correcte.

Et si Yves Leterme apparaît comme plus sincère que Bart De Wever c'est qu'il développe des "stratégies subtiles en vue de passer inaperçu lorsqu'il contourne les questions", relève Aurélie Lodewick.

Belgica wrote:

Het liegen en bedriegen zitten er bij de flaminganten duidelijk ingebakken.

Les nationalistes mentent et contournent les questions parce qu'ils savent qu'ils ont tort.

LA LIBRE BELGIQUE

De Wever répond moins aux questions des journalistes que Leterme

Belga

Mis en ligne le 08/10/2010

Diplômée en juin dernier de la Haute Ecole Erasmus à Bruxelles, elle confirme dans un mémoire que les politiques tentent régulièrement de répondre à côté de la question, une stratégie de communication qui n'est donc selon elle pas un cliché.

Bart De Wever contourne plus souvent qu'Yves Leterme les questions qui lui sont posées lors d'interviews. Il le fait aussi de manière plus explicite. Cette constatation est le fruit d'un mémoire d'une étudiante flamande en journalisme, Aurélie Lodewick.

Diplômée en juin dernier de la Haute Ecole Erasmus à Bruxelles, elle confirme dans un mémoire que les politiques tentent régulièrement de répondre à côté de la question, une stratégie de communication qui n'est donc selon elle pas un cliché.

Cette étudiante a analysé les interviews du président de la N-VA et du premier ministre sortant dans les émissions d'information de la VRT, "Terzake", "De Keien van de Wetstraat", "Phara" et "Voor eens en voor altijd".

Selon les résultats de cette analyse, Bart De Wever parvient à ne pas répondre à 30 des 45 questions qui lui sont posées, soit 67%. "Il le fait de préférence très ouvertement. Il refuse ainsi explicitement de répondre à une question sur quatre", relève l'étudiante.

Yves Leterme élude un peu moins de questions: 26 sur 43, soit 60%, même si, précise l'étudiante, dans les faits, le nombre de 'non-réponses' est plus élevé, parce que M. Leterme a de temps en temps recours à un "petit mensonge" ou parce qu'il apparaît, après coup seulement, que l'information apportée n'était, sciemment ou non, pas correcte.

Et si Yves Leterme apparaît comme plus sincère que Bart De Wever c'est qu'il développe des "stratégies subtiles en vue de passer inaperçu lorsqu'il contourne les questions", relève Aurélie Lodewick.

Om van de voorzitter van de B(l)ub maar te zwijgen, want die trekt hier een conclusie die niet eens in het artikel staat. Niet antwoorden op een vraag is immers niet hetzelfde als liegen. Als ik tel hoeveel keer de voorzitter van de B(l)ub op dit forum niet antwoordt op zijn vraag (ongeveer 9 keer op 10, schat ik) en ik hanteer zijn criterium, dan is hij één van de grootste leugenaars uit de Belgische politiek